Des animaux à Nantes et Trentemoult (Loire-Atlantique) le 6 avril 2016 (4)
Autrefois, j'étais l'éléphant le plus célèbre de toute la France. Maintenant, à Nantes, depuis qu'ils ont installé leur éléphant mécanique près de la galerie des machines, je n'existe plus pour personne. Ca me déglingue. Je ne suis plus qu'une loque !
Les découvertes réjouissantes
Cet après-midi sur le Défi du samedi, découverte d'un extrait de "L'Auberge du cheval blanc" dans la contribution de mon oncle Walrus. Ni une ni deux je file aux Champs libres renouveler mon abonnement et emprunter le double CD de cette opérette allemande dans sa version chantée par Bourvil. Des morceaux d'une gaîté à vous remettre d'aplomb tout un régiment de déprimés ! J'adore ceci :
et ceci :
et je n'ai pas encore tout écouté !
Au Salon du livre "Contes et légendes" à Botmeur (Finistère) le 24 avril 2016 (1)
Maïck la conteuse (Marina B.) donnait une prestation d'un quart d'heure à ce festival du conte dans les Monts d'Arrée. L'occasion de reprendre la route de Mûr-de-Bretagne, Gouarec, Carhaix et de retrouver, ici au loin, le lac de Brennilis avec son marécage du Yeunn Elez où se trouve la porte de l'enfer froid des Bretons.
Un tee-shirt inspirant vu à Toulouse le 10 avril 2016
Bon, c’est un match de rugby qui oppose deux équipes de la région toulousaine. Mais à la douzième minute, ça dégénère : le joueur Eugène R, surnommé « Son excellence » par ses coéquipiers, envoie un méchant coup de poing dans le ventre de Paris M., surnommé « Pomme de déesse », l’arbitre se trompe et siffle une faute de Labbé-Mouret qu’on surnomme « Pot-Bouille ». Alors ça devient la curée, ça se fout des gnons à la pelle, ca se cogne dessus avec la joie de vivre et la générosité en horions des méridionaux, bientôt c’est l’assommoir généralisé, la bête humaine est lâchée, le docteur Pascal est à l’œuvre, soignant ici, pansant là, rafistolant les génitoires endommagés, oeuvrant ainsi au bonheur des dames pour qu’elles aient droit encore à au moins une page d’amour même si ça ne sera pas le rêve mais plutôt la débâcle ce soir dans le lit de la Nana d’Eugène R. Et pour finir le match reprend, débouche sur une victoire par 36 à 23 de Rougon sur Macquart et j’ai oublié de dire que ça se passait dans les années 1880 ou dans ces eaux-là.