A quatre pattes sur la moquette, je m’étais mis en quête de ma paire de chaussettes.
Houla le mal de tête ! Quelle tempête sur le faîte de mon crâne ! Mes aïeux, quelle casquette ! Tout tournoie ! Faut que j’arrête la piquette ! Pourtant je n’avais rien bu la veille. Juste un peu d’anisette. Et aussi plus bas, quel besoin de balles neuves, quelque part !
Quand je soulevai la couette tombée dans nos ébats de cette nuit de fête, je trouvai ma conquête dans une posture fort peu coquette. Sûr qu’elle avait une drôle de binette, toute violacée sur la moquette, étranglée qu’elle était avec les cordes d’une raquette. Finies les galipettes, ma minette !
Pas de doute, comme disait le maître de requêtes Samuel Beckett, il allait bien falloir que j’échappe à l’enquête.
Et tant pis si j’étais le principal suspect.
Ah non : y avait aussi cet aviateur français, Roland Garros, à qui Phryne balançait sans cesse «Roland, arrête, t’es bête ! ».
Et l’écrivain également, un nommé Dashiell Hammett, qui ne m’avait pas semblé très honnête quand il jouait à la roulette.
Tout partait en sucette ! Mauvaise pêche ! En levant Miss Fisher, cette drôle de midinette, j’avais fait une boulette et perdu le premier set !
Je remis mes baskets, ma liquette, ajustai le toutime et je pris la poudre d’escampette. Par la sortie de service, bien entendu ! Pas question que je tombe dans les filets du brigadier Collins et de l’inspecteur Robinson, ces enquêteurs à la noah !
N.B. : Si vous aimez ce genre de jazz, vous pouvez écouter la B.O. de ce feuilleton ici. Autre chose : l'interprète de Miss Fisher s'appelle Essie Davis. ca vous la coupe non ?
Peut-on faire des fautes d'orthographe dans la transcription des noms propres ? Oui, et je vous en fais la preuve : j'écris Münich avec l'umlaut allemand (le tréma) sur le u alors que je ne devrais pas. Mais faire ce qu'on ne doit pas, si c'est en liberté et sans souci de nuire à autrui, quel plaisir !
En publiant ces vingts photos j'ai écouté, "en peau de caste", ce concert Trintignant, Mille, Piazzolla retransmis sur France-Culture.
C'est dans la série "Arrête, Jean-Louis, tu me déprimes" mais c'est magnifique !
Je l'ai même retrouvé en vidéo et je suis épaté de voir qu'il ne s'agit pas d'une lecture mais d'une récitation grandiose.
Mention spéciale aux textes d'Allain Leprest dont "Le Mime" et à la "Marche à l'amour" finale de Gaston Piron.
Mais bon sang, qu'est-ce que ça peut être "Arrête, tu me déprimes" ce choix de poèmes !
J’viendrais bien faire le mirlifore Mirlitontaine, mirlitonton, Avec mes vers de mirliton Pour chanter la faune et la flore Et les charm’s du pays teuton !
Je ne ferais pas de manières Pour vous jouer un ou deux airs Avec mon petit mirliton Et vous dire’ comment, sans façons, Je me suis prom’né en Bavière.
Mais au kazoo vous l’sauriez pas De cet instrument de carton Ne sort pas le son de la voix, Juste un bruit de vol du bourdon ! Pour s’exprimer, c’ n’est pas coton !
Et pour vos oreilles c’est rosse : Le son est un poil casse-couilles ! Cet instrument est pour les gosses ! C’est la cinquième Ruhr du carrosse, Ca n’vaut pas La Mirlitantouille !
Alors du coup je passe la main ! Alors du coup je passe le Main ! Tant pis ! Ce sera sans musique Que je commencerai demain Le récit quasi mirifique
De mon voyage magnifique De Marktheidenfeld à Munich Via le château de Nymphenburg Et l’alte Brücke de Würzburg Où l’on boit du vin en public.
