Les aquarelles vénitiennes d'Ilarion Pavlovitch Krapov
En ces temps d'envahissement militaire de l'Ukraine par la très haïssable armée du dictateur Poutine, il ne fait peut-être plus très bon porter un pseudonyme de type Iosif Ilarionovitch Krapov sur la toile. Il faudra que j'en parle au gars qui agite ma marionnette et qui s'appelle lui Ilarion Pavlovitch Krapov. Je soupçonne fort qu'il se dira au-dessus de tout ça, que c'est son choix, que c'est drôle même si ça ne fait rire que lui et que de toute façon, s'il faut retenir quelque chose de son oeuvre, ce sont ses aquarelles réalisées au siècle dernier d'après des photos prises à Venise.
Et je ne suis pas loin de lui donner raison vu qu'on n'est aucunement russes, lui et moi : on est des citoyens du monde et d'origine franco-belge.
Par contre on n'applaudira pas Anatoly Karpov, notre dérisoire modèle de 1989, qui, député de la Douma, n'a pas craint de voter ces jours-ci en faveur de la guerre à l'Ukraine. Encore une idole des jeunes qui tourne mal !