Sympathique festival africain sous le soleil à Bédée, ce week-end-là !

On peut lire un petit compte-rendu sur Ouest-France en ligne (et apercevoir votre serviteur au passage sur la photo !).

J'y accompagnais les conteurs de la rue d'en Bas qui se sont trouvé un bel arbre à palabres pour balancer leurs sympathiques histoires et j'y ai découvert de téméraires et photogéniques danseuses qui n'ont pas craint de soulever la poussière et faire danser le public sous un soleil bien plus africain que breton. Ce groupe s'appelle "Le Son mat" et fait partie de l'association Bagolo Fo si j'ai bien tout compris ?

J'ignorais que cet instrument de musique s'appelât une sanza
et pourtant nous en avons possédé une !

LOREILLE ET LARDU PHILOSOPHES

- Rafraîchissant, ce batik érotique !
- ???
- Ben quoi ? Par ces temps caniculaires, vivre d'amour et d'eau fraîche n'est peut-être pas un idéal convenable ?
- Boire de la bière en regardant Roland Garros à la télé ?

Masque d'"anonymous" africain ?

Le son mat des djembés et la poussière soulevée par les danseuses
faisait qu'on aurait pu s'y croire, en Afrique ! 

Jean-Emile Rabatjoie  vient d'aller coller ce masque sur le portrait de la Joconde.
Ca le fait !

Le quatrième est un boîteux, le quatrième est un boîteux !

Madame Chris Biche dans ses oeuvres de tresseuse (de fauves ?).

Infatigables !

Un peu grand, peut-être ?

Bravo encore à Olivier Grolleau pour sa chouette décoration de la médiathèque de Bréal  ! Nous y étions ce vendredi pour notre premier concert de chansons métézorrologiques : un récital quelque peu cavalier, surgi hors de la nuit des temps !

La cigogne s'appelle Marcelle...

... et son compagnon Marcel !

Heureusement ceux-là ne restent pas en permanence dans la médiathèque ! 

Les gars sont tellement Am'nez ziques qu'ils ont oublié de mettre leurs godasses !

Chez Gawalarn, la veille, acheté "Je me tuerais pour vous" de Francis Scott Fitzgerald. J'ai toujours adoré ce que ce type avait écrit. Et je continue !

- Je vais, dit Anita, vous emmener randonner sur un sentier où je ne vous ai jamais emmenés !
- Pas de souci, répondons-nous.

Sauf qu'elle n'a pas retrouvé la route de la "plage des curés" et que du coup, on a randonné sur un sentier où elle n'était jamais allée ! Si vous décidez un jour de suivre nos traces, je vous préviens : c'est très praticable mais sportif, accidenté, avec des tas de dénivelés et d'escaliers sur quatre kilomètres (fois deux pour le retour). Deux jours après, j'en ai les mollets qui souffrent encore ! Mais... qu'est-ce que c'est beau !