L’animateur distribue à chaque écrivant·e un texte dactylographié extrait de la littérature française. Pour la version en ligne, choisissez un des trois textes ci-dessous que nous appellerons Texte 0.
Il est demandé de le lire puis, sur une feuille volante, de le réécrire « à sa sauce », dans son propre style, en raccourcissant les phrases et en adoptant le plus possible le langage « relâché », celui qu’on utilise dans la vie de tous les jours. Merci d’écrire lisiblement. Ce sera le Texte 1.
On s’accorde entre 20 et 30 minutes pour faire cela. Au bout de ce délai on passe ce texte 1 à son voisin ou à sa voisine de droite qui a alors pour mission de réécrire le texte reçu dans un langage soutenu (C'est le Texte 2).
Pour la version en ligne, réécrivez votre premier texte en style soutenu sans vous référer au texte 0.
Si on peut mettre de la drôlerie dans la chose, ce sera encore mieux !
C'est toujours un réel délice Que d'aller à pied au marché Sainte-Thérèse.
Mais pour être plus réaliste Je dirai que l'on est benaise D'aller jusqu'au marché des Lices !
-A goûter Siné canon, ami·e·s oenologistes latinistes ?
Ça n'a rien à voir avec la programmation musicale de novembre des Grands gamins sur le mail, à part le nom, mais "j'en prends cinq" pour le coller ici quand même, ce morceau "vintage" !
Toujours aussi bien, ces pochoirs de Soul Jah Dom !
Le 15 novembre 2022, on pouvait voir ceci sur le boulevard Marbeuf...
...mais pas cela au même endroit.
Dans une rue de Rennes, le 17 novembre, on pouvait lire ceci...
... mais pas cela.
Le 19 novembre, rue de Lorient, on pouvait voir un beau ciel d'orage...
... mais pas cela.
Les "cela" ci-dessus étaient tous dans la tête de Joe Krapov, photographe boulimique rennais, inventeur du quatre-quarts photographique breton à une époque où tout le monde se foutait de plus en plus de l'image fixe et des jeux pusillanimes des artistes en herbe.
C'est la première fois de sa vie que la salle Mandoline, à la Maison de quartier de Villejean, ressemblait à une drôle de ménagerie ! J'avais demandé à ces dames de l'Atelier d'écriture d'amener des représentations d'animaux issues de leur environnement immédiat, domestique ou autre. Je crois que la palme d'or du récit animalier subjugant aura été décernée à l'unanimité à la pieuvre bleue de Dominique ! On a encore beaucoup ri ce soir-là !
Une expérience complètement surréaliste ! Je ne parle pas de ce projet d'une association de graffeurs rennais, Safari Graffiti, mais de ma présence sur les lieux de l'inauguration en tant qu'accompagnateur musical et chef de choeur d'une quarantaine de choristes de tous âges et de toutes nationalités !
Soit d'un côté une association qui a entrepris de faire peindre sur vingt-six murs de la ville de Rennes, par vingt-six artistes différents, vingt-six animaux dont le nom commence par une lettre chaque fois différente de l'alphabet. Le projet bénéficie du soutien financier de la ville de Rennes car il a été retenu dans le cadre du budget participatif de la Fabrique citoyenne.
Posons ensuite l'inauguration de l'antépenultième fresque, posée sur l'arrière de la Maison de quartier de Villejean par le très célèbre M. Poch, prévue ce samedi.
Soit, de l'autre côté, une dame fort sympathique et dynamique mais assez mystérieuse qui a émis le projet de créer une chorale éphémère pour chanter devant cette fresque, le jour dit, une chanson pour enfants qui parle de couleurs, de peinture et de barbouillage à laquelle ont été ajoutés plein de couplets pour lister les associations et institutions du quartier.
"???" se demande-t-on lorsqu'on vous sollicite pour participer au machin.
Parce que qui dit "chorale" dit "chef de choeur" ou "musicien". Pourquoi ne pas faire appel à ce Joe Krapov qui a déjà animé l'inauguration de l'arbre à palabres de Villejean ?
