Zakouska à Transat en ville le 17 août 2016 (1)
Au soir de cette belle journée ensoleillée, le ciel s'est couvert. Nous sommes quand même descendus à Transat en ville, place de la Mairie. Le groupe qui s'y produisait s'appelle Zakouska. Nous n'avons pas été déçus : ces quatre frêles jeunes gens vous installent en un rien de temps la Roumanie et ses musiques limitrophes sur la place. Dès les premiers morceaux, effet vampire ou pas, vous êtes mordu !
Zakouska à Transat en ville le 17 août 2016 (2)
Zakouska à Transat en ville le 17 août 2016 (3)
Zakouska à Transat en ville le 17 août 2016
Bravo encore et bonne continuation !
Le film du jour
En matières de commentaires je ne pense pas être plus doué que Jules César. C'est un exercice qui devient compliqué avec le temps. A la lecture d'un billet de blog ou d'un texte d'atelier d'écriture j'ai tendance à réagir un peu en troll - essayer d'être surprenant et drôle, même si on se sent très souvent à côté de la plaque mais on assume - et à tenter de faire aussi court que mon modèle, ce cher oncle Walrus, "roi de l'économie de mots plutôt riche en saillies portantes !".
Mes jeux de mots sont si pourris et mes références livresques ou filmiques si anciennes que j'accompagne souvent cela d'un lien explicatif. Ce fut le cas hier chez Adrienne où mon commentaire était "Un drole de paroissien !".
Je faisais référence à un film de Jean-Pierre Mocky de 1963 qu'on peut trouver en intégralité sur le web. Je n'avais jamais vu ce film et je l'ai donc regardé hier soir. J'ai été scotché par le jeu de Bourvil et par l'aspect iconoclaste du propos. Un grand moment de cinéma !
Carnage productions au Festival des Affranchis à la Flèche le 9 juillet 201L
Le grenier de Gaëtan Lecroteux aux Expressifs à... par NRmobile
Les Affranchis 2016 débutent avec "Carnage productions" qui présente "Ma vie de grenier". J’avais vu sur le web un extrait de ce spectacle qui fut recommandé en son temps par Dame Berthoise. Elle y avait bien ri, et moi aussi, surtout dans la première partie quand le personnage de Gaëtan « la bonne poire » raconte ses lectures d’enfance. La séquence sur Boucle d’Or est à hurler de rire et celle sur Rahan, son collier de griffes et son coutelas ne peut que parler à un drôle de loustic qui en possède l’intégrale (des bandes dessinées, pas de la panoplie – je pourrais aussi mais je n’ai ni la tignasse blonde ni la musculation du fils des âges farouches (joli virelangue !) -). (Cette ponctuation n’est pas un smiley, c’est juste ma tendance à ouvrir toujours des parenthèses on étouffe ici !).
J’ai moins aimé la prise d’otage pour le numéro de lancer de couteaux Tintinesque et la fin du récit ne pouvait être que dramatique (elle le fut). Un bon moment quand même.