Mots et images de Joe Krapov

J'aime Paimpol et sa falaise, son église et son grand pardon et son Festival du chant de marin !

Il fallait appuyer ? 

Nous ne sommes qu'en octobre et les arbres sont déjà blancs !

Moi aussi je cours, mais tout seul et sans dossard ! Je ne suis pas un numéro, je suis un sportif libre !

(Re)Trouvailles et visionnages

Tenir un blog comme celui-ci oblige à publier les quatre (ou douze) photos en commençant par la fin : 4, puis 3 puis 2 puis 1.
Pendant que je collais mes images et mon texte en-dessous, j'écoutais encore des vidéos sur Youtube, évidemment sans voir l'image, souvent mauvaise, du reste. Ce soir c'était le canal Camel. J'adore encore et toujours ces sonorités mi classiques mi-rock de la "progressive" music... d'hier ! C'est ici pour tout entendre : http://www.youtube.com/watch?v=YbqaKyVEFjU&list=RD02ZTVnCyDoQlQ

Ce n'est plus "Tout Rennes court", c'est "Tout Rennes vole" !

Quand tout Rennes court
En agité du bocal
Je photographie

Moi aussi j'ai couru ce week-end mais c'était pour aller - encore ! - ruiner mon ménage à la braderie du Secours populaire français au Thabor. J'en ai ramené ceci :

2 livres :
- Comment parler le belge et le comprendre (ce qui est moins simple) / Philippe Genion
- On n'arrête pas la connerie / Jean Yanne 

5 disques vinyles classiques :
- Adagios célèbres / Albinoni et tutti quanti !
- La fille de Mme Angot / Charles Lecoq
- Czech classic cantatas / Smetana, Dvorak, Foerster
- Cinq concertos pour hautbois / Vivaldi
- Schéhérazade / Rimsky-Korsakov

4 CD audio :
- Chansons lestes et féroces / Denise Bahous
- Hounds of love / Kate Bush
- Prague the city of music / Smetana, Dvorak, Suk, Fibich
- Lambarena : Bach to Africa / Hugues de Courson

Le tout pour 8,50 € ! On va manger des patates tout l'hiver ! ;-)

Ah ben il ne s'emmerdait pas, l'homme de Cro Magnon !

En relisant ce cahier jaune "Ecriture nomade décembre 2012 - septembre 2013", je m'aperçois que, pendant les vacances, je compte en francs plus qu'en euros. Ca donne cette notule-ci : "Aux Eyzies, écrasés de chaleur, avons bu au café de la Mairie une limonade (moi) et un Perrier tranche (Marina). 5,30 euros. C'est 60 centimes de plus que la veille au Bugue. Or 70 centimes ça fait entre 3,60 F et 4,20 F. Est-ce qu'on aurait toléré sans broncher un tel écart de prix avant 2002 ? A quand une loi qui fixe un prix unique pour la limonade ? Mais que fait Jack Lang ? 

Poésie périgourdine
Nous ne mettrons pas de sourdine
Pour trompetter partout très haut
Que nous t'aimons d'amour très... chaud !