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Mots et images de Joe Krapov

14 octobre 2013

Randonnée autour des Eyzies (Dordogne) le 25 juillet 2013 (6)

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Sauf que la station 6, non. On n'a jamais vu Manaurie ! Il fallait aller tout droit et ne pas suivre le balisage jaune des Micoques !

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14 octobre 2013

Randonnée autour des Eyzies (Dordogne) le 25 juillet 2013 (7)

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Peu importe ! Nous avons accompli une longue montée dans la forêt, sommes parvenus au point 7 avec une vue imprenable sur la Madeleine. Elle était réellement imprenable car des arbres bouchaient l'horizon ! 

14 octobre 2013

Randonnée autour des Eyzies (Dordogne) le 25 juillet 2013 (8)

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Puis on est redescendus tranquillement vers la civilisation.

12 octobre 2013

FLORENT FOUILLEMERDE, CHARGE DE FAMILLE

M. Florent Fouillemerde
Agence Fiat Panda

4, rue des Petits champs
35000 RENNES
 
                                                    M. Ferdinand FLURE
                                                    Agence Dupondet et Dupontet
                                                    120, rue de la Gare
                                                    65125 LES HAUTS DU TOURMALET

 
                                                                 Rennes, le 21 janvier 2001
 
                              Mon cher Ferdinand

            Vendredi c'était la cavalcade. Rennes en délires ! Depuis que je vis avec Isabelle, je n'ai plus une minute à moi le soir. En ce moment, en plus, c'est vraiment compliqué. Le correspondant allemand de son fils est là pour quinze jours et il faut essayer de l'occuper, de lui montrer la ville…
 

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Isabelle m'a demandé de les emmener au spectacle. Quelle aventure ! Nous y sommes allés à pied. Il y avait un monde fou qui descendait avec nous la rue en pente douce. Des voitures garées partout, un long cortège pareil à celui des rats du joueur de flûte de Hamlin. Surtout des hommes, de tous les âges, des enfants et des jeunes un peu excités. 

 

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- C'est Mylène Farmer, qu'on va voir ? ai-je demandé. Alexis et Julian ont éclaté de rire. Je n'ai pas vu ce qu'il y avait de drôle dans ma demande. Après le passage à niveau le boulevard fait un coude et, à cause du froid très vif et du léger brouillard, la lumière vive qui apparaît au loin prend des allures fantastiques. On pense à "Rencontres du troisième type". 

        Je ne sais même pas ce qu'on va écouter ce soir. C'est un groupe de rock ? De la musique celtique ? Les deux nigauds que j'accompagne ne font qu'échanger en anglais entre eux. On se demande bien à quoi servent les échanges de correspondants franco-allemands ! Si c'est pour parler dans la langue de Shakespeare !

        On passe dans une haie d'honneur formée de barrières métalliques d'un côté et de camions de marchands de galettes saucisses de l'autre. Mes fringues vont encore puer la merguez et le tabac, j'ai horreur de ça ! A l'entrée, on nous prend la moitié du ticket puis on nous fouille. Le gamin devant moi se fait confisquer sa bouteille d'eau ! Voilà des façons d'inciter le public à aller consommer à la buvette qui sont un peu cavalières !

        Les deux gars m'ont abandonné. Isabelle n'a pas eu trois places côte à côte et surtout elle a eu pitié de moi : elle m'a acheté une place assise alors que, paraît-il, le fin du fin ici c'est d'assister debout, en groupe, avec ses copains, à la manifestation.

        D'ailleurs c'est une manifestation. Je reconnais ce lieu ! Mais c'est vraiment surprenant qu'Alexis ait choisi d'emmener Julian à un meeting politique ! Je sais bien que ce sont les municipales et les cantonales, bientôt, j'ai même lu que Loïck Lebrun , le candidat de l'UDF à Rennes, a tenu récemment une réunion de campagne à la salle de la Cité mais j'ignorais que l'éducation civique tînt une place aussi importante dans la formation des jeunes collégiens.
Peut-être s'agit-il du "grand meeting du métropolitain", à cause du Val !

        Bien que ma place soit numérotée, je n'aperçois pas de rangée 2 ni de place 17. La première rangée de places assises porte le n° 4 et des handicapés en fauteuil roulant occupent le bas de la volée d'escaliers. Mais bon, il reste suffisamment de place pour que je puisse m'asseoir à la place 17 de la rangée 4. Les sièges sont en plastique vert et il y a des flaques d'eau sur le sol. D'où je suis je n'aperçois pas la tribune où l'homme politique va s'installer pour faire son discours. Pas d'estrade non plus pour les membres du bureau politique.

        La disposition de cet endroit est d'ailleurs assez surprenante : il y a des tribunes des quatre côtés d'un grand espace vert et là, justement, pas de scène non plus pour accueillir des musiciens où des danseurs ! Du coup c'est une sono pourrie qui diffuse du Alan Stivell et du EV.

