En un mot comme en cent. 9 août 2021, Bouches
Trois bouches me parlent du même bonhomme.
Celle de Marcel Proust m’endort : deux pages de «Combray II» suffisent à me faire trouver les bras de Morphée.
Celle de Jocelyne Sauvard me fatigue : à quoi bon évoquer Céleste et Marcel si c’est pour ajouter d’autres épisodes de l’enfance écrits à la première personne à la façon du «maître» ?
La troisième est passionnante : c’est celle de Céleste Albaret elle-même : «Monsieur Proust»
Et il existe même un film sur cette existence en chambre close !
Marcel ! Arrête ton cinéma !