Brantôme : une Venise verte en Périgord.

 La rivière qui traverse (et entoure le centre de) Brantôme s'appelle la Dronne.

Le petit jeu du jour

J'ai donné ici la règle d'écriture de "la belle absente", un jeu d'écriture pérecquien pas piqué des zânetons. Dans la chaleur torride qui écrasait nos siestes à Brantôme, j'en ai concocté deux. Voici le premier qui est un bel absent. A vous de deviner de quel homme il est question. Trop fastoche !

Fricandeau à l’oseille avec Jules ? Bernique ! Soirée TV phagocytée
De déboires téléphoniques : jeunes filles enfuies, grivèlerie, crime…
Quel sort absurde, ma pauvre chère ! Quel enfer conjugal !
Il faut bien cependant qu’on cajole le flic harassé, qu’on lui serve un menu :
Mange, homme, ce potjevleesch, cette bénéfique daube !
Mais il vit au quai, hagard, fou, boit du schnaps au quai, jouit au quai…
Rêver de Meung-sur-Loire ? Il y pêchera seul ! Bifurque, jeune femme de flic !

Ouais, hein ? C'est beau une ville la nuit !

 L'autre représentation emblématique de Claude Nougaro est une statue au 1/43e de ce géant de la chanson située derrière le Capitole, près de la roche tarpéienne ;-). Je l'ai filmée avec à l'idée d'en faire un clip vidéo. Le voici :

Quand on échange des platitudes sous un platane, s'appellent-elles des platanitudes ?
Pourquoi pas ? On a bien droit au verbe zlataner !

Au bord du large fleuve la ville à pris ses aises.
Elle n'est pas la seule !

- Le petit pont de bois du jardin japonais...
Quand est-il photographiable vide d'occupants ?
- Comment ? Elle ne te plaît donc pas, la jolie Toulousaine ?

Ce n'est pas l'envie qui me manque de fabriquer, à partir de la centaine de photos prises ce jour-là, un diaporama sonorisé par le "Juditha triumphans" de Vivaldi, notamment les morceaux 14 et 15 !

En un mot comme en cent : 366 réels à prise rapide

21 avril 2016

Plaque de rue

Je retrouve sur mon ordi les photos du quartier Arnaud Bernard à Toulouse. Le Cartoville promettait monts et merveilles ici en matière de graffs colorés. Il y en a, certes, mais dans une seule rue ; ils sont tous recouverts de tags et donc pas présentables. Dommage.

Il ne me restera donc de cette déambulation que la plaque de rue ci-dessous. J’étais vraiment très content de la photographier : pour une fois qu’une rue est consacrée à ma personne !

Ok, je sors, Mesdames !