        A huit heures moins deux le speaker nous demande de nous lever et de respecter une minute de silence. Puis, dès que nous nous sommes rassis, une bande de pom pom girls vient au centre des tribunes. C'est très joli. Elles n'ont pas de truc en plume dans le derrière mais cela fait un beau mouvement d'ensemble, un poil désordonné quand même. Ca fait penser à une chorégraphie de Decouflé. Il y a un groupe habillé de rouge, un autre en blanc et bleu, des types en noir aussi avec des drapeaux jaunes. Dans la tribune en face les gens commencent à sautiller sur place, en cadence, en chantant l'air de Kalinka.

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       Zut ! Voilà bien ma chance ! Je vais devoir me farcir une réunion du Parti communiste ! Effectivement, ils se mettent en effet ensuite à scander "Allez les rouges !". J'espère qu'ils ne vont pas en venir aux mains avec le groupe qui est à côté de moi. Ceux-là tapent sur des tambours et agitent un drapeau blanc au centre duquel est dessiné un personnage rigolo : Raymond Barre ! Le plus surprenant est qu'on a doté le plus ronflant des premiers ministres de la France d'une paire de cornes rouges qui lui donne l'air d'un diablotin !  

 

 

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        En face les communistes agitent des drapeaux rouges et des anarchistes se sont joints à eux car on voit aussi des oriflammes noirs. Il y en a même, à damier, où les deux couleurs sont mêlées.
 

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        Les pom pom girls en blanc et bleu, sans doute des gens du MPF de M. de Villiers, et celles en maillot rouge et noir ne font qu'aller et venir d'un bout à l'autre du terrain. Leur chorégraphie s'est affolée : parfois on les voit, tout au bout, tous ensemble à gauche dans le coin, puis ils reviennent vers moi, s'arrêtent et semblent se disputer pour la possession de quelque chose de blanc et noir. Il n'y a que le représentant des écologistes, avec son maillot vert, qui reste à peu près tranquille au même endroit, sauf que de temps en temps il saute en l'air sur place comme les singes qu'on voit au zoo dans leur cage. De l'agitation ? De la gesticulation ? De la provocation ?
 

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        En fait, maintenant que je prête un peu plus d'attention à ce qui se passe devant moi, je m'aperçois que ce ne sont pas des pom pom girls mais... des hommes en short ! Ils sont fous ces Bretons ! Avec le froid qu'il fait, se balader en short les mollets à l'air dans la nuit ! Je sais bien que les Ecossais portent un kilt avec rien dessous, ce n'est pas une raison quand même.

        Puis d'un seul coup d'un seul l'excitation monte chez les militants. Le type qui est derrière moi hurle :

- Rodriguez, enculé ! Pédé ! Sale pédé !

J'ignorais que ce M. Rodriguez se présentât lui aussi aux municipales. Ca n'a pas l'air de plaire à tout le monde en tout cas. J'entends encore :

- Qu'est-ce qu'il vient nous faire chier celui-là ? Enculé ! Ils sont nuls, les arbitres ! Carton ! Carton rouge !

        A côté, la bande de barristes excités s'est mise à chanter Dieu sait quoi sur l'air de "Yellow Submarine" des Beatles : y aurait-il un courant blairiste chez les centristes ? Un type distribue des ballons rouges, on les gonfle mais aucun slogan n'apparaît dessus alors du coup tout le monde s'amuse à les faire claquer.

        Au bout de trois quarts d'heure tout le monde se calme. Un groupuscule (gauchiste ?) vient poser au centre des tribunes un drapeau rond (ils ont des drapeaux ronds, vive la Bretagne...). Sur le drapeau rond, on peut lire "Carte Aurore". Un quart d'heure après, ils viennent l'enlever : ici les lendemains qui chantent ne chantent pas très longtemps.

 

carte_aurore

 

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        Cela fait une heure et demie que je suis là, le cul complètement gelé, à attendre que deux adolescents boutonneux aient fini de prendre leur pied dans un meeting politique absolument nul. Au moment où les pom pom girls commencent un court strip-tease pour en fait échanger leur maillots, le speaker reprend la parole, tout le monde se lève et quitte les lieux. Je ne comprends rien du tout à ce cirque. Il n'a pas pu venir, Edmond Hervé, ou quoi ? Il a eu un empêchement ? C'est le premier meeting politique que je vois où l'orateur ne vient pas et où les gens repartent chez eux calmement, contents, sans avoir entendu autre chose que du Alan Stivell ni vu rien d'autre que des types en short en train de se courir après ! De deux choses l'une : ou bien les Rennais sont trop intelligents pour moi, ou bien je m'étais fourvoyé dans une drôle de gay-pride !

