Ici on a le choix entre chauve qui peut...
... chauve qui peut...
... et chauve qui peut !
... c'est à dire les chauves ! Ou le chauve qui peut général !
(Oui, je sais, mon discours est un poil ostraciste ce matin
et il s'en est fallu d'un cheveu que j'aille voter Pétrole Hahn !)
En bas de l'escalier, on est chez Lucien Rose, mais sans ukulélé !
Couleur de novembre,
Lumière incroyable, dûe
A l'abus de thé !
Partager Henri Gougaud
5 heures et demie du matin, la clé tourne dans la porte des Krapov. On n'a pas entendu la voiture entrer dans la cour, on n'a pas entendu de pas dans l'escalier. Le fils prodig(u)e vient finir sa nuit de festivalier nantais en expédition aux Transmusicales de Rennes. Noctambule, va !
On le retrouve à table vers 13 h autour d'un pot-au-feu, on écoute ses histoires, ses récits désabusés de découvreurs de choses bizarre au milieu d'une foule de lycéens et lycéennes allumés, comme ce trio qui joue de la musique répétitive à la vielle à roue, un instrument fabuleusement rock. Ca s'appelle France, la musique commence à 2'18" et ensuite vous pouvez zapper à 11'53 et à 22'42 et constater que c'est bien de la musique répétitive :
(J'en connais d'autres, comme ça, qui ont écouté Klaus Schulze
et conservé ses (deux, ça va, j'suis pas maso non plus !) disques vinyles !)
Invention de l'arbre à smileys !
B car Belgique...
B car Bretagne...
Ces deux pays se reflètent l'un dans l'autre.
Quand il y a du vent et qu'on prend la peine de les compter,
on constate que l'étang n'a pas pris une ride !
La maison déborde de photos, de fichiers sons à découper, de vidéos à publier, de diaporamas à fabriquer...
Et pendant ce temps-là, Monsieur suit Madame sur les chemins, à ses soirées contes, à ses concerts.
C'est quoi, l'ennui ?
Merci aux égayeurs de villes !
