Choses vues à Rennes le 7 avril 2018 (4)
Charleville-Mézières (Ardennes) le 15 juillet 2017 (2)
Arques-la-Bataille (Seine-Maritime) le 26 août 2018 (1)
Alors, toi t'es trop forte, Marina Bourgeoizovna !
Tu vas chanter le choeur des esclaves de Nabucch dans un choeur
et tout de suite ça devient un événement Télérama !
Chuis vert de jalousie !
Ah que... Ah que... Vous saviez que Johnny allait mourir et vous nous l'avez caché ?
- Pourquoi tu ne danses pas, Joe Krapov ?
- Je garde le sac de ma copine (enfin je garde trace de ses couleurs !).
Pendant ce temps à Rennes le 28 novembre 2017 (4)
En un mot comme en cent. 8 janvier 2017, Une question lue quelque part
Dans "Miniatures, opus 87" :
Tous ces labyrinthes
M’éreintent.
Toutes ces routes
Me déroutent.
Flocon de neige,
Où vais-je ?
Le sais-je ?
***
Par quel interstice viendra la justice ?
Dans "Bagatelles, opus 88" :
Est-il vraiment bien sein de rêver d’amazones ?
***
Pendant que le pape se tâte
Les Papous se tatouent.
Est-ce que le pape se tâte où
Les Papous se tatouent ?
Le Musée du cheval à Chantilly (Oise) le 7 août 2015 (4)
S'amuser à Nantes (Loire-Atlantique) le 18 avril 2016 (4)
Attention : ce véhicule a une fâcheuse tendance à se rebiffer !
... et du rétro rose réunis !
En un mot comme en cent : 366 réels à prise rapide
16 avril 2016
Faux et usage de faux
Il est bougrement curieux que ce même jour où Raymond nous invite à parler de faussaires, j’ai été amené, suite à un commentaire d’Adrienne, à faire disparaître un immeuble sur une photographie prise à Toulouse.
J’ai donc effectivement commis un faux ce jour. Reste la question : pour quel usage ?
« Pour le plaisir » est une réponse qui me satisfait bien.
Y avait un immeuble et pis d’un seul coup… épicurien !
Choses vues à Rennes le dimanche 13 mars 2016 (4)
En un mot comme en cent : 366 réels à prise rapide
15 mars 2016
Petite satisfaction personnelle
Les cents mots de Raymond Queneau, c’est un truc pour faire enfler les chevilles ?
Il parait que j’ai été brillant ce soir à l’atelier d’écriture.
La postérité jugera sur pièces et sur le site du "Défi du samedi" samedi prochain. J’ai écrit sur le thème « à la fortune du pot » et sur celui des dix mots de la francophonie réunis.
J’aime bien la dernière phrase de ce poème en prose et en cinq parties : « Car j’aime, à la fin du poème, qu’il pleuve parfois des saucisses ».
Krapovien plus qu’hugolien, n’est-il pas ?