- Sehr schön !" a commenté Julian. Je ne sais pas ce que vont penser les parents du correspondant allemand mais Isabelle et Alexis me doivent des explications. Toutes ces voitures qui nous ont doublés au retour, en faisant hurler leurs klaxons, et les gens dedans qui hurlaient par la fenêtre ouverte "On a gagné ! On a gagné !" ça m'a rappelé le 10 mai 1981 à Paris. Mais comment ont-ils fait pour gagner puisque les élections n'ont pas encore eu lieu ?

    Amitiés à madame Lapsi.

Evidemment, il ne s'agissait pas d'un meeting politique. Si vous n'avez pas encore deviné ce dont il s'agissait, retournez le moniteur de votre ordinateur afin d'avoir la solution inscrite ci-dessous

billet_rennes_guingamp

 
   Ecrit pour le Défi du samedi n° 267 à partir de cette consigne.

12 octobre 2013

L'ORIGINE DU MONDE

 

LOrigine-du-Monde-Courbet

L’origine du monde ! Gustave Courbet ! Qu’aurait-il pensé et dit, le peintre, en apprenant que le psych-anal-liste Jacques Lacan posséda un certain temps ce tableau mais qu'il le tenait bien caché à l'abri des regards ?

Dans nos imaginaires – je ne sais pas pour vous, mais moi de plus en plus ! – on a tendance à voir dans les psy-canal-ystes et chez les autres médecins des âmes des espèces de confesseurs très détachés des choses du sexe. Ces hommes de l’art ne seraient pas des cochons, mesdames ! Ils ne seraient pas obsédés pour deux ronds sauf par le nombre des euros que le client leur laisse à la fin de la séance.

Et pourtant, si j’en crois Etienne Klein, une anagramme possible de « l’origine du monde » est « religion du démon ». J’en déduis que le psychanalyste n’aime pas tirer le diable par la queue. Il craint sans doute que celle-ci lui reste dans la main. Et vous l’imaginez, Lacan, avec l’appendice caudal à la main dans le petit cabinet où s’allongent les patients ?

Les patients… Savez-vous qu’on les nomme ainsi parce que la guérison arrive très tard, ce qui permet de rapporter plus gros au soignant ? Celui-ci, devenu riche, peut alors chiner les Courbet aux puces à saint-Ouen tandis que nous continuons de courber l’échine sans faire de tintouin pour gagner plus modestement notre croûte.

21-_masson_-_l_origine_du_monde_-_1955

Et donc une fois en possession de ce trésor, notre Jacques s’empressa de le cacher. Longtemps je crus que c’était derrière un rideau noir mais madame Wikipe m’a appris que l’œuvre était dissimulée derrière un tableau surréaliste plus présentable d’André Masson, beau-frère du praticien. Acheter cher un tableau pour le tenir caché à l’abri du monde, c’est honteux !

Dans le même ordre d’idées, pour confirmer mes dires sur l’asexualité des disciples de Siegmund, Freud aurait déclaré : « Quelquefois un cigare est juste un cigare ».

Du reste, pour un peu, à cause de Fabrice Luchini, j’aurais confondu Jacques Lacan avec Roland Barthes et j’étais à deux doigts de penser que cela correspondait à des cachotteries d’homosexuels. Notez que je n'ai pas écrit cachochotteries. Je ne suis ni homophobe ni homophile, bien au contraire !

Peu importe. Je continue et je crois que je continuerai encore longtemps à me demander ce que faisait chez Lacan « L’origine du monde », ce vagin où goutte l’ombre du désir.

 Ecrit pour l'atelier d'écriture de Villejean le 10 septembre 2013 d'après la consigne : écrire le texte entre l'incipit "L'origine du monde, Gustave Courbet" et "ce vagin où goutte l'ombre du désir" qui en est l'anagramme tirée de ce livre.

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11 octobre 2013

L'Egypte au Musée du Louvre à Lens (Pas-de-Calais) le 9 août 2013 (1)

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Karnak - Egypte vers 1725 avant J.C. : Le vizir Néferkarê-lymérou, haut fonctionnaire du roi, statue en grès à ses heures perdues, rêve -t-il d'être calife à la place du calife ? Comment ? J'ai encore tout mélangé ?
Déjà au début, je croyais que c'était Belphégor !


11 octobre 2013

L'Egypte au Musée du Louvre à Lens (Pas-de-Calais) le 9 août 2013 (2)

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Je n'aurais jamais imaginé tout seul que cette demoiselle portât,
en sus d'une oie du Périgord à la main droite, de la bière "dans son p'tit panier" !
Cultivez-vous, braves gens !

11 octobre 2013

L'Egypte au Musée du Louvre à Lens (Pas-de-Calais) le 9 août 2013 (3)

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Pink panther ? Black panther ?
Perdu, Joe Krapov, c'est une déesse lionne !

