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Mots et images de Joe Krapov
affranchis
16 juillet 2023

PAS ENCORE TOUT A FAIT AMNÉSIQUE. 2, Les Mascarons de Beaumarchais

DSC_0082Les Mascarons de Beaumarchais ! Je ne sais pas qui l'a inventé ce jeu de mots stupide mais il ne me fait pas rire. Il faut dire aussi qu'en matière de farce théâtrale, nous autres, les mascaranaons, on nous a joué un sacré tour de cochon !

Autant que vous en soyez averti·e·s : le paradis est un club privé ; n'y entre pas qui veut. Il y a une sacrée crise du logement, faut croire, chez les anges sans quéquette ! Et le restaurant-grill du père Lucifer, lui aussi, refuse du monde.

Alors ces Messieurs ont trouvé la solution : ils nous ont condamnés à l'immortalité et, partant, à l'immobilité. Dès lors que nous avons une représentation sur terre, photographie, sculpture, tableaux, nos âmes s'y retrouvent attachées à jamais et nous devenons des anaons. Voilà pourquoi certaines peuplades primitives ont toujours refusé de se laisser photographier. Le repos éternel est certainement plus doux dans les prairies sacrées du grand Wakonda que dans une boîte de clichés pris par Hugues Krafft, gastronome-voyageur rémois dont il faut visiter le musée Le Vergeur, place du Forum à Reims. On ne peut guère faire autrement vu que tous les autres établissements culturels de la ville sont fermés ou emballés pour travaux de réfection. C'est mon "hôte" qui m'a dit ça.

Je peux avoir l’air de me plaindre comme ça au nom d'un collectif de mascaronistes mécontents mais en fait, nous, ici, à La Flèche, ville du Sud de la Sarthe où siègent un prytanée militaire et l'imprimerie Brodart et Taupin, qui réalisa longtemps les fameux livres de poche, nous les mascarons de pierre, nous sommes depuis trente ans d'horribles privilégiés.

Depuis trente années maintenant on nous a affranchis. Libérés de la condamnation à notre purgatoire ! Mais pour deux jours dans l’année seulement. Ce n'est certes pas beaucoup mais c'est la rareté qui fait le prix des choses, pas vrai ?

DSC_0173

Deux jours dans l’année, en juillet, quand a lieu le festival de théâtre de rue des Affranchis, nous redevenons vivants. De la même façon que les tiques se laissent tomber de l'arbre et pénètrent la peau d'un animal à sang chaud, pansu ou non, nos âmes se glissent dans les corps de touristes en goguette qui viennent festoyer sur la place Henri IV, à l'îlot aux moutons, dans la cour de l'école Descartes ou dans celle de l’école Pape-Carpentier, à l'hôtel Huger ou au parc des Carmes. Cette année dans le corps de mon nouvel hôte, j'ai encore découvert plein de nouveaux spectacles très amusants. J’ai aimé surtout Jacqueline et Marcel qui ont fait le pari de nous lire les 175 lettres des "Liaisons dangereuses" de Choderlos de Laclos. En vérité, la lecture ne commence pour ainsi dire jamais tant les comédiens ont pondu de préambule digressifs et de dialogues drôles avec les otages du public pour se faire offrir bière ou vin blanc – ils y parviennent ! - ou pour le draguer effrontément, Jacqueline avouant qu’elle occupe la Chambre 7 de l'hôtel Henri IV pour ceux que ça intéresserait.

Le lendemain pour le spectacle musical de Jean-Luc Lagarce, par les mêmes, elle a annoncé qu’elle ne portait pas de culotte ! Elle nous a raconté ses démêlés avec les régisseurs de divers théâtres en vue d’obtenir un tabouret sur lequel elle puisse pivoter. Et là c’est Marcel – quel prénom, vraiment ! - qui est allé draguer un bonhomme dans le public ! Vous comprenez maintenant pourquoi ce festival s’appelle les Affranchis ? Cette introduction du graveleux et du trivial dans l'interprétation de pièces littéraires, quelle joie collective cela procure !
- Jean-Luc Lagarce est le dramaturge français le plus joué en France, fait remarquer Marcel.
Mais il n'y avait qu'une quinzaine de personnes ce soir-là à avouer le connaître.
- Tu vois, Jacqueline, nous sommes plus connus que Jean-Luc Lagarce maintenant !
Le fait est et ils le valent bien.