Finalement ça vaut mieux pour vous ! Quand je turlute dans mon kazoo Tous les mirlitaires tombent à terre En criant « Dieu, épargnez-nous ! Ce Breton est un vrai calvaire !».
Aussi pour que grand bien vous fasse Je passe mon tour, je laisse ma place A ces chanteuses sympathiques De la Kantorei germanique Devant qui, humblement, j’m’efface !
N.B. Les tableaux ont été photographiés à la Neue Pinakothek de Münich.
A quoi reconnaît-on que tu es resté jeune d’esprit ?
L’assurance des profs de fac te sidère toujours. Elle te rappelle la pensée de Michel Audiard : « Les cons osent tout. C’est d’ailleurs à ça qu’on les reconnaît ».
Une bonne pièce de théâtre t’emmène au paradis. Un conteur génial te plonge dans les racines de l’humanité et tu t’en trouves bien.
Tu rigoles comme un bossu d’avoir réussi cette farce : on a accepté ta proposition de faire une conférence sur les inventeurs farceurs et tu vas la faire à l’Espace Ouest-France en janvier 2019. Joe Krapov conférencier chez François-Régis Hutin, faut le faire, quand même !
Tu refuses de regarder des films et des séries étranger.e.s autrement qu’en version originale sous-titrée. Cet attachement viscéral au ciné-club façon Claude-Jean Philippe est cependant plein d’ambiguïté : se souvenir de Claude-Jean Philippe c’est quand même être un peu ieuv sur les bords.
Tu es capable de regarder des séries nulles (Capitaine Marleau) uniquement parce que le personnage principal est un « anti-héros ».
Les vieux cons butés qui ont quarante ans et du pouvoir t’insupportent.
Découvrir des variantes foldingues du jeu d’échecs sur Lichess.com te met en joie. Citons la course des rois, la partie qui démarre avec une position aléatoire des pièces autres que les pions, le fait de pouvoir reposer n’importe où dans le jeu une pièce déjà capturée…
Tu as un peu honte d’appartenir à une chorale qui chante « Boire un petit coup c’est agréable » ou « Chevaliers de la table ronde ».
Tu te (re) prends d’affection pour les BD de Régis Franc et tu cours après les adaptations théâtrales du Zaï Zaï Zaï de Fabcaro.
Pondu à l'atelier d'écriture de Villejean le 24 avril 2018
d'après cette consigne :
A quoi reconnaît-on que tu es resté jeune d’esprit ?
La compagnie Keras proposait ses livres vivants. Mais tout livre est vivant ! De Bécherel je n'en ai ramené qu'un, au titre prometteur : "Heureux !". C'est le recueil complet des sketches de Fernand Raynaud ! ;-)
Le site de la Compagnie est ici et j'aime bien cette vidéo !
C’était époustouflant de le constater mais Aurélien et Bérénice étaient bien une illustration vivante du mot «complémentaire».
On peut en juger ici sur ce tableau où ils sont portraiturés de face par Karin Jurick. Et ce même si le cadrage est particulièrement loupé. Parfois l’opérateur est victime de tremblote.
Il se dégage de ses mains de tortionnaire à elle une impression de drame ancien, de tristesse profonde et l’on ne serait pas étonné d’apprendre qu’elle a passé quelques années, plus jeune, à servir dans une armée révolutionnaire sud-américaine ou à purger une peine dans un pénitencier. Voire les deux.
La peine s’est arrêtée quand elle l’a rencontré. Lui respirait la joie de vivre du chanteur de cha cha cha, la légèreté de l’élégant en mocassins. Il oeuvrait au sein de l’orchestre dans les casinos de la Riviera. Il profitait de la baignade dans la piscine des hôtels à Monaco, Cannes ou Jersey et se mêlait aux magnifiques à la Gatsby en faisant comme s’il était des leurs. Il n’était qu’un parasite de ce monde-là, un musicien dont seul le costume était blanc, mais il eût été aberrant de se pourrir la vie avec des concepts crypto-marxistes de lutte des classes ou de révolution prolétarienne. Surtout quand le fait d’arborer un sourire et de balancer des rythmes cubains rapportait autant.
