Darry Cowl est de retour ?

Voyons ? A qui me fait-elle donc penser, cette jolie clownesse ?

Ah ben oui ! Evidemment !

Isaure aussi a le droit de sortir s'amuser !

En un mot comme en cent : 366 réels à prise rapide

21 mars 2016

Qu’en restera-t-il dans un an ?

Qu’en restera-t-il dans un an de cette répétition des Am’nez ziques ? J’ai passé la matinée à éliminer des MP3 les faux-départ, les plantages, les oublis de paroles et je les ai mis dans un bêtisier.

Evidemment, qui dit bêtisier dit bêtise. Au moment où j’avais presque fini, le téléphone a sonné. Une démarcheuse, encore. J’ai raccroché puis enregistré mes fichiers… sauf le bêtisier !

Qu’en restera-t-il dans un an de toute cette activité à la maison ? Ne vous inquiétez pas ! Si tout va bien, votre ami « Gaston y’a l’téléfon qui son » aura pondu d’autres gaffes bien risibles !

 
Je l'ai refait le lendemain... à la fortune du pot !

A la fin du carnaval, la 2CV explose ?

En habit
De Charlot,
Sur petit vélo
Ou grand bi

Prendre les ordres du grand Satan ?

Photo-souvenir, SVP ?

Pas de photo-souvenir, SVP !

Dernière(re)touche de (au) maquillage

Lacet démoniaque !

Farfouiller, verbe intransitoire

Je n'aurais jamais Cruz ça de toi, Pénélope !

Un bout de feuille de salade ? Ca m'étonnerait, je n'en ai pas pris !

Y'a d' la joie !

 Bonjour, bonjour les hirondelles !

En un mot comme en cent : 366 réels à prise rapide

20 mars 2016

Au pied du lit (1)

Au pied du lit il y a le « Livre d’or de la science-fiction » de Philip K. Dick (Presses Pocket 5051).

J’ai relu les deux premières nouvelles et je les ai adorées. Elles sont de 1953 et 1956 mais restent d’une actualité brûlante.

Ca donne envie de se replonger dans « Loterie solaire » et dans « Le Maître du Haut château » que je n’ai jamais terminés. Pendant le voyage à Toulouse ?

Là-bas, ils ne seront pas au pied du lit : je n’emmène pas ma pile à lire en vacances ; je pose mes deux bouquins sur la table de chevet !

Au pied du lit (2)

Au pied du lit, ce soir, comme le chante Serge Gainsbourg, c’est un carnaval de confettis, ramenés de celui de Vitré.
Il y en a même des noirs et cela rappelle cette invention d’Alphonse Allais dans cette nouvelle, les confetti noirs pour personnes en deuil !
Là-dessus je vous laisse disserter de l’orthographe et surtout du pluriel de confetto ou confetti et m’en vais reprendre le deuil et le refrain du poinçonneur des Lilas !

Ces peintures allegoriques des quatre saisons sont épastrouillo-époustouflantes !

Quelques photos extraites du compte Instagram de la dame avec d'autres de ses réalisations

Ma nièce Célestine écrit sur son blog qu'il ne faut pas craindre d'aller toujours plus haut. Soit. Ce matin, je l'ai écoutée, j'ai pris mon équipement spécial, la clé avec un porte-clé de sorcière et j'ai fait l'ascension de l'escalier... jusqu'au grenier ! Là je me suis livré à une séance de spéléologie spatio-temporelle et je suis redescendu avec cinq boîtes de diapos, cinq ou six revues et surtout une boîte à archives dans laquelle j'ai retrouvé des trésors de ma vie antérieure, quand j'étais aquarelliste amateur.