Il faisait très chaud le samedi. Mon hote et sa compagne sont allés boire une bière au café “L’Entracte”. 363 jours que je n'avais pas éprouvé cette sensation de désaltération ! Un mascaron, ça reçoit l'eau du ciel sur la gueule quand il pleut, le soleil dans les yeux quand il daigne briller et quelquefois hélas aussi le guano des oiseaux s’ils viennent à nicher dans un recoin du toit par-dessus le pignon où nous sommes sculptés.

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Mon couple de touristes rennais a éprouvé ensuite beaucoup d’émotion dans ses retrouvailles avec Madame Raymonde, une chanteuse de la Compagnie du Tapis Franc. C’est elle, avec Philippe Bilheur, Geneviève Delanné et plein d’autres gens dont elle a cité les noms qui a créé le festival il y a trente ans et en est devenue la mascotte. Ce samedi lis ont chanté “La Java” “Les Amis de monsieur”, “Le Pinard (c’est de la vinasse)”, du Bernard Dimey et une chanson que Jean Ferrat a écrite pour Zizi Jeanmaire et qui fait un peu pendant à “Ma môme”.

Sur le coup de 19 heures mes touristes sont allés manger des chinoiseries au parc des Carmes mais il y avait trop de monde à faire la queue pour des bières alors ils sont revenus dans ce même troquet de la place Henri IV et lui a bu, plutôt qu’une Grimbergen, une Pelforth alors qu’elle à choisi une Blanche hermine à la place d’un Perrier rondelle.

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Après, tout s’est mélangé pour moi. Plus l’habitude de boire, trop de kilomètres sans avoir mis le podomètre, le souvenir d’avoir trop ri à "Zaï Zaï Zaï", très drôle, de Fabcaro, d’avoir apprécié l’acrobate muet qui fait monter son mât de cocagne par le public, d’avoir boudé une pièce-concert de rap anti-boomers, d’avoir vu le montage et l’envol d’une montgolfière déjantée - parce que belge peut-être ? – au stade Montréal.

Et si la tête ne m’avait pas tourné autant j'aurais pu enregistrer la scène de ménage des voisins au camping. Où c'est la femme qui est rentrée complètement saoule toquer à la porte du camping-car à 01h30 du matin. Mam Goudig à l'envers !

Maintenant, il faut que je vous raconte l’essentiel, mon choc émotionnel à moi que ça me concerne personnellement. Le dimanche à midi, mon couple de Rennais s'est retrouvé au restaurant “L’Etoile du Maroc” avec des blogamis. J'ignore ce que signifie ce terme mais j'ai appris que Joe, c'est le prénom de mon hôte et le docteur Z avaient autrefois l'habitude de se lancer des défis d'écriture le samedi ou quelque chose comme ça.

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J'ai écouté d'une oreille distraite les récits de voyages et les projets de publication d'archives familiales du docteur parce que l'autre, j’étais tout occupé de la conversation entre Marina B. et la belle Gabrielle, la compagne du docteur.

Outre que son élégance et sa beauté relâchée en séduiraient plus d'un, cette jolie dame s'est lancée dans un cours d'histoire des croisades puis a parlé de ses cultures de plantes exotiques. Les dames d'aujourd'hui ont toutes les pouces verts, semble-t-il. Et puis elle a parlé du jeu d'échecs auquel elle joue régulièrement.

Et à un moment, elle a lâché LE morceau : il existerait selon elle une chatière à la porte du paradis ! Et là, malgré l'effet du kir à la mûre que j'avais pris en apéritif, malgré l'enchaînement des verres de Boulaouane par-dessus le couscous Merguez, j'ai compris que nous étions bel et bien quatre anaons autour du thé à la menthe clôturant le repas annuel des blogamis.

