Rue de la Psalette à Rennes le 26 décembre 2015
Rue des Dames à Rennes le 26 décembre 2015
La vue depuis la rue Nantaise à Rennes le 27 décembre 2015 (1)
Après les folles agapes qui alourdissent nos estomacs - elles furent si folles que je donne l'impression d'en avoir plusieurs, des estomaques ! - j'ai repris hier la tradition des joggings-promenades du dimanche matin. Comme il y avait peu de lumière, j'ai encore abusé du mode "effet créatif" de mon Canon Ixus. Du coup je m'interroge. Le rôle de la photographie est-il de restituer la réalité ou de faire mensonge embellissant ? Faut-il passer parfois chez Monsieur Photoshop ? Les gens qui utilisent les filtres d'Instagram se posent-ils autant de questions que moi ? N'est-ce pas bien tentant d'appuyer sur tous les boutons ? Est-ce que je ne devrais pas plutôt rechausser mes baskets et faire un deuxième tour sans me soucier de ballotage philosophique ? Allez, oui, j'y retourne ! Mieux vaut maigrir que de s'aigrir !
La vue depuis la rue Nantaise à Rennes le 27 décembre 2015 (2)
A Rennes qui abrite, chez notre amie Isaure, "Le nouveau-né" de Georges de La Tour, n'est-il pas naturel d'aimer tout à la fois la flamme toute simple (d'une bougie, d'un feu ou d'un bel incendie) et le feu d'artifice fabriqué au Japon ou en Chine ? De s'aggréger à Grèges, commune de feu la Seine-Inférieure, un département où l'on brûla aussi beaucoup ?