Les photos se suivent dans le répertoire et j'aurais presque envie de les publier toutes tant elles font du bien à l'âme !
Ecouter Camel par-dessus aide également à se sentir bien.
Dieulefit, tranquille,
Et nous nous y baladons
Sereins, attentifs.
En un mot comme en cent : 366 réels à prise rapide
18 mars 2016
Un moment où j'ai regardé l'heure
A un moment où j’ai regardé l’heure, il était seize heures. Trop tard pour aller courir. J’ai bu un café puis je me suis mis à faire ma cuisine. Les Am’nez ziques sont arrivés ensemble à 17 h 40 mais sans les biches.
On a bien répété. A un moment j’ai mis les briouats à la féta et aux olives dans le four. Ils en sont sortis desséchés : la minuterie ne fonctionne plus.
Si on ne change pas de four la semaine prochaine, je vais être condamné à regarder l’heure en permanence. Pourvu que ma montre tienne le coup !
image empruntée au ouèbe
Même après le Défi du samedi, on continue de célébrer le kitsch ?
Le deuxième dimanche du mois un marché d'antiquaires prend place désormais sur le mail François Mitterrand.
Autoportrait ampoulé (de Loué ?)
Encore un vélo pour Sebarjo !
Il y a du "chargé comme une valise" dans l'air !
Allez, tiens, je le fais !
Dans le vieux bahut
Des seringues pour charger
Comme une valise !
Ce dimanche matin, retour aux Gayeulles, à l'autre bout de la ville, pour écouter des conteurs. Retour à la maison puis ressortie l'après-midi, direction l'auditorium de Sainte Geneviève pour y écouter Girafe song de la Compagnie 3e acte. Du Boby Lapointe, du Brassens et parmi d'autres, cette petite merveille reprise aux Wriggles :
Bonjour. Est-ce que vous louez aussi des crépuscules ?
Si j'avais le temps, je nettoierais sur cette photo les tags débiles qui montrent qu'on peut fabriquer le pire à partir du meilleur.
Fabriquer de la beauté à partir du pire ?
Une définition optimiste de la poésie ?
En un mot comme en cent : 366 réels à prise rapide
17 mars 2016
Fallait pas que
Fallait pas que je mette les pieds dans le plat, dites donc. En cinq minutes ils étaient bloqués dans la bassine. Le copain de Marina, celui qui a détruit la cabane, n’avait plus qu’à me balancer dans le coffre et hop, direction la Vilaine. Drôle de façon de cimenter un couple !
Rassurez-vous : il ne s’agissait que de refaire la clôture du jardinet. J’ai donc creusé trois trous et nous y avons planté trois piquets avec du béton minute. Après, moi, vous savez, j’ai plus l’habitude de lire des polars que de fricoter avec... le réel à prise rapide !
Les deux dernières sont un clin d'oeil au boss
du Défi du samedi et à la charmante Miss MAP !
Avec les amitiés du neveu fou !
La friandise musicale du jour
Tous les matins désormais, j'écoute ce CD : The great Irish pub ballads collection
Sans boire de bière, heureusement !
Comme écrit Flaubert : "Pour les petites filles, cheval plus gros qu’un autre"
Pas de familiarité, s'il vous plaît !
Nous avons encore des prisons.
Elles sont à deux pas.
La décadence (des icônes) est en marche !
Comment appelle-t-on les habitant(e)s de Montélimar ?
Les Montélimarcescibles ? Les Montélimartien(ne)s ? Les Montélimarrant(e)s ?
Les Montélimartrois ? Parce que "Monte là-dessus et tu verras Montélimartre ?"
On les appelle les Montilien(ne)s.
En un mot comme en cent : 366 réels à prise rapide
16 mars 2016
Une belle image
Aujourd’hui, j’ai revu les treize gars bien perchés.
Il y a toujours au centre celui qui dit « tibi dabo claves regni caelorum », un genre de « Le changement, c’est maintenant », voyez ?
En attendant, on est mal assis sur les chaises de la cathédrale, la voisine de devant empêche de voir musiciens et chanteurs, la première partie est très bien (pourquoi personne n’applaudit entre les morceaux ? Y’a un code ?) mais le Requiem de Fauré est un peu… ensevelissant !
Je regarde le plafond, le Christ et ses apôtres.
C’est quand même une belle image !