Alors évidemment, nous l'avons interrogée, la belle Gabrielle. D’après elle, ça se passerait à l'heure où nous quittons les dépouilles vivantes de nos hôtes. Il suffirait de se remémorer puis de réciter la suite des coups gagnants de la variante avec 4. e3 du Contre-gambit Albin pour nous retrouver avec juste nos têtes de mascarons devant la chatière. Et là, comme un vulgaire matou domestique, il n’y aurait plus qu’à rouler pour entrer discrètement dans le domaine de Saint Pierre.

Sur mon programme du festival j'ai noté la suite de coups magique. Je me la suis répétée tout l'après-midi en regardant d'autres spectacles dont une excellente version de “L’Ours” de Tchekhov, du cirque et deux fanfares spectaculaires.

Et le soir au camping, au moment de quitter les deux pseudo-intellos rennais, j'ai commencé la litanie des coups. Mais les voisins du camping-car d'à côté ont fait à nouveau un barouf d'enfer : elle a mis du rap à fond en cuisinant des courgettes. Le mec, un ex-taulard sans doute, a téléphoné à quelqu'un pour lui raconter sa dernière entrevue avec les flics.

Résultat, j'ai raté la chatière ! La preuve : je suis de retour avec mes huit potes sur le mur latéral de l'Église de La Flèche.

Et en apercevant mon reflet dans la vitre d'en face, je peux bien vous le dire : j'ai une sacrée gueule de bois ! C’en est au point que je me demande si je n'ai pas rêvé tout cela !

DDS 776 mascaron d'Amiens 133407734

Ecrit pour le Défi du samedi n° 776 à partir de cette consigne : la photo ci-dessus

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8 juillet 2023

BLOGANPOZ

BLOGANPOZ

Ce week-end les Krapov marcheront, rigoleront et iront au restaurant avec un autre Défiant du samedi dans ce coin-là :

2023 07 07 Affranchis

 

Ensuite, pour de sombres histoires administratives qu'on vous racontera peut-être,
(j'ajouterais bien "et aussi parce qu'ils aiment la cuisine épicée" mais c'est vraiment très nul !)
ils retourneront passer huit jours du côté de Baguer-Pican.
Ils y feront du vélo et prendront du repos !

Désolé de n'avoir pas eu le temps de programmer des images mais vous allez en voir plein de votre côté cet été!

 

21 juillet 2022

DES ARBRES ET DES RACINES EN SARTHE

On a pu voir sur les photos que j’ai prises de Tascabillissimo comme le parc des Carmes à La Flèche offre un cadre propice aux concerts champêtres. "La Sarthe est un jardin extraordinaire" clamait-on dans le journal départemental à l’époque où nous avons habité la bonne ville de Sablé.

De fait, pas très loin de la forêt de Bellebranche, nous n’avons pas pris racine mais… nous avons fait souche !

Notre fils et notre fille ont posé loin derrière eux maintenant leurs années d’enfance où je les emmenais à la bibliothèque municipale, dans le parc du château, à l'hippodrome, au carnaval et où nous leur faisions découvrir les 24 heures du livre et les Cénomanies au Mans ou le festival des Affranchis à La Flèche.

Nous, depuis que les Tombées de la nuit rennaises sont devenues une catastrophe conceptuelle, nous avons pris l’option de retourner à celui-ci chaque année pour nous gaver pendant deux jours de théâtre de rue, de musique et de cirque, de soleil de juillet et de paysages de bords de Loir.

2022-07-09 - 285 2

Depuis quelques années nous ajoutons à ce plaisir celui de déjeuner à « L’Etoile du Maroc » en compagnie du bon docteur Zigmund et de sa belle Gabrielle dont je ne vous dis que ça parce que si je me lance dans l’évocation des passions que j’ai en commun avec cette dame, le début Bird 1.f4 et le double fianchetto dit « hippopotame » ou « méthode Ruiz », vous allez vous y perdre ou plutôt on va vous perdre en route.

