A Dol-de-Bretagne le 6 août 2018 (1)
Choses vues à Rennes le 23 septembre 2018 (1)
Si Canalblog existe encore dans vingt ans et que ce site-ci est toujours présent sur la toile, les djeunns qui voudront savoir "qu'est-ce qu'il a, qui c'est ce mec-là" n'auront qu'à taper "Alexandre Benalla" dans Wikipédia.
(Taper A.B., c'est un juste retour de bâton, non ?). ;-(
Voici une enseigne qui n'a pas changé depuis au moins vingt ans.
La façade a juste été repeinte et me fait toujours penser à "Oh les beaux jours" de Samuel Beckett.
Une journée de balade au Mans (Sarthe) le 10 juillet 2018 (5)
En arrivant dans la partie du vieux Mans proche de la cathédrale, on ne reconnaît plus rien mais c'est normal : on est en train de mettre en place un tournage cinématographique ! Voilà ce que c'est de voyager dans le temps à larecherche des ses années 80-90 : on a vite fait de se retrouver en 1962 !
Ne croyez pas que j'aie quelque chose contre l'année 1962. Bien au contraire je lui dois mes bonheurs cinéphiliques du moment. En effet j'ai fini par emprunter à la Bibliothèque des Champs libres le coffret de cinq dévédés contenant l'oeuvre filmé de Pierre Etaix. Comment ai-je pu passer tant de temps en ignorant ces chefs d'oeuvres d'humanité, de poésie et de drôlerie que sont "Yoyo" et "Le Soupirant" ?
La première balade à Münich (Allemagne) le 1er mai 2018 (4)
Quand il voit comme on le déteste, le pigeon a les plumes qui se hérissent.
J'adore tellement ce mot que j'ai eu envie d'en faire un prénom !
"Ma chère Cariatide..."
ou sinon : Krapov, Joe - Lettres à Cariatide / Joe Krapov. - Rennes : Editions du Petit port et de la Haute Folie, 2018
C'est idiot : ce nom me rappelle quelque chose !
Ca te dit rien, toi, Fiodor ?
On va se faire sonner les cloches !
A relire, hier, quelques krapoveries "dragonnesques",
je n'ai pas refusé de qualifier ces textes de "baroques".
En balade à Fougères (Ille-et-Vilaine) le 29 mai 2018 (3)
Je le confirme ici aux divines soeurs P. qui nous ont divinement reçus à Fougères :
les mosaïques de l'ancienne usine Morel et Gaté sont bien d'Isidore Odorico.
J'en profite pour signaler à M. Macron et à ses sbires qui nous énervent un peu les nerfs avec leur "nouveau monde" que je préfère à cette pantalonnade de communicants les beautés de l'art nouveau auxquelles ils ne parviendront jamais, malgré qu'ils en aient (sous la semelle ?) ! ;-)