Si elles savaient comme je les aime, ces lectrices de livres en papier qui prennent leur pied en lisant dans le parc du Thabor !
Et même si parmi elles se sont glissés un ou deux mecs, ce n'est pas grave. Moi-même qui suis maintenant en vacances j'ai repiqué au truc. Je lis avec un plaisir infini des nouvelles de Ray Bradbury, ("Un dimanche tant bien que mal") et j'ai commencé à décortiquer la trentaine de numéros de "Charlie mensuel" que j'ai achetés place Hoche samedi dernier à un prix dérisoire. Il me reste également à terminer "Le huit" de Katherine Neville, un pavé mal écrit, mal traduit ou mal vieilli mais dont la thématique (la poursuite d'un jeu d'échecs maléfique à travers le temps) m'enchante. Nul doute que j'emmènerai aussi, avec mon ukulélé rose, un tome de Simenon en Omnibus pour meubler les temps morts - y en aura-t-il seulement ? ;-) - de nos semaines de séjour en bord de mer !