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Mots et images de Joe Krapov
arbre
25 mars 2013

Un arbre très particulier rue de Vern à Rennes le 23 mars 2013 (4)

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J'ai été absent du Défi du samedi et de ce blog ce week-end ! C'est que nous sommes dans les deux semaines de "Quartiers en scène", un excellent festival de théâtre organisé par la Compagnie Patrick Cosnet et les cercles Paul Bert de Rennes. C'est en allant chercher mes billets pour "La casquette du lendemain" que j'ai fait la connaissance de cet arbre qui nous rappelle à sa façon que l'érotisme des uns est la pornographie des autres !

Découvertes et visionnages

Vendredi, nous sommes allés écouter "Denis Wetterwald et son orchestre". Excellent !

Vous pouvez voir un extrait de ce spectacle ici : http://www.cie-grand-desherbage.fr/les-spectacles-au-r%C3%A9pertoire/denis-wetterwald-et-son-orchestre/

Il y a aussi un extrait plus long sur Viméo. Le spectacle débute à 5'24.

 

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16 février 2013

L'Idole de Schroeder (3) : Rennes Villejean le 16 février 2013

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Aux frontières du temps qui fuit
S’il reste un peu de mon génie
Qu’on me laisse encore une nuit
Œuvrer à cette symphonie.

Aux bornes de l’a(b)surdité
Je ferai entendre la joie
D’un hymne de postérité
Pour une Europe qui flamboie.

11 février 2013

Crépuscule sur l'embarcadère vers l'île de Bréhat à Ploubazlanec (Côtes d'Armor) le 7 avril 2004

 

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LA MAGIE OPÉRA ?

Lorsqu’Athéna pose ses armes
Pour s’adonner, sens en alarmes,
Dans le milieu de ses clairières
Au troublant repos des guerrières

(Le monde apaisé sous la palme
Atteint lors un moment de calme) ;


Quand Neptune arrête son char
Et, dans l’écurie en bazar
Qu’Hercule ne nettoie jamais,
Dételle ses grands chevaux bais

(Alors les vagues sous les cieux
Ont le fracas silencieux) ;


Lorsque Zeus ne fait plus mystère
Qu’il n’est pas un gars du tonnerre
Et qu’il aime son rocking-chair,
Ses mots croisés et sa rombière

(Les séducteurs transformateurs
Doivent soigner leurs adducteurs) ;


Quand Apollon pose sa lyre,
Qu’il met son pyjama rayé
Et qu’il enfouit, comme en délire,
Sa tête sous son oreiller

(J’assistai au coucher du fauve,
Le ciel alla de jaune à mauve) ;


Alors le populo radieux
Se dit avec ravissement
Qu’il voit, comme les Allemands,
L’entier crépuscule des dieux

(Il y a bien Diane qui s’enfuit
Mais c’est qu’elle est gardien de nuit).


Ce tableau réjouit l’athée :
De ce feu, jamais ne s’en lasse.
L’amoureux, lui, alors se tait ;
Sa mie enlace, sa mie embrasse.

(Et ce moment, en vérité,
Est beaucoup plus divin que la divinité)

Ecrit pour Les Impromptus littéraires du 28 janvier 2013

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