- J'adore tourner en rond dans la ville, dit le cheval.
- Moi aussi, répondis-je.

Le survol du restaurant...

... n'était qu'un jeu de miroir !

- Ta vie ne tient qu'à un fil, Téléféric !
(René Goscinny / Albert Uderzo - Astérix et les Goths)

Premiers vélos espagnols por el señor Sebarjo !

- D'un seul coup ça sent la chaussette ?

- Un drapeau a disparu ?
- C'est celui du triangle des Bermudes !

Je vous épargne le mirador de Colom (Anne et Serge... Golon ? Non, Christophe ;-)) et vous emmène sur la Rambla de mar qui mène au vieux port où on ne trouve en fait qu'un complexe hyper-moderne avec cinémas, piscine, bars et restaurants !

Bronzette sur les planches à Barcelone !
(Oui, je sais, j'aurais dû les garder pour les publier l'hiver prochain !
Je ne fais plus rien de sensé en ce moment !)

Je m'abstiens de commenter ces deux photos. Comme bien souvent, j'ai pris (et tiré !) mon parti du monde et dès le premier après-midi, je me suis mis à photographier les promeneurs. Comme disait Anita, pendant que Marina fonçait droit devant avec la ferme intention de me perdre dans la foule et dans un pays étranger, "Vamos a la playa ! Allons faire un peu de Doisneau !"

Difficile de bronzer tranquille !
Les vendeurs africains de castagnettes, éventails, sacs
et autres gadgets se cachent de la voiture de police.

La maison du dragon chinois sur la rambla s'appelle en fait la Casa Bruno Cuadros.
C'est un ancien magasin de parapluies.