Le défilé du carnaval à Toulouse le 9 avril 2016 (4)
- Toi livide Livia dont on voit sur la vidéo te dévoilant sans voiles qu’il t’a ravie au lit, dis quel talent a-t-il, l’Italien, que nous n’avons pas ? Quelles secousses sismiques à lui dues provoquent les mimiques où ta joie quand tu jouis se dilue?
- Est-ce un Mickey maousse à mes trousses qui fait que je me trémousse ? Glop glop ! glapit devant son plug ma glotte. Sa tagliatelle est magique : elle glose et glisse avec délice comme sur la glace et je glousse et détrempe dans l’église d’indolence au faîte de tout, lourde du délit d’insolence au soir, jamais lasse comme Alice, l’Anglaise qui trempe le loir dans la mélasse au thé des fous.
- Dégueulasse ! J’en perds mon latin ! C’est la dernière fois que je te cuisine, cousine crue sans QI qui carottes mes espoirs, par cet aveu-plongeon, d’être un jour ton Don Juan !
Tope là, mon pote ! La popote du pape n’est pas top ! C’est des pâtes, des pâtes, des pâtes qu’il se tape, sauf parfois des patates aux câpres et paprika quand Capri s’est fini ou qu’il part se détendre à Pâques au Pakistan.
Le mime s’abîme dans la contemplation du Pô sans piper mot.
Quand le lévrier lève un lièvre en fuite le chasseur avec fièvre mais sans shit fonce tout schuss à sa suite et, sache-le, ça chie s’il trébuche sur une souche louche et ramasse une bûche. Ca le rend chèvre.
Le défilé du carnaval à Toulouse le 9 avril 2016 (5)
Chez les Papous, papa, les pinups sont pimpantes, les papys font du parapente et les pompiers du pont des Loges délogent les pipistrelles sans papiers qui pépient et piaillent la nuit à Paimpont où l’abeille coule, l’abeille coule, l’abeille coule près de l’abbaye cool.
Dans les granges qui regorgent de grains d’orge, quel grabuge ! Voilà qu’un gros et gras dragon grunge s’en vient faire rendre gorge à la prospérité des paysans du coin.
Tâter un tantinet du twist en trottinette est tentant. Mais gare à tes mollets si tu te casses la margoulette. Souvent il en coûte croûtes rouges, crois-nous, mou du genou !
Il faut la jouer mollo, mollah, le chant de ce cher Serge chez qui nous sommes, qui se moque du moka, « Couleur café ».
La mélodie décaféinée, au mélodica déféquée, sans liqueur, ou tapée sans délicatesse – qu’est-ce ?- sur ta caisse claire, ça énerve et ça écoeure.
Choses vues à Chailland (Mayenne) le 15 mai 2016 (2)
Je ne savais pas qu'Adolphe Chassériau, le papa d'Isaure, avait habité ici.
Comment ? C'est la maison natale de Charles Aznavour ? Ah bon, OK.
Le charmant petit chat à moustaches de feuilles indique toujours la direction aux festivaliers. Cinq scènes, cette année ! Difficile de tout voir et tout entendre. On s'en remet un peu au hasard.
LA LIGNE DU PARTI, JOE KRAPOV !
En un mot comme en cent
8 mai 2016
La ligne de
Aujourd’hui, la ligne qui va de A à B, je m’en contrefiche.
Mon abonnement annuel de bus est arrivé à échéance le 30 avril.
Je suis allé hier acheter 50 voyages que j’ai mis sur ma carte Korrigo. Mais j’ai pris la décision de faire tous mes déplacements à pied !
Me voilà donc au kiosque à musique, au « Dimanche du Thabor », à écouter M. Algo-rythme qui chante des Americana. Ensuite ce sera du jazz New Orleans avec le Sunny Side Jazz Band.
« La ligne de chance que j’ai pas, ho ! ».
Portraits de conteurs, conteuses et musiciens à Botmeur (Finistère) le 24 avril 2016 (2)
Portraits de conteurs, conteuses et musiciens à Botmeur (Finistère) le 24 avril 2016 (3)
Avant le départ du carnaval à Toulouse le 9 avril 2016 (4)
Sous laquelle de ces quatre photos voulais-je mettre la légende
"Moi, mon truc, c'est l'vélo" ?
En un mot comme en cent : 366 réels à prise rapide
20 avril
Rouge
Je n’ai pas déchargé sur l’ordinateur les photos prises hier de la balade urbaine n° 2. J’ai eu du mal parfois à en retrouver le fil rouge mais j’ai eu la surprise de trouver des sentences philosophiques appréciables tout au long de la promenade Emile Masson.
Aujourd’hui j’ai couru 8 kilomètres sans pause intermédiaire.
Et j’ai continué de télécharger les numéros de cette revue de bandes dessinées jadis éditée par les « rouges ».
Je n’en sors décidément pas, des périodiques électroniques !