Quatre répétitions plus tard me voilà le vendredi et le samedi à la tête de ma première chorale pluriethnique, enthousiaste et enthousiasmante, remercié de tous les côtés par voix orale et par la satisfaction évidente des habitant·e·s de mon ancien quartier qui ont pu faire entendre leur voix ce jour !
Pour un peu, si les demandes protopotdecollaires de la Ville n'y avaient mis le hola, j'aurais presque pu prononcer devant ce nombreux public et devant l'élue à la culture, le discours krapovien ci-dessous qui me semblait donner plus de sens à la présence d'une chorale devant une représentation d'un yapock ou yapok, animal dont tout le monde ignorait l'existence avant de se lancer dans cette folle aventure !
Du surréalisme, vous dis-je ! Mais quelle émotion cela vous apporte, ce sentiment d'avoir fait une B.A. alors que vous êtes tout le contraire d'un scout ! ;-)
Au nom des habitantes et habitants de Villejean, nous tenons à souhaiter la bienvenue au Yapok de Poch et à procéder aux fiançailles officielles de ce nouveau Villejeannais et de son environnement.
Ave, Chironectes minimus, que l’on nomme aussi Opossum aquatique, Sarigue d’eau ou encore Yapok. (Merci, Wikipédia !)
Bienvenue, Yapok, à ton fin pelage noir et blanc, à tes pattes palmées et à tes mœurs aquatiques ! Il paraît que tes évolutions dans la flotte égalent en grâce celles de la loutre qui se prend elle-même pour la championne du monde de natation synchronisée – tout le monde connaît l’outrecuidance de la loutre qui danse !
Yapok, tu nous viens du Mexique ou de l’Argentine où tu vivais surtout la nuit de pêche dans les torrents de montagne et les ruisseaux forestiers. Tu te nourrissais là-bas de poissons et de crustacés. On essaiera de t’en trouver sur le marché du vendredi ! Sinon, il faudra que tu essaies la galette-saucisse, c’est pas mauvais non plus !
On ne sait rien de ton système de reproduction mais, de fait, cela ne nous regarde pas, Thierry, euh, Yapok, même si le fait que tu possèdes une queue préhensile longue de 35 à 39 centimètres fera pâlir d’envie plus d’un obsédé sexuel dans l’assistance mais cela n’a sans doute rien à voir dans l’histoire.
La femelle yapok a une période de gestation de 190 jours (six mois et dix jours). Elle met bas une portée de 2 à 5 petits. Madame Yapok dispose d’une poche marsupiale à fermeture éclair qui lui permet de plonger dans l’eau en gardant ses bébés au sec. Pas mal ! Alors que nous, il nous faut on ne sait pas combien de séances à la piscine de Villejeanpour éviter de boire la tasse quand on va se baigner à Saint-Malo ! Et encore, les jours de grande marée, on n’évite pas !
On ne sait pas s’il y a chez les Yapoks des pick-yapok-ckets, des hy-yapok-condriaques, des co-yapok-cléphiles, des buveurs d’hy-yapok-cras, des joueurs de strip-yapok-cker, des têtes pleines sorties d’hy-yapok-khâgne, des chercheurs de Yapok-kémon, des annonceurs de l’Yapok-calypse qui se plaignent qu’on vive dans une Yapok yopaque ! Est-ce que les médecins yapok et les yapok-thoicaires prononcent le serment d’Hi-yapok-crate ? Tu nous raconteras tout ça un de ces quatre à la nuit venue.
Ce qu’on sait c’est que tu débarques dans un quartier où les gens ne manquent ni de couleurs ni de joie de vivre. La preuve en est de cette chanson de présentation, « Tout rebarbouiller », due à la plume d’Alain Schneider que nous avons utilisée pour te parler de ton nouvel environnement où, nous l’espérons, yapok de Poch, tu grandiras et tu te plairas comme tu nous plais déjà. Je vous remercie de votre attention !
[Budget participatif] 🎨 Un abécédaire animalier sous forme de 2️⃣6️⃣ fresques géantes, c'est le projet lauréat de la Saison 4 du #Budgetparticipatif "Safari Graffiti". Les habitants du quartier Villejean venus nombreux et en chanson pour l'inauguration de la lettre Y ! pic.twitter.com/4c3688k9bY
J'ai zappé Zoroastre mais pas zappé Zorro qui signait son nom à la pointe de l’épée le jeudi après-midi chez les enfants du voisin.
