Bons moments de 2022 (1)
Les répétitions et l'interprétation des chansons de Brassens avec la "chorale géante" de la Ballade avec Brassens. On retrouve ça ici dans cette vidéo de Charlie Meunier trouvée sur le web hier :
Les répétitions et l'interprétation des chansons de Brassens avec la "chorale géante" de la Ballade avec Brassens. On retrouve ça ici dans cette vidéo de Charlie Meunier trouvée sur le web hier :
De la neige à Noël ? En voir au cinéma nous réjouit le coeur, comme ce soir dans ce dévédé du film "Qui donc a vu ma belle ?" de Douglas Sirk. Avec une chouette chanson dans le style de 1920 pour le ukulélé rose de Joe Krapov !
Et pourquoi pas celle-ci, tant qu'à faire et tant les accords sont durs ! ;-)
"Paraît qu'il pleuvra plus jamais
Tant le climat s'est réchauffé
Oui mais s'il ne pleut plus jamais
Comment laverai-je mon nez ?"
On a découvert le jeu "Esquissé" en famille le soir du réveillon et on a bien rigolé. Evidememnt, mademoiselle Zell dessine mieux que les autres mais...
... comment aurait-elle fait pour représenter un bonhomme de neige assassiné à coups de bâtons de ski ? C'est un peu à ça que ressemblait le tiramisu de Noël de l'oncle Clodius : une tuerie !
"Esquissé" fonctionne selon le principe du téléphone arabe et du cadavre exquis. Sur un même carnet qui tourne, chacun doit dessiner un sujet donné sur une carte au départ. La personne suivante doit le reconnaître ou écrire ce qu'elle voit dans le dessin reçu. La personne suivante redessine alors à partir de ces mots. Etc.
Ce télétubbie est issu du mot "koala" !
Cette canalisation provient d'un espadon devenu un oiseau puis un bec puis une embouchure de saxophone ! Au cours de la soirée une strip-teaseuse s'est transformée en chapiteau de cirque et une navette spatiale en course automobile (en passant par un Michel Vaillant couvert de goudron et de plumes , vision signée Joe Krapov, bien évidemment !)
On a bien ri et comme ça vaut un bon beefteck, j'ai deux kilos à perdre désormais !
Je n'ai pas fini de courir en sautant par-dessus les flaques d'eau ! ;-)
Vive le boudin blanc, le foie gras, le champagne,
Le gros tas de paquets comme un mât de Cocagne !
Vivent les serpentins, les cotillons idiots
Et, au pied du sapin, l’amas de croquenots !
Vive le gros barbu, son coffre sur le dos
Débordant de jouets pour les petits enfants !
Vivent tous ces lutins emballeurs de cadeaux
Et les rennes chargés de l’acheminement !
Hourra pour le caviar, le saumon, le chapon,
Les vins fins, les flacons ! Bravo pour le sapin,
Pour le couvert dressé, le faste du salon
Qui se trouve surpris de faire aussi « rupin ».
Louangeons ces migrants d’il y a deux mille ans
Et cet accouchement entre l’âne et le bœuf
Un soir que l’hôpital manquait un peu d’allant
Mais c’est mieux maintenant ! Basta ! Au gui l’an neuf !
Dommage que leur gamin n’ait pas fait de vieux os !
C’est quand même grâce à lui qu’on se remplit la panse
Qu’on se goberge à bloc, qu’on écoute Tino,
Qu’à tire-larigot on s’embrasse et on danse !
Ecrit pour le Défi du samedi n° 747 d'après cette consigne : dodécasyllabes
J'ai retrouvé un nom noté sur un post-it. C'était celui d'Yvette Théraulaz. Je pense m'être abstenu jadis, par pudeur extrème, de parler de cette dame et je crois que j'ai eu tort.
Je ne sais plus par quel hasard j'étais tombé sur cette page-ci : http://www.genealogie-bazadais.fr/La%20pendule%20de%20mon%20voisin.htm
Il s'agit d'un recueil de vieilles chansons. J'ai bien évidemment cherché s'il n'existait pas, sur la toile, une version chantée de ce joli texte et c'est là que j'ai trouvé L'Yvette :
Si vous désirez découvrir le reste de son répertoire qui vaut vraiment le coup prévoyez une ou deux bonnes heures de navigation : la dame a tout mis sur sa chaîne Youtube, des pièces de théâtre, des récitals, des concerts, des émissions de télé... Bon amusement ! Et merci à Dame Yvette pour cette chanson réjouissante. Il faut que je pense à chercher ses accords pour la mettre dans ma guitare ou mon ukulélé.
Céphalo-aïe-podes
Alors que le calmar se marre la pieuvre se fait un sang d’encre. Tous les « Un peu, mon neveu ! » de sa tante acculent le mollusque à la perplexité, au doute sur sa contexture.
- C’est sûr, je n’ai pas quatre bras mais huit et pas de tentacules. Est-ce pour cette raison que je n’ai pas d’humour ?
- Tu pourrais en acheter à Saint-Ouen. Ils en vendent au marché aux octopuces ! se marre le calamar.
- Pourquoi la tante Parneuf dit-elle toujours « Un peu mon neveu ! » alors que je suis sa nièce ?
- Et pourquoi appelle-t-on la seiche seiche alors qu’au fond de l’eau on est toujours mouillé ? se remarre le calmar.
- Je vais finir par déprimer ! De ne rien comprendre au monde, ça me fait mal aux coeurs et j’en ai trois !
- Arrête de me remuer les triples ! rigole le porte-avion Charles de Gaulle qui passe juste au-dessus.
- Pourquoi ai-je tant de mal à supporter tous ces roturiers de la mer ? se lamente encore l’octopode.
- Palsambleu ! répond la seiche. Parce que tu as le sang bleu, pardi ! Allez, finissons par une devinette. Qu’est-ce que tu fais quand tu es agressée par le Chat de Chester à bord du Nautilus ?
- Le Chat de Chester ? Jamais vu ! Le Nautilus ? Kèkséksa ?
- T’as jamais lu « Alice au pays de 20000 lieues sous les mers » ? Réponds quand même !
- Non, je ne vois pas. Je ne sais pas. Je donne mon encre au chat.
- Bonne réponse ! C’est la première fois que tu nous fais marée, la pieuvre ! Quelle comique comaque !
Et calamar et seiche de s’étrangler de rire.
- Moi ? J’ai été comique ? Ce jour est à marquer d’une pierre colorée. Ventouse en être ainsi jusqu’à la fin des temps !
- ???? Ventouse ?
- Elle a dû vouloir dire Pustule. Pustule en être ainsi jusqu’à la fin des temps !
- C’est sûr, Rome ne s’est pas faite en un jour. C’est quand même un boulot, clown ! Faut de la préparation !