Il avait perdu la tête pour elle. Elle avait perdu la tête pour lui. Si l’amour est une boule de loto, ils avaient coché les numéros de la grille ensemble et à l’aveugle. Sans se prendre le chou, ils étaient devenus adeptes du «Carpe diem, mon lapin !» si cher aux statues de l’île de Pâques. Qui vivra verra ! Tant que l’on pourra, on en profitera !
Cela dure depuis trois décennies et ils ne s’en lassent pas. En astrologie, il y a des mystères. Lui est natif d’un signe d’air, elle d’un signe de terre. Est-ce lui qui la rafraîchit de son tourbillon de paroles, est-ce elle qui le retient en lui ôtant l’envie de s’envoler volage ?
Il y a d’autres couples dans lesquels l’eau n’éteint pas le feu et où les flammes n’ont pas pour effet l’évaporation du liquide.
Carpe diem, mon lapin ! Ne faites pas ces yeux en billes de loto : certaines et certains parfois tirent le bon numéro. Oui, c’est vrai, c’est une question de chance.
Monsieur Arthur Rimbaud B.P. 01 au vieux cimetière 08000 Charleville-Mézières
Mon cher Arthur
"Ecoutez la chanson bien douce…" Paul Verlaine / Léo Ferré
Je ne suis pas le mieux placé pour te parler des hystériques. Quoique…
Le hasard fait que je dois aborder ce thème la semaine et le jour-même où Jacques Higelin disparaît du circuit, nous laissant esseulés avec son âme de poète qui court les rues et le souvenir de ses concerts-marathons dont certains relevaient de la folie douce voire furieuse – j’y assistai quelques fois au siècle dernier -. Je présente donc mes sincères condoléances à Dame Poupoune qui nous a réjoui(e)s ici il y a quelques années. Elle n’a rien à voir avec l’hystérie mais elle était La fan n° 1 du grand Jacques français.
En tant que iatrophobe pratiquant, je ne m’intéresse ni à la classification DSM IV ou 5 ni à la psychiatrie et encore moins à la psychanalyse. Il faut bien que tout le monde vive, y compris les émules du docteur Knock – on heaven’s door ! - qui sont toujours prêts à vous déclarer grands malades du moment que vous avez les moyens de vous allonger et de les allonger. Mais je ne comprends rien à leur charabia, à leur manie d’épingler les papillons que nous sommes et à rédiger des étiquettes avec des noms abscons pour mettre dessous.
Si «l'hystérie décrit un ou plusieurs excès émotionnels incontrôlables», comme l’écrit Madame Wikipe, alors nous sommes tous hystériques.
Verlaine qui tenta d’étrangler sa mère pour lui soutirer du pognon et te tira dessus pour que tu ne te tirasses pas l’était quelque peu.
La houle qui assaille les récifs dans le Bateau ivre l’est aussi !
J'ai suivi, des mois pleins, pareille aux vacheries Hystériques, la houle à l'assaut des récifs, Sans songer que les pieds lumineux des Maries Pussent forcer le mufle aux Océans poussifs !
Les jeunes filles qui se pâmaient à la vue des Beatles en concert étaient un bel exemple qui nous fait bien rire aujourd’hui où plus personne ne s’emballe pour la musique devenue gratuite sinon obligatoire.
Higelin dérange mon plan. Je voulais poser la question « Où donc a disparu l’hystérie ?". Hier on était Beatles contre Stones, Ricains contre Russkofs, cocos contre fachos, gauchos, trotzkos, socialos et de l’autre côté il y avait "les istes contre les iens » : chiraquiens, sarkozystes, balladuriens, giscardiens, fillonistes…
Maintenant il n’y a plus ni droite ni gauche mais « en même temps »… tout et son contraire, c'est à dire plus rien.