J'ai zappé Zarathoustra le bouquin dont ainsi parlait Friedrich Nietzsche, mais pas la musique de Richard Strauss qui introduisait les Dossiers de l'écran sur la télé de mon arrière-grand-mère.
Pas non plus zappé Zébulon qui n'a jamais manqué de ressort pour animer les abords du Manège enchanté.
J'ai zappé le général Alcazar. Pas les albums de Tintin, bien sûr, je les ai tous sauf « chez les soviets », pas le militaire – je les aime peu en général et même en adjudant-chef - mais le lanceur de couteaux : je déteste les jeux et spectacles dangereux.
J'ai zappé la grande Zoa et son boa, la chanteuse Zazie, Zizi Jeanmaire et son truc à plume mais pas zappé Bernard Dimey dont j'adore justement la plume, les poèmes et les chansons.
J'ai zappé la zarzuela, le zouk et le kazatchok car je suis un piètre danseur.
J’ai zappé « Zaïde » car je n’ai aimé Mozart qu’après avoir vu « Amadeus » de Milos Forman.
J'ai zappé Zatopek, Émil parce que mon maximum quand je cours c'est 7 km.
J'ai zappé le Zaïre, la Zambie, le Zambèze, la Tanzanie, Zanzibar, les Zoulous, les pays où survivent les zèbres et les zébus, parce que Giscard ne m'a jamais invité à un de ses safaris. Je n'y serai pas allé de toute façon. Pourquoi est-ce que j'irais tuer des bêtes qui ne m'ont rien fait ?
Plus encore que le Kazakhstan, le Baloutchistan et le balourd qui se détend j'ai zappé les zakouski, les Frères Karamazov, Zamiatine et Zinoviev mais pas Michael Zochtchenko et ses contes de la vie de tous les jours que je vous recommande.
J’ai zappé « Bajazet » de Racine et « L’Emile » de Rousseau mais j'ai lu tout Zola, enfin, tous les volumes de la série des Rougon-Macquart.
J'ai zappé ZZ Top, Léon Zitrone car pas turfiste, Zeffirelli (lui ai préféré Bertolucci), Zoltan Kodaly, Zurbaran (mais pas « la vie c'est pas tous les zurbaran »), Led Zeppelin, Frank Zappa. Je n'ai jamais crié « Viva Zapata ! ». Zazie dans le métro ne m'a pas laissé un souvenir impérissable, je ne suis jamais allé à Knokke-le-Zoute, je n'habite pas dans la ZUP même si je sème parfois la zone. Je n'ai pas encore lu « Zorglub », pas vu « Zardoz » ni de film de Werner Herzog. Je ne roule pas en zigzag quand je prends le volant. Je ne suis jamais entré chez Zadig et Voltaire, je n'emploie jamais le mot « zob » mais je sais qu'il existe des gens zarbis, des zadistes, des zazous, des zozos, de drôles de zigotos et des plombiers zingueurs qui font leur turbin dans les salles de bain notamment chez Pierre Perret dont j'ai parfois chanté « Le Zizi » et « Les Baisers » surtout celui de Zézette (épouse X ?) le plus salé, le plus sucré, c'est le plus chouette.
Je me souviens de « Avec son tra la la » de Suzy Delair, des crêpes Suzette, de Zénaïde Fleuriot mais pas de ce qu'elle a écrit et je n'ai pas zappé que la fille des Thénardier qui ne s'appelle pas Eponine se prénomme Azelma. Je me souviens du duc de Gonzague dans « Le Bossu ».
J'ai zappé le zona, « Le Diable amoureux » de Cazotte, le général Koutouzov, Mona Ozouf, Zabou Breitman mais j’adore Sabine Azéma. J'ai dit zut au zirconium, je n’ai pas fait le zouave à Mazingarbe, pas croisé de zombis à Anzin, pas promené Azor sur la Côte d'Azur, jamais pris le zinc pour aller aux Zuhesses, pas applaudi Joop Zootemelk par grand zéphyr.
