On va s'en jetée un ?
Il n'y a plus que Deuxben à coller ou graffer dans Rennes ? Je ne m'en plains pas, remarquez, et je constate avec plaisir que le plus beau de ses colllages reste intouché depuis plus de deux mois rue de Lorient.
L'hôtel Galicier, place Hoche, avec sa tourelle "Arthurlefantômesque" !
Une baigneuse qui déchire.
(Manque plus qu'une croix au-dessus du coeur et on a une publicité pour le Vendée Globes challenge ! OK, je sors !)
Je me suis mis en route, ce jour-là, pour une expédition photo vers le parc Oberthür.
La rivière et le vent, aidés par la lumière : les meilleurs des peintres abstraits !
Aucune dame blanche ici ne se noya.
Aucun arbre jamais n'est sorti de cette eau.
(La Dame blanche et L'Arbre d'eau sont les noms de ces deux péniches).
Scènes d'été indien, celui qu'on nomme ainsi parce qu'il refuse, à l'automne, d'y laisser des plumes. Moi-même, silencieux comme un Sioux, j'aiguise chaque matin ma plume pour qu'il en naisse trace de couleur. La suive qui veut, la suive qui peut !
La chanson (géniale !) du jour
Amitiés aux hypermnésiques de France, de Belgique et d'ailleurs !
Drôle de pêche miracle !
Un recueil de poèmes surréalistes de Léo Malet,
le créateur de Nestor Burma, s'intitulait :
"J'arbre comme cadavre".
Joli slogan pour l'automne, non ?
Cheminer dans les derniers feux.
Bientôt crépiteront
Ceux de nos cheminées
Arrêtée net dans sa chute ou (houx ?)...
...Percée jusques au fond du coeur
D'une atteinte imprévue aussi bien que mortelle...
C'est de Corneille, "Le Cid", of écorce !
Chercheur d'or
La forêt fourmille de pépites
Et ton coeur palpite