On ne retrouve l’hystérie finalement que dans le domaine du sport. Quel sport pratiquais-tu, cher Arthur, à part le lancer d’anathèmes et de sarcasmes et la marche à béquilles sur ta fin ?
La natation ?
Le judo ?
Les plus curieux-ses de nos lecteurs-lectrices iront se documenter chez "les Papous dans la tête" qui posaient parfois cette question dans leur émission dominicale !
Moi je n’ai pas le temps. Je suis actuellement un stage d’adaptation au nouveau monde ! C’est vrai, c’est toi qui l’as dit, Arthur : "Il faut être résolument moderne". Je soigne donc mon hystérie en essayant de limiter «mes excès émotionnels incontrôlables». Crois-moi, c’est très dur !
Est-ce que c’était une bonne idée de prendre un taxi ? se demande Josette. En même temps Pascal était arrivé en retard de son conseil d’administration. Or on avait réservé une loge à l’opéra et les musiciens, cantatrices et ténors ne vous attendent pas pour commencer la représentation.
N’en déplaise à Monsieur Bienvenuë – de l’indulgence, Fulgence ! – un P.D.G. et son épouse n’ont pas à se mêler aux pue-la-sueur dans son métropolitain parisien ! Alors oui, un taxi. Mais ça lui prend la tête à Josette, cette indolence slave, ce flot roulant de jérémiades nostalgiques qu’ils vous déroulent maintenant, les cochers de fiacre moderne !
- A l’opéra, chauffeur ! ordonne Pascal d’un ton détaché.
- Opérrrra ! Trrrrès bien, opérrrra ! Chez nous trrrrès beaux opérrrras aussi ! Borrrris Godounov ! Moussorrrrgsy ! Prrrrince Igorrrr ! Borrrrodine ! Le coq d’orrrr ! RRRRimsky-Korrrrsakov ! Mais ici, Frrrrance, pourrrr pauvrrrre chauffeurrrr de taxi, opérrrra coûterrrr brrrras ! Quoi vous allerrrr voirrrr, ce soirrrr?
- Carmen, de Bizet.
- Trrrrès rrrréussi aussi ! Opérrrra prrrréférrrré Tchaïkovsky ! Jolie dame de pique, Carrrrmen ! Et Don José, trrrrès rrrrigolo ! Parrrrle moi de ma mèrrrreuh ! Quand moi avais château, chez nous, trrrrès sainte RRRRussie, moi rrrrecevoirrrr aussi beautés rrrresplendissantes comme Carrrrmencita ! Tisseuse de Beaurrrregarrrrd, Mapie Maporrrrovna, Lirrrra Pavlovna, Annick de Sainte Beuve ! Iosif ilarrrrionovitch oncle de Célestine de Beaurrrregarrrrd. Chez nous, autrrrrefois, mangerrrr caviarrrr à la louche ! Zakouski, pirrrrojki, vodka, vatrrrrouchka ! Rrrréceptions moi coûterrrr un brrrras ! Mais jamais crrrritiquerrrr nous ! Toujourrrrs arrrristocrrrratie trrrrès classe ! Prrrrince Tiniakovitch tenirrrr jambe à moi ! Coude à coude générrrral Stouf et astrrrronome Arrrrpikov se fendrrrre les côtes ! Mamée de Laville de Poussy prrrrendrrrre son pied danserrrr quadrrrrille bal à nous. Beaucoup arrrrtistes aussi : Marrrryline Dix-huit, Tomtom Krrrrouz, Emma Trrrriochka, Jacou Krrrrokantovitch…Danseuse Gene M. avec ami Amérrrricain « Captain Vegas ». Magicien JCP toujourrrrs tirrrrerrrr verrrrs du nez ! Hélas, tout cela terrrrminé maintenant ! Pauvrrrre de nous ! Malheurrrr tombé dessus ! Nous prrrris jambes à nos cous ! Devoirrrr fuirrrr, laissé tout ça aux rrrrouges ! Epouvantable calamité ! Horrrrrrrribles bolcheviks ! Equipe brrrras cassés !
