B Car fait sa fête à Brassens à la Maison de quartier Francisco Ferrer à Rennes le 12 septembre 2014 (2)
Le groupe B car se produisait donc dans le cadre de la "Ballade avec Brassens" (dont vous aurez d'autres échos dans la semaine !) à la Maison de quartier Francisco Ferrer à Rennes. B Car est composé entre autres de Gilles Bémol et de Manu Dièse. Bien qu'attaqués sur la route par un convoi d'Indiens, les deux compères ne se sont pas démontés et nous ont expliqué "qu'on n'remue pas son popotin d'la même manière Pour un droguiste, un sacristain, un fonctionnaire".
B Car fait sa fête à Brassens à la Maison de quartier Francisco Ferrer à Rennes le 12 septembre 2014 (3)
B Car fait sa fête à Brassens à la Maison de quartier Francisco Ferrer à Rennes le 12 septembre 2014 (4)
Thomas Schoeffler Jr à Transat en ville à Rennes le 30 août 2014 (1)
Thomas Schoeffler Jr à Transat en ville à Rennes le 30 août 2014 (2)
Le gars a l'air tranquille comme ça. Il nous balance des chansons du type "Americana", country-folk des années 30 à 50 avec guitare et harmonica, façon "O'brother" des frères Cohen, reprise de Hank Williams, compositions personnelles dans ce même style mais attention...
Ca dégage un max ! Bootleneck, guitare saturée, harmonica à faire passer Dylan et Young pour des asthmatiques... Waoh !
Thomas Schoeffler Jr à Transat en ville à Rennes le 30 août 2014 (3)
Thomas Schoeffler Jr à Transat en ville à Rennes le 30 août 2014 (4)
La Fête du peuple breton en juin 2002 sur la place du Parlement à Rennes (1)
Ces jours-ci, je fais mon Vivian Maier ! Ces photos prises en juin 2002 avec un appareil argentique (Olympus OM 20, pour qui ça intéresserait) n'ont jamais été tirées sur papier. Cela fait douze ans que les négatifs dormaient dans une boîte métallique parallélépipédique ayant servi jadis à conserver des crêpes dentelles. C'est vous dire si je me régale à faire presque en même temps que vous ces découvertes de photos de Joe Krapov !
La Fête du peuple breton en juin 2002 sur la place du Parlement à Rennes (2)
En rentrant du boulot, je place deux bandes de pellicule dans les porte-négatifs, je fixe ça sur la vitre, je referme le couvercle du scanner et je regarde, admiratif, la machine faire le boulot à mas palce. Pas besoin de tremper les mains dans le révélateur, le bain d'arrêt, le fixateur, pas besoin de lavabo, de lampe jaune, de labo, de musique de Camel en fond sonore.
C'est incroyable ! Cinq minutes et les douze images sont là sur l'écran !
Et paradoxalement, je trouve ça dégoûtant ! Qu'est-ce que j'ai pu passer comme bon temps à développer mes photos noir et blanc moi-même pendant des années ! Se dire que tout ça c'est fini, alors là oui, Snif !