Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Mots et images de Joe Krapov
video embarquee
21 décembre 2018

Dans le vieux Lyon (Rhône) le 7 décembre 2018 (6)

181207 Nikon 053

181207 Nikon 054

181207 Nikon 055

181207 Nikon 056

181207 Nikon 057

Et puis il y a Frida qui est belle comme un soleil et qui m'aime pareil ? 

Publicité
Publicité
17 décembre 2018

MOI AUSSI ON M'AZNAVOURA AUX GÉMONIES

De la cave qui se rebiffe
Au grenier qui se déballonne
Tout va mal dans cette maison !

181207 Nikon 073

Sans conversa-certa-tion, 
Sans concilia-vesti-bule,
Plus moyen de tenir salon !

Où est donc le bonheur-du-jour
Où nous rangions tout notre amour
Et nos recettes de cuisine ?

Il n’y a plus grand monde au balcon,
La chambre n’est plus horizon,
Autour de nous le monde gronde,

L’huissier chinois frappe à la porte !
Tu t’laisses aller, tu t’laisses aller !
Marianne, j’te l’dis, tu t’laisses aller !



Ecrit pour les Impromptus littéraires du 10 décembre 2018 d'après cette consigne

2 décembre 2018

A PART PEUT-ÊTRE… AU MUSÉE DES HORREURS ?

Lakévio 132 121942861

Le regard a quelque chose de dur, déjà. Elle fera de la route, cette môme ! Elle est du genre à régenter son entourage, à tout réformer, à œuvrer en douceur et cependant en y mettant toute la fermeté voulue.

On ne la détournera pas comme cela de son but. Elle a du caractère, elle est tenace, peut même se montrer résolument féroce quand elle va au charbon.

Le trône sur lequel elle a posé ses fesses semble trop grand pour elle certes ou alors prévu pour une autre. Attendez quelques années et vous verrez que ça ne va pas durer : elle prendra de l’ampleur et comprendra que la royauté, ce n’est que du folklore, juste une couronne ou des chapeaux sur la tête et du tralala pour la presse people. Le monde se gouverne par l’argent, les réseaux et le carnet d’adresses.

Côté bagatelle ce ne sera pas ça par contre. Sur cette œuvre elle évoque déjà le fameux « Ferme les yeux et pense à l’Angleterre !».

Ce côté brut de décoffrage avec malgré tout un sens de l’honneur, de l’ordre, du haut rang, ce goût pour la sueur et les larmes nous évoque forcément la colonne Nelson et l’autre fumeur à gros ventre abhorrant le sport !

On s’approche du cartouche et on constate qu’on a vu juste. On l’a reconnue, la dame de fer ! Ce tableau représente en effet Margaret Thatcher enfant. Désolé, camarade Renaud ! 

Ecrit pour le jeu de Lakévio n° 132 d'après cette consigne

 

19 novembre 2018

DENEZ, LE CHANT MAGNÉTIQUE

Ce dimanche après-midi, nous descendons à pied jusqu'au cinéma l'Arvor, rue d'Antrain. J'ai vu qu'on y jouait, à 18 h 15, un documentaire consacré à Denez Prigent, chanteur breton à la voix aussi belle que puissante. Quand on arrive, le hall d'attente est plein et on fait la queue dans la rue sans que rien ne bouge. Ils passent un blockbuster, avant, ou quoi ? Et puis en regardant l'affiche on comprend et on se dit qu'on n'aura peut-être pas de place : la séance bénéficie de la présence des réalisateurs... et de Denez lui-même. Tout le fan-club est là !

Comme nous sommes arrivés en avance nous faisons partie quand même des heureux bénéficiaires. Le documentaire est superbe et Denez aussi. Il a une présence, une humanité, un chant... magnétiques ! Et comme il a beaucoup d'humour, j'agrémente de mes éclats de rires l'atmosphère glacée que crée toujours, à l'Arvor, un public intellectuel à l'expressivité tout en retenue. C'est bien dit, hein ?  

