Il suffirait de trois fois rien pour que je passe l’hiver à lire des bandes dessinées, à faire des collages ou a écrire les 33 versions manquante des «99 dragons». Trois fois rien, c’est ce poil de misanthropie que je ne ressens pas vraiment quand j’interprète « Le pluriel » de Georges Brassens.
> >
En un mot comme en cent. 22 novembre 2021, Suffirait de trois rien pour que
07 décembre 2021
En un mot comme en cent. 22 novembre 2021, Suffirait de trois rien pour que
Posté par : Joe Krapov à 06:37 - 366 réels - Commentaires [0] - Permalien [#]
Tags : 366 réels, diaporama chanté, Georges Brassens
Tags : 366 réels, diaporama chanté, Georges Brassens
Vous aimerez peut-être :
Commentaires sur En un mot comme en cent. 22 novembre 2021, Suffirait de trois rien pour que
Nouveau commentaire