Quand Daniel bat l’avoine, je ne suis pas un zéro. Manquerait plus que ça, nom de Zeus, mais j'adore les zeugmas et les œufs en omelette et je joue du kazoo. Quand je chante « Le Chapeau de Zozo » j'essaie de ne pas zézayer. J'ai bu du café dans un mazagran et je ne me suis pas servi d'une fronde pour cabosser Mazarin. J'essaie toujours de rester zen.
J'ai visité le zoo de La Flèche mais pas le site d’Azincourt. J'ai acheté plein de magazines et j'ai troué la couche d'ozone comme tout le monde mais j'ai zappé Sarkozy et Zemmour les dernières fois où j'ai voté. Je ne sais pas si Zinedine Zidane entraîne le club de Ouarzazate mais je m'en fiche comme de mon premier slip en zibeline aéré.
Je n'ai jamais passé de week-end à Zuydcoote et je ne sais pas où se trouve Mazamet (j’ai vérifié depuis : c’est dans le Tarn ta g... à la récré !)
Cette énumération ne vous harrasse t-elle pas, ami Bidasse ? Parce que certaines personnes prétendent que Zarastro et que la reine de la nuit pas assez. Ze n'ai pas d'avis précis sur le suzet.
J'ai pris des photos avec un appareil Zénit mais je ne porte aucune marque au pinacle, surtout quand le soleil est au Zénith.
Bizarre ? Moi j'aurais dit « bizarre » ? Comme c'est bizarre, tout ce bazar !
Je me souviens qu'il y a un barrage à Donzère-Mondragon et des pêcheurs de perles chez Saint Georges Bizet.
Je n'ai bizuté personne à Uzès ou à Béziers. Je pense qu'il n'y a pas eu de duo Laurent Voulzy Marcel Zanini ni de Zucchero-Panzani.
Au bout du décompte je crois que j'ai zappé Mazeppa, Frazetta, Buzzelli, entre le zist et le zest (de citron), les zonzons (les moustiques), le passage du rouleau compresseur des Zan, Zachary Richard, Zelda Fitzgerald et son jeu vidéo, l'album « Zuma » de Neil Young, Hervé Bazin, Bazouges-la-Pérouse, Mézidon, Bozo le clown, Marcel Bozzuffi, Dizzy Gillepsie, Michel Jazy, les zygomatiques, Zigomar et Palomar de Delfeil de ton, les zigouigouis, les Gazaouis, Zénon, Marcel Azzola (Chauffe, Marcel!), la couleur zinzolin mais si je n'avais rien zappé on m'aurait accusé de faire de l'excès zèle ou d'être azimuté !
Il y avait encore l’illustrateur Caza, le Congo-Brazzaville, Zaza Fournier, Melchior et Balthazar, les jazzeux, les lazzis qui n'épargnent pas la mezzo-soprano, les pizzicati du pizzaïolo, Astor Piazzolla, « Razzia sur la chnouf », les petits rhizomes qui font les grandes rizières, Henri Krasucki sur sa Suzuki, le bouzouki de Zorba le grec, l’azalée c'est une valse ou une mazurka que dansent Arthur et Zoé.
Par Belzébuth j'ai failli oublier aussi Razibus Zouzou, le compagnon noir de Bibi Fricotin !
J’ai aussi zappé Zsa Zsa Gabor mais j'étais trop petit pour lui déclarer ma flamme . Elle est morte, feu Zsa Zsa gabor, paix à ses cendres. J'ai zappé le Zippo car je suis non-fumeur et puisqu'on parle de ça, d'allumer plutôt que de zapper, je ne zapperai pas pour finir Zavatta le clown dont j'ai découvert récemment cette géniale chansonnette dans laquelle il n'y a pas un seul « z ». Quelle belle zappette, le lipogramme !
Corentin le coquin rouquin canarde les créneaux du château de Costaérès qu’a construit Nicolas qui conteste, plan en main, cette atteinte culottée au plan d'occupation des sols imaginé dans sa coucourde hier pendant la sieste à la colonie. Il y a de la castagne dans l'air ! Si ça continue Nicolas va cogner Corentin comme le fait Eddie Constantine quand il endosse au cinéma le rôle de Lemmy Caution.