On découvre que l'artiste est aussi graphiste, qu'il a une licence d'arts plastiques et réalise des oeuvres magnifiques. Mais qu'il n'aime pas les montrer (séquence très drôle dans le film : il montre le dessin qu'il vient de réaliser à la caméra mais pose sa main dessus) ! 

Bref un documentaire envoûtant, un moment de bonheur suspendu, une bulle de nostalgie et de célébration du sacré à travers le chant.

Au cours de la séance de questions du public, on a droit à l'histoire du fan qui poursuit et coince Denez dans le supermarché où il fait ses courses.

- Vous êtes bien le chanteur ?

- Oui ?

- Denez Prigent ?

- Oui ,c'est moi.

- Je me demandais. parce que ici, vous n'avez pas la main sur l'oreille ?

- Pour pousser un caddie (R), ce n'est pas très pratique non plus !

Du reste savez-vous pourquoi Denez chante avec la main sur l'oreille ? Parce qu'il téléphone à I Muvrini !

Un entretien gâché sur la fin par l'intervention outrecuidante d'un papy qui voulait à tout prix faire chanter à Denez la Marseillaise version Graeme Allwright !

On a beau vivre en intelligence, on est toujours obligé de revenir à une autre chanson, "le pluriel", de Georges Brassens !

A -t-on idée de vouloir faire chanter "La Marseillaise" en breton ?! C'est bête à pleurer !

Denez s'en est tiré en plaisantant : "Je ne connais pas la musique de ce morceau !"

Nous on s'est tirés purement et simplement. 

Je n'ai pas trouvé d'extrait du documentaire. Allez le voir si vous en avez l'occasion. Je vous laisse juger du talent de l'homme d'après deux trois vidéos ci-dessous : 



17 novembre 2018

MILLE FANFRELUCHES !


 - OK, je ne suis pas un orfèvre, comme disait Henri-Georges Clouzot, mais pour pouvoir porter pareilles fanfreluches il faut appartenir à un certain genre de greluche : une nature un peu riche, pas moche, avec un tralala de derrière les fagots, genre Suzy Delair. Jolie paire de loches et de miches, bouche en cul de poule et elle-même poule de luxe à vous en boucher plus d’un coin tant elle est fraîche et franche quand elle guinche ou aguiche. Elevée par des Apaches à soulever l’artiche d’un vieil aristoloche à brioche et postiches. Le contraire d’une godiche, une pouliche qui s’affiche et dit « chiche » et se pourlèche dès qu’il s’agit de bamboche et de vous faire les poches. Le genre de Miss Fischer, chapeau cloche et belle broche qui flaire les anicroches avec sa tête de pioche, qu’en a dans la caboche, qui jamais ne trébuche et approche sans embûche de l’anguille sous la roche. Le genre pas pressé d’avoir une belle-doche ou d’élever des mioches. Guêpière et longs jupons, patchouli Chinchilla, bas résilles et boa, truc en plumes à la Zizi Jeanmaire. Qui pourrait correspondre à ça dans l’agenda du notaire à cravate qu’on a retrouvé noyé dans le Rhône ?

- Il se rendait tous les mercredis place Bellecour à Lyon, commissaire ! Chez une horizontale pour une heure de débauche. Genre « taloches, cravache, tu m’attaches pour que je m’amourache. S.M. moi non plus ! Sacher Masoch plein la sacoche ! »

- Le nom de la pimbêche, inspecteur Coluche ?

- Une nommée Amélie Méluche.

- Allez on se dépêche ! Avec un peu de chance on la pêche dans sa crèche. Mandat de perquisition, menottes et tout le toutime. Gyrophare et fourgon. Direction Lugdunum, nom d’un petit bonhomme !

