Paysages lunaires III

Paysages lunaires IV

Le dévédé d'hier

J'ai revu avec grand plaisir "Je t'aime, je t'aime" d'Alain Resnais sur un scénario de Jacques Sternberg. On est en pleine science-fiction et en même temps ici et maintenant, enfin, dans le maintenant de 1968, avec un merveilleux Claude Rich et une troublante Olga Georges-Picot. Plutôt que la bande-annonce qui évacue un peu trop à mon gré le côté S.F., j'extrais ce passage-ci, un conte court de Sternberg dont j'ai déjà parlé ici ou là : 

Ouvre l'oeil mais le bon !

A l'absinthe, n'y touche !
Ca rend fou !

Agent de la circulation préhistorique ?

Faire tous ces kilomètres pour découvrir ça ! Tu parles d'un dépaysement ! Autant rester chez soi et regarder courir les souris vertes dans l'herbe de son jardinet ! ;-)

- Eh Manu, tu descends ?
- Pourquoi faire ? De toute façon, j'peux pas, l'escalier a été dérobé cette nuit !

Juste un conseil avant de vous laisser avec une série de photos muetttes : ne cherchez pas le musée du trompe l'oeil à Périgueux, il n'existe plus. C'est le premier musée du trompe l'oeil en trompe l'oeil que nous rencontrons sur notre chemin !

- Mais où est Charlie ?
- Là !

Minnie petite souris...

Ce n'est pas ici, le carnaval de Venise ?

Statut : squaw !