Fêtons la musique ! Rennes le 21 juin 2018
Les mA2R1 d'O douce faisaient entendre Bourvil, Graeme Allwright, Boby Lapointe, Georges Brassens et des chants de marins traditionnels dans la rue du Chapitre. (Ces deux photos sont empruntées à Basu Tallur. Grand merci à lui !)
Aller réécouter, photographier et filmer Voix nomades
a de nouveau été un enchantement !
Et c'était au Thabor !
Un pupitre vivant !
Argentiquités N 01/09. Les Tombées de la Nuit à Rennes les 5 et 6 juillet 2001 (1)
L'avaleur de sabres n'attend pas le nombre des années !
Cet artiste de rue se produisait en "off " des Tombées de la nuit.
Sur la pochette du négatif j'ai écrit que ce spectacle de danse de rue était le fruit de la compagnie Danse de rue ! Pas facile du coup de la retrouver sur le net ! Faudrait peut-être que j'aille faire un tour dans le grenier pour retrouver le programme ! Mais ces temps-ci je suis plus musicien accompaganteur qu'archiviste solitaire !
Argentiquités N 01/09. Les Tombées de la Nuit à Rennes les 5 et 6 juillet 2001 (4)
Nous avons vu dans ce chaudron posé place du Palais
une version de Carmen assez décoiffante.
On n'avait pas le droit de la photographier.
Tant pis pour les artistes ! On ne trouve plus trace d'eux sur Internet !
Erreur ! Après recherches - merci madame Wikipe ! -
on trouve qu'il 'agit de la Compagnie Off avec "Carmen opéra de rue"
Les Burattini. Eux existent encore !
Un lieu idéal pour un spectacle de proverbes touaregs made in Breizh
tels que j'en écrivais à la même époque !
Retourner au parc du Thabor à Rennes le 24 mai 2018 (1)
Bien que nous ne soyons pas des parents invasifs, je devrais profiter de ce pèlerinage d'hier à la roseraie du Thabor pour donner un cours de photographie à ma fille préférée. Je dis ma fille préférée mais nous n'en avons qu'une et nous avons aussi un fils préféré.
Les deux sont donc enfants uniques... en leur genre !
Ce n'est donc pas sur "M", Mademoiselle Zell, qu'il faut tourner la molette supérieure de l'appareil photo mais sur "A", ce qui a pour effet de donner la priorité au diaphragme. En suite de quoi il faut ouvrir celui-ci au maximum : comme les choses sont bien faites en ce bas monde, ouvrir au maximum veut dire qu'on sélectionne le nombre le plus petit ! Et pour finir on positionne un objet au premier plan. La profondeur de champ étant ainsi réduite, l'arrière-plan devient flou et, c'est bien connu, plus on est de flous plus on chérit !
Mouais... Pas terrible, hein, mes cours de technique photographique.
Je préfère définitivement la poésie drolatique !