Nous avons aussi rencontré là une année la charmante Miss Bongo(pinot) : c’est dire si la Sarthe est une terre de Défi (du samedi) !

Mais revenons à cette histoire d’arbres et de racines qui fait écho au billet de ce jour de Dame Adrienne.

2022-07-09 - Nikon 5

 

2022-07-09 - Nikon 8 recadrée

Il y avait cette année un nouveau lieu très arboré, le jardin de la Dauversière, où nous avons vu deux beaux spectacles. Celui d’Arsène Folazur (Dominique Gras), une merveille d’humour et de poésie, une fête du langage qui trouve sa source chez Sol, Pierre Repp, Raymond Devos et d’autres grands noms comme Rimbaud ou Jean-Roger Caussimon ; celui, de danse acrobatique aérienne, de la Compagnie Camille Judic, « Peau d’âme », plus difficile à photographier.

2022-07-10 - Nikon 23

 ***

Au fur et à mesure de nos retours à La Flèche, ces années de vie sabolienne prennent pour nous des allures d’incunable : cela fera vingt-cinq ans en septembre que nous en sommes partis.

Quand on y pense, c’est grâce aux arbres et à l’usage qu’en fait l’homme que j’ai pu mener la vie de château pendant douze ans là-bas. J’ai effectivement oeuvré, avec mes modestes moyens, à la sauvegarde du patrimoine imprimé de la nation au sein de la très vénérable Bibliothèque Nationale pas encore de France. C’est que voyez-vous, le papier utilisé à partir de la seconde moitié du XIXe siècle, fabriqué à partir de pâte de bois, a une fâcheuse tendance à brûler, à jaunir, à partir en lambeaux.

D 93 22 34 Sablé feu d'artifice du 14 juillet

Et donc ce Centre de conservation du livre de la B.N. oeuvrait à la reproduction des documents fragiles sur microfiches et microfilms dans le lieu même où Charles Cros travailla à des recherches sur la photographie des couleurs, dans ce château du XVIIIe siècle qui appartint à Colbert de Torcy, à la Duchesse de Chevreuse et à son fils le duc de Chaulnes, puis à une famille d’industriels du Nord, les Williot, qui fabriquèrent là de la chicorée.

***

Me voilà donc avant-hier à raconter en une phrase ce phénomène chimique sous un autre billet d’Adrienne. Là-dessus je m’en vais chercher confirmation de mes dires sur le web et c’est là que je tombe sur… la fin de l’histoire ! Dans une série d’articles des « Nouvelles de Sablé » de 2021 j’apprends que le centre va fermer définitivement en 2027 ou 2028 et qu’il en sera de même pour celui de Bussy Saint-Georges que nous avions fui en 1997, préférant un exil au paradis rennais à un retour en région parisienne.

La BNF a lancé un appel d’offres – une vente aux enchères, plutôt ! - pour créer un centre nouveau pour le stockage des périodiques et la conservation-restauration de ses collections. Conditions demandées : fourniture de 15000 m² de terrain et plus, à moins de deux heures de train de Paris, participation financière forte de la collectivité territoriale répondant à un budget situé entre 70 et 90 millions d’euros. Cent emplois à la clé.

***

40 personnes à Sablé, 50 à Bussy vont donc se trouver face aux problèmes d’un déménagement forcé dans la bonne ville… d’Amiens qui a payé le plus pour décrocher le jackpot. Je sais, ça n’est rien par rapport à l’invasion d’un pays par un autre. Mais ça aurait pu nous arriver !

***

C’est quoi le paradoxe – forcément provocateur ou sado-masochiste - dans l’histoire ? Pendant que l’on s’agite et qu’on dépense un pognon de dingue - comme dit souvent un célèbre natif d’Amiens - pour conserver des vieux papiers – les forêts brûlent partout dans le monde ! Et nos blogs philosophico-humoristiques, si essentiels à la