En un mot comme en cent. 22 novembre 2021, Suffirait de trois rien pour que
Il suffirait de trois fois rien pour que je passe l’hiver à lire des bandes dessinées, à faire des collages ou a écrire les 33 versions manquante des «99 dragons». Trois fois rien, c’est ce poil de misanthropie que je ne ressens pas vraiment quand j’interprète « Le pluriel » de Georges Brassens.