Les Dé-capiteuses au Musée d'Arts de Nantes le 26 décembre 2019
Judith et Salomé. Comment ne pas perdre la tête devant de telles beautés ? Holopherne et saint Jean Baptiste n'ont pas trouvé la réponse. Le Musée d'arts de Nantes abrite deux versions fantastiques de ces scènes bibliques dans lesquelles on a affaire à des dé-capiteuses (la krapoverie du jour !). "Judith et Holopherne" par un peintre anonyme du début du XVIIe siècle.
Ci-dessous, "Salomé" par Jean Benner (vers 1899).
- Tête de saint Jean Baptiste à la sauce gribiche.
- Joli ! Livré par Uber eats ?
- Non, c'est moi qui l'ai fait !
Charlie Chaplin dans l'oeil des avant-gardes à Nantes le 26 décembre 2019 (1)
Voilà ! Un peu de calme, de solitude (?) et de vacances ! Après les agapes d'un Noël encore une fois un peu agité nous avons pris le mercredi matin le bus n° 12 en direction du Musée d'art de Nantes. Je voulais y voir l'exposition "Charlie Chaplin dans l'oeil des avant-gardes" et aussi visiter le Musée d'arts de Nantes qui avait été fermé au public pendant un certain nombre d'années - 6 en fait ! - et a rouvert ses portes, complètement rénové, en 2017.
Un régal de retrouvailles, dans l'expo comme dans les collections permanentes, avec "mes amis les surréalistes" et d'autres noms très célèbres de la peinture.
"Le Cirque Médrano" par Fernand Léger (1918)
"Clown dans sa loge" par Walt Kuhn (1943)
"Le Chevalier" par Oskar Schlemmer (1928)
Charlie Chaplin dans l'oeil des avant-gardes à Nantes le 26 décembre 2019 (3)
Charlie Chaplin dans l'oeil des avant-gardes à Nantes le 26 décembre 2019 (4)
"La Femme chancelante" par Max Ernst (1923)
"Sans titre (éléphant, panthères et roues dentées)" par Robert Michel (1920)
"Schützenfest (foire de tir)" par Robert Michel (1920-1921)
"Poisson préhistorique" par Robert Michel (non daté car j'ai oublié de photographier la légende ou pas pu : dans le cadre de l'exposition une majorité de visiteurs se plante le dos tourné aux pièces exposées pour regarder les films de Charlie Chaplin projetés sur quatre écrans au centre du patio. Je ne me plains pas, Docteur, c'est très bien aussi de redécouvrir le patrimoine cinématographique de l'humanité ! Si le musée sert à ça aussi, tant mieux !).
"Voilà Elle" par Francis Picabia (1915)
De Trégastel à Ploumanac'h (Côtes d'Armor) le 1er novembre 2019 (1)
En vertu du principe EricChardénien selon lequel "le monde est gris le monde est bleu", j'ai opté ce jour là pour l'option "couleur renforcée" des effets créatifs du Nikon D3300. J'espère que vous n'en ressortirez pas complètement Stone(d) !