Nous sommes en 1961. En bas à droite de l'image, un crabe un peu crapule et sans pinces d’or crapahute parmi les coquillages et les couteaux pour s'en aller pincer l'orteil du capitaine Haddock qui fait la sieste. Qu’y a-t-il dans la caméra ? Des images de la Castafiore ? Du Karaboudjan ? Qu’a donc capté le Kodak ? Les nuits de Calcutta ? La Casbah d’Alger ? La route qui cahote quand on part d'une escale à Calais pour rejoindre le Kremlin-Bicêtre en autocar ?
Ce sont les inconnues de cette image. Nous, aujourd’hui, nous connaissons le contexte : c'est l'époque où commence, à Cap Canaveral et Baïkonour la conquête du cosmos. Capitalistes et communistes sont en guerre larvée, dite « froide ». Il y a des histoires de missiles à Cuba, une baie des Cochons, plus comiquement au cinéma les calotins de Don Camillo qui se confrontent aux cocos de Peppone.
Il y a le commandant Cousteau avec sa Calypso et son bonnet rouge qui commande au monde de faire silence mais va-t’en faire taire, toi, les requins de la finance ! C'est encore l'époque où le Vatican est constipé, où « Qui vous savez » n’a pas encore clamé « Vive le Québec libre ! » ni échappé à l’attentat du Petit-Clamart.
On roule en quatre chevaux, en Dauphine Renault, en Simca P60, on rêve de coupés, de cabriolets, de Cadillac aux calandre chromées et de Côte d’azur tout en emplissant le coffre et la galerie sur le toit de sacs et de valises pour aller profiter de ses congés payés en plantant sa tente au camping du Halloy à Berck-Plage (Pas-de-Calais).
Sur la couverture du pique-nique, Caroline et Colin boivent du Coca-Cola tandis que Papa, par-dessus le camembert, s’abreuve de Côtes-du-Rhône, insoucieux de l’alcootest qui ne verra le jour qu’en 1965.
Au cinéma, Liz Taylor n’a pas encore campé Cléopâtre, le cave se rebiffe, on suit Cléo de 5 à 7, on entend tonner les Canons de Navarone, Gary Cooper casse sa pipe le 13 mai, les Branquignols triomphent dans « La Belle Américaine ».
Les Branquignols triomphent ! Quelle différence entre 1961 et 2022 ? Aucune ! Ou, sinon, 61 ou 62 ans !
Qu'avons-nous connu ? Qu'avons nous conquis ? Le droit de jouer l'été à Robinson Crusoé sous les cocotiers ? La pilule plutôt que la capote ? L'envie de contempler un football collectif sous le climat caniculaire mais climatisé du Qatar ? La courante ? La colique ? La coqueluche ? La covid 19 ?
Qui peut-on encore appeler « camarade », aujourd’hui ?
Concrètement et personnellement je me concède le droit de ne pas répondre à ces questions, de poser mon crayon et de chercher dans cette image « vintage » les quinze différences entre l'image du haut et celle du bas.
P.S. - Pourquoi n’ai-je trouvé que 11 des 15 différences ? - Parce que, bien que né en 1989, ton unique neurone a quand même pris une part de ces 61 années dans les dents, Joe Krapov ! - OK, la prochaine fois j’amène des coloriages. J’essaierai de ne pas dépasser !
Pondu à l'Atelier d'écriture de Villejean le 22 novembre 2022
Toujours aussi intéressant ce cours d'informatique graphique du mercredi soir. Après Photopea et Canva, découverte ce soir de Goart.fotor.com qui permet d'appliquer un même effet créatif à des photos diverses, histoire de créer un style unique d'illustration pour un document.
Petits exemples pratiques de réalisations avec deux textes anciens de l'Atelier d'écriture de Villejean :
Joe Krapov est poète, humoriste (?), musicien à ses heures et photographe à seize heures trente. On trouvera ici un choix de ses productions dans ces différents domaines.