- Il va nous casser les oreilles encore longtemps, ce cosaque ? demande Pascal à Josette.
- Mais nous avoirrrr tête surrrr épaules ! RRRReparrrrtirrrr forrrrce poignet ! Vie nouvelle en Frrrrance pas mal non plus ! Iosif aimerrrr conduirrrre auto RRRRenault dans Parrrris ! Et Marrrrina Bourrrrgeoizovna devenue danseuse légèrrrre Folies-Berrrrgèrrrres ! Jolies amies frrrrançaises ! Gaîtés parrrrisiennes ! Vive la Frrrrance ! Petit bleu ! Place Blanche ! Moulin rrrrouge ! Et dimanche guinguettes Nogent ! Petit vin blanc ! Tonnelle ! Dommage nous pas rrrretrrrrouve ici Marrrrité RRRRoumanoff pourrrr aiderrrr nous quand galèrrrres misèrrrre migrrrration. Coûterrrr brrrras à nous !
Josette a tiqué en entendant les deux derniers noms mentionnés. Ça lui a rappelé son temps d’avant à elle. Se pourrait-il que ce russe blanc, avec son air de titi parisien et sa dégaine de prolétaire lambda soit le fameux comte Krapov chez qui sa copine avait table ouverte quand l’une et l’autre étaient jeunes filles au pair chez la vieille Roumanoff ? Elle se souvient qu’elles lui chouravaient ses invitations pour aller parader dans le grand monde moscovite ! La Roumanoff, rigolaient-elles, on ne lui dit pas tout ! Qu’a-t-elle bien pu devenir, la Marité ? A-t-elle fait son chemin, elle aussi ? Mais elle n’a pas le temps de demander confirmation au chauffeur qui vient d’arrêter son véhicule devant le palais Garnier.
Pascal D. descend et tandis qu’il règle la course en pestant « Dites-donc, ça coûte un bras de prendre le taxi, maintenant, à Paris, espèce de roublard ! On va tous finir manchots empereurs, avec vous ! » elle sort un gros billet de son réticule et, une fois sortie du taxi, le glisse discrètement dans la main de l’ex-comte qui ne comprend rien ni au geste ni à ce qu’elle lui dit :
- C’est votre pourboire ! Je crois que ma jeunesse vous doit beaucoup de fous-rires, monsieur le comte Krapov ! ».
Le couple monte les marches de l’opéra et disparaît à l’intérieur. Pendant ce temps le chauffeur balbutie :
- Toi me connaîtrrrre ? Ca alorrrrs ! Brrrras à moi tomberrrr !
P.S. 1 Il s'agit du quatrième épisode d'un feuilleton démarré par Célestine et poursuivi par Marité puis moi-même sur le site des Impromptus littérairres. Marité vient de publier le cinquième épisode ici ! Gageons que ça ne s'arrêtera pas là !
P.S. 2 Le titre de cet épisode n° 3 est emprunté à cette chanson de Ricet Barrier et Bernard Lelou :
Merci à Dame Adrienne de nous avoir fait découvrir Anne Gruwez que je surnomme intérieurement "Mary Poppins est de retour". Nous sommes allés voir hier le film "Ni juge ni soumise" au cinéma Arvor et c'est peu de dire que nous avons bien ri..., peut-être jaune à certains moments, et au moins jusqu'avant la dernière confrontation qui est plus "refroidissante".
Je vous livre la bande annonce et aussi un court-métrage de la même farine qui vous donnera une idée de ce juge d'instruction unique en son genre !
J'ajoute la musique du générique de l'émission "Strip-tease" : les réalisateurs de ce film sont deux membres de la rédaction de ce magazine.
Joe Krapov est poète, humoriste (?), musicien à ses heures et photographe à seize heures trente. On trouvera ici un choix de ses productions dans ces différents domaines.