Après tout va très vite. La bignole, une vieille chouette chevêche (pie grièche ?) qui pitanche, est revêche et nous fait la tronche. Elle ouvre l’appartement car on a carte blanche et surtout bleu blanc rouge. Amélie Méluche a fait ses valoches. Dans le tiroir du bas on trouve le bas résille, frère jumeau de celui avec lequel, tout étranglé, le notaire passa l’arme à gauche. Mandat d’arrêt, portrait-robot de la petite biche, police des gares et des frontières. De plumes d’autruche à billet pour l’Autriche, il y si peu de lettres à changer ! Ca s’agite comme dans une ruche, de Perrache jusqu’à Pantruche

- Trop fastoche, cette affaire ! se dit le commissaire. Pourquoi ai-je l’impression, mille fanfreluches, nom d’un Caldoche, qu’on me prend pour un fantoche ? Qu’on me fait des niches ? Que l’on m’emmanche ?

La réponse est ici (et ce depuis dimanche !).


Ecrit pour le Défi du samedi n° 533 d'après cette consigne : Fanfreluche

Publicité
Publicité
4 novembre 2018

ALLEZ VOIR "LE GRAND BAL" DE LAETITIA CARTON !

Parfois les Krapov vont au cinéma. Je n'en parle pas trop ici où j'ai déjà fort à faire avec les photos que je prends et les krapoveries que je ponds. Et puis c'est tellement facile de déglinguer le travail de toute une équipe de gens qui bossent là-dedans et il y a tellement de gens qui le font que ce n'est pas la peine de l'écrire qu'on n'a pas trop aimé "I feeel good" de Gustave Kervern et Benoît Delépine, à part les cinq dernières minutes et les rares séquences musicales.

Ca m'a quand même permis de découvrir le multiplexe CGR de la Mézière et sa façade années 60 ! On n'y était jamais allés !

181021 265 067

181021 265 068

181021 265 069

Hier par contre, à l'Arvor, rue d'Antrain,  c'était une autre chanson et un bonheur total avec "Le grand bal" de Laetitia Carton. Et pourtant, je déteste danser ! Mais quelque part aussi je suis un folkeux, ma discothèque peut en témoigner. C'est un film entraînant, fascinant avec des séquences et des plans de toute beauté et un côté "documentaire consacré à un festival" qui fait chaud au coeur ! Du coup, avec la bande annonce et un court entretien avec la réalisatrice, je joins une version de la tarentelle qu'on entend à un certain moment. On peut se procurer la bande son, Madame Carton ? Ou la liste des morceaux qui figure dans le générique final ?;-) 

 

 

3 novembre 2018

VITE EXPÉDIÉ !

Le daguerréotype est un peu l’ancêtre du selfie. C’est un procédé primitif de capture d' images de vieilles badernes alors que le selfie est un procédé moderne de capture d’images de primitifs par eux-mêmes.

Le stéréotype n’a rien à voir avec la capture du son par les oreilles gauche et droite ni avec la monogamie. Celle-ci n’engendre pas forcément la monotonie - voyez donc Vegas et Germaine ! - alors que la polygamie provoque très souvent la polyphonie surtout en Corse. Pour monter gaiement au septième ciel, le meilleur moyen reste bien sûrle funnyculaire. Pour dormir sur vos deux oreilles, éloignez les coucous, surtout les Suisses. Ils ont tendance à sonner toutes les heures et à pondre en stéréo faux-nids chez les autres.

Quant à la linotype elle n’a pas de rapport avec le linoléum ni avec Lino Ventura. Elle aussi est assez âgée et n’imprime plus guère.

Il faudrait parler aussi du préfet Poubelle qui laissa son nom à une boîte à ordures alors qu’il était toujours propre sur lui et moralement irréprochable.

Donc ce monsieur Daguerre est l’inventeur d’un procédé photographique grâce auquel une image était captée sur une plaque d’argent polie. Aujourd'hui, l'argent, sonnant et trébuchant, jure pis qu'un charretier.

Janis et Daguerre ne sont pas des adverbes de temps. On ne peut pas écrire : « Janis, j’écoutais des 78 tours de Scott Joplin » ni « Daguerre on disait « oncques » pour parler de l’ancien temps ou pour saluer le frère de sa mère ou de son père ».

Par contre « Jadis et naguère » est le titre d’un recueil de poèmes de Paul Verlaine datant de 1884.

Mais même s’il s’intéressa à la photographie, je ne vais pas vous reparler de Rimbaud. Fabrice Luchini fait ça mieux que moi ! 



Ecrit pour le Défi du samedi n° 531 à partir de cette consigne : daguerréotype

21 octobre 2018

LE COUREUR DES RUES

J’habite rue de l’Anecdotique. C’est une rue beaucoup plus tranquille que l’avenue des Célébrités qui mène tout droit, quoi qu’il advienne, au boulevard du Crépuscule.

Rue de l’Anecdotique, nous avons tous l’allure amène et vraisemblable des personnages de Sempé. Jean-Jacques Sempé, poète et dessinateur français, né le 17 août 1932 et toujours vivant, Dieu merci !

Je fais sans doute partie aussi des gens qui doutent, chers à Anne Sylvestre, chanteuse française dont je ne donnerai pas la date de naissance car on ne dit pas l’âge des dames, surtout quand elles sont grandes.


Ma singularité personnelle est que je suis photographe à mes heures perdues et j’en ai quelques-unes. Je fais partie de ces chasseurs-cueilleurs d’images qui courent les rues de toutes les villes où ils se rendent pour s’ébahir à leur retour de leur voyage. Ils se disent toujours « Qu’est-ce que c’était joli !» et en des temps antérieurs ils vous eussent volontiers invité.e à une super soirée diapos pour en discuter avec vous. Cela s’appelait, suivant le point de vue où l’on se plaçait, de la beauferie ou de la sociabilité.

Comme désormais plus personne ne fait cela, je me suis conformé aux pratiques de mes contemporains – « C’est dire si je contemple rien ! » comme dit le chanteur Renaud, né en 1952 et… passons, oui sa nécrologie est prête chez tous les bouffeurs de cadavres de la presse parisienne -. On est assez panurgiens dans la rue de l’Anecdotique et donc j’alimente désormais un blog photographique.


Il y a dans ce dispositif technique de publication et de partage en ligne quasi immédiat.e.s un petit objet très pratique qui s’appelle « tag », qu’on appelait jadis « mot-clé » ou « mot-matière ».


Il m’a permis de retrouver, dans mes plus de 18 000 images mises en ligne, un certain nombre de plaques de rues sympathiques.


Je vous les livre à la queue leu leu. Je les trouve jolis ou rigolos, ces noms de rues et certaines des photos m’ont bien fait rire, comme celle-ci, prise à Nantes, une ville où on a des lettres, de l’humour et une grande connaissance de la chanson française. Pas vrai, Mâam’ Tisseuse ? ;-)


Il 2018 10 14 Rue Corneille à Nantes


Square de Provence, rue Bichon, rue Rambaud, Cour des Grolles, Impasse des Gémeaux, rue Gabrielle, quai Job Forban, Pettit village, rue de l’Aimable Nanette, allée du Vétille, Venelles des Trois avocats, Rue de Penn-Ar-Pavé, rue de la Pomme, rue du Chêne vert, venelle des Pas perdus, rue des Etalons, rue des Bourges, rue des Taules, rue des Quatre pas, rue des Balais, rue d’Antrain, rue Derrière les murs, rue Fréhel, rue du Mollard, venelle au Chat, Passage de la Perfe, Rue Saint Thomas, rue Havin (dans cette rue on trouve un caviste qui a baptisé son commerce « Cave Havin), avenue Notre-Dame-des-passes, allée Velpeau, boulevard de la Duchesse Anne, passage des Douaniers, rue Tournefort, chemin de la Messe, chemin de Ker Babu, rue de Ker Doucet, rue des Homardiers, passage Mermet, rue Donnée, montée de la Grande côte, rue Marcel Bravo, venelle de l’Enfer, rue des Sentiers, rue Cagnard, rue Saint-Onneau, impasse de la Faucille, rue Notre-Dame-du-Sommeil, jardin aux fleurs, place Jeu de balle, square du Général le Brigant, rue Guillaume Cliton, rue du Pélicorne, rue de la Raillerie, quai de la Fesse (ces deux-là sont des plaisanteries de retoucheur stalinien !), rue du Trousse-corset (celle-là est véridique, elle se trouve à Villequier), rue Adolphe Moitié, rue du Gus Maffieux, rue de Pénéné, rue des Veaux, rue des Echasses, impasse du Tiroir, La ruette Mathurin, vallée de la Misère, chemin du Tire-jarret, impasse du Guic, rue Française, rue Baudet, rue Bizard, rue Saint-Somnole.

Comme vous le voyez, on s’amuse bien aussi dans la rue Anecdotique !

Si vous voulez ne pas rester à côté de la plaque mais vous positionner devant, c'est ici qu'il faut cliquer :

Mots et images de Joe Krapov

Joe Krapov partage ses images

 

Ecrit pour les Impromptus littéraires du 15 octobre 2018 à partir de cette consigne.

22 septembre 2018

JULIETTE GRÉCO-LATINE !

DDS_525_xoanon_121299846

Evidemment, cette phrase-là ne parle qu'aux Breton.ne.s et aux Normand.e.s :
"Le xoanon en sa folie a mis le mont en Normandie".

C'est une référence vaseuse - c'est le cas de le dire - au Couesnon, le fleuve qui marque la séparation entre les deux régions. Donc je bois Vichy Saint-Yorre - ça change du whisky - et j'élimine.

Xoanon, xoanon, xoanon... En même temps, pourquoi devrais-je entendre quelque chose au grec ? Je ne suis qu'un pauvre latiniste, moi !

J'apprends donc ce jour qu'on dit un xoanon et des xoana. C'est un peu comme en français «Un fût du canon, des noces de Cana», «Un ana pour Ninon, des Annapurna», «Un petit cabanon, des François Cavanna». Ca ne nous mène pas bien loin non plus.

Si ça se trouve d'ailleurs on prononce peut-être "xoanonne" et je me retrouverais à pédaler dans le yaourt avec les fous de la tribu de Dana !

Ca devient vraiment très compliqué d'écrire pour le Défi du samedi. Franchement, est-ce qu'on ne ferait pas mieux d'oublier ces religions que plus personne ne pratique, leurs statuettes divinatoires, le fait qu'elles soient aniconiques...

N'y a-t-il pas derrière le choix de ce mot-là le désir, inconscient ou pas, du Jupiter ou Zeus local, de nous envoyer nous faire voir chez les Grecs ?

Nana Mouskouri, au secours ! Dalida, reviens !

Si c'est ça, je crois que le Pirée t’avenir !



Ecrit pour le Défi du samedi n° 525 à partir de cette consigne : xoanon.

16 septembre 2018

Mademoiselle de Joncquières d'Emmanuel Mouret

Cinéma pour les Krapov ce dimanche après-midi. J'ai bien pris soin de ne rien lire et de ne rien écouter auparvantà propos de ce nouveau film d'Emmanuel Mouret. Ce cinéaste-acteur marseillais me fait mourir de rire et d'attendrissement avec ses comédies littéraires dans la lignée d'Eric Rohmer (Changement d'adresse, L'Art d'aimer, Fais-moi plaisir, Caprice, etc.). Ici il s'attaque à un épisode de Jacques le fataliste de Diderot. Un film en costume, donc, magnifiquement joué et accompagné de musiques de Vivaldi. Un régal. 

Publicité
Publicité
<< < 10 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 40 > >>
Mots et images de Joe Krapov
Publicité
Derniers commentaires
Visiteurs
Depuis la création 788 845
Archives
Newsletter
Publicité