Allumer le feu !

 - Qu'est-ce que ça ferait de belles cartes de voeux, tout ça, si j'envoyais encore des cartes de voeux !
- Qui t'empêche de le faire ?
- Personne ! Allez tiens, t'as raison, je vais en tirer 18 !

Je vous avais prévenu hier que je ne pourrais pas m'en empêcher ! ;-)

Ne pas pouvoir s'empêcher de photographier des paysages intemporels...
alors qu'on se trouve quand même bien dans cette époque-ci.

(Ah ouais ? répond mon salaud d'inconscient. Alors pourquoi n'écoutes-tu que de la musique du XXe siècle ?)

(Lui ne peut jamais s'empêcher de l'ouvrir !)

Ne pas pouvoir s'empêcher de marcher, même à côté de ses pompes :
ça fait un bien fou !

Ne pas pouvoir s'empêcher de couper les cheveux en quatre,
c'est dans la nature du coiffeur philosophe.

Ne pas pouvoir s'empêcher d'être séduit :
si c'est par des graphismes, on ne risque absolument rien.

Paysages lunaires I

Paysages lunaires II

Paysages lunaires III

Paysages lunaires IV

Le dévédé d'hier

J'ai revu avec grand plaisir "Je t'aime, je t'aime" d'Alain Resnais sur un scénario de Jacques Sternberg. On est en pleine science-fiction et en même temps ici et maintenant, enfin, dans le maintenant de 1968, avec un merveilleux Claude Rich et une troublante Olga Georges-Picot. Plutôt que la bande-annonce qui évacue un peu trop à mon gré le côté S.F., j'extrais ce passage-ci, un conte court de Sternberg dont j'ai déjà parlé ici ou là : 

A défaut de Lune géante on voit ici à la leçon de natation de jolies étoiles filantes... et justement, découverte vendredi, voici... 

La chanson du jour