Le dévédé d'hier
J'ai revu avec grand plaisir "Je t'aime, je t'aime" d'Alain Resnais sur un scénario de Jacques Sternberg. On est en pleine science-fiction et en même temps ici et maintenant, enfin, dans le maintenant de 1968, avec un merveilleux Claude Rich et une troublante Olga Georges-Picot. Plutôt que la bande-annonce qui évacue un peu trop à mon gré le côté S.F., j'extrais ce passage-ci, un conte court de Sternberg dont j'ai déjà parlé ici ou là :
j'aime beaucoup Sternberg, c'est bon c'est belge comme dit une pub