(Et si ça se trouve, c'est son anniversaire ce jourd'hui 9 août !)

11 octobre 2013

JEAN-FRANCOIS CHAMPOLLION, CONSERVATEUR DU DEPARTEMENT D'EGYPTOLOGIE DU MUSEE DU LOUVRE

Jean-François Champollion, conservateur du département d’égyptologie du Musée du Louvre n’a pas toujours été cet homme respectable que l’on imagine et il n’a pas appartenu de tous temps à cette caste d’hommes célèbres dont l’histoire a conservé le nom au prétexte qu’ils étaient versés dans la science plutôt que dans le bas-côté boueux qui bordait en son temps la route de la gloire.

Et d’ailleurs ceux qui tombaient dans le fossé n’avaient plus qu’une chose à espérer : que le père de Victor Hugo eût à passer par là et dît à son hussard qu’il aimait entre tous : « Donne-lui tout de même à boire ! ».

Dès sa prime jeunesse Jean-François démontra qu’il était un homme de caractère et ses parents très vite eurent du mal à le comprendre. Lorsqu’il fut plus grand il eut maille à partir avec des moutardiers de Dijon. Car la famille Champollion avait ses racines dans l’Est. Certains étymologistes prétendent que Champollion viendrait de Champagne-Olion et que le « agne » disparut dès les premières contractions. Comme ses ancêtres tâtaient de la dive bouteille, ils eurent vite fait d’avoir en permanence soit un coup dans le nez, soit un coup dans l’aile, ce qui fit qu’à la longue Olion en prit deux avant que le tiret ne soit limogé et que le champ qui en avait pris ne revienne se coller dans la cage Ollion. Tout cela explique, encore aujourd’hui, que les Olion de Limoges ont de la parenté à Reims mais mon penchant pour la boisson m’a fait m’éloigner un peu trop de Jean-François et de sa mère.

Car vous savez comme sont les mères ! Oui, c’est ça, fusionnelles, et parfois même complètement chiantes, sauf la mienne et la vôtre évidemment ! Pendant sa jeunesse étudiante, une période au cours de laquelle il fit les quatre cents coups et même plus vu qu’il avait des affinités, il recevait chaque semaine une lettre de sa maman. La missive était pleine de recommandations, de conseils, de rappels et d’interrogations du type : « Que deviens-tu mon fils depuis la semaine dernière ? Bois-tu avec modération ? Te comportes-tu avec sagesse ? Agis-tu avec prudence ?». Les mères nous poussent à sortir avec des filles aux prénoms plus qu’improbables alors qu’il est si simple de boire avec La Goulue et d’en venir très vite aux mains avec Félicité qui n’attend que ça pour être heureuse.

Mais comme on avait encore à cette époque-là un peu de respect pour les croulants et les vieux birbes, plus qu’aujourd’hui en tout cas, il répondait sans rien lui dissimuler de sa vie dissolue.
- Aujourd’hui, chère Maman, je suis pianiste dans un bordel. ».
- Cette semaine, je travaille dans la réclame ». On ne disait pas « pub » à l’époque bien qu’on en fréquentât beaucoup, surtout en Angleterre, pour boire de la bière qu’on appelait Ale, d’où l’expression « avoir un coup dans l’ale ».
- Aujourd’hui, chère maman, j’ai raté mon CAPES pour la troisième fois consécutive ». « Ma send me money now, i gonna make it somehow » disait un tube de l’époque.
- Aujourd’hui chère maman, je tourne dans un porno avec George Sand et Alfred de Musset. On est à l’hôtel Danieli à Venise. ».
- Ma chère maman je vous écris que nous sommes entrés dans le pari de faire durer encore huit jours cette bataille d’Hernani dont tu as sans doute entendu parler. A propos… je préviens tout de suite, c’est une plaisanterie d’outre Rhin… Connais-tu le nom de l’épouse d’Herr Nani ? C’est très facile, c’est Frau Majkipu ! ».
- Cette fin de semaine, Pierre a épousé Rosette. ».

La pauvre femme ne trouva la tranquillité d’esprit que le jour où elle reçut une lettre d’Egypte qui disait :
« A la lueur fauve d’un gros lampion dépoli, et gouvernant mon émoi, je décrypte des cartouches. ».

Ecrit pour l'atelier d'écriture de Villejean le 10 septembre 2013 d'après la consigne : écrire le texte entre l'incipit "Jean-François Champollion, conservateur du département d’égyptologie du Musée du Louvre" et "A la lueur fauve d’un gros lampion dépoli, et gouvernant mon émoi, je décrypte des cartouches" qui en est l'anagramme tirée de ce livre.

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11 octobre 2013

Ce qu'on pouvait lire à Limeuil (Dordogne) le 24 juillet 2013 (1)

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Par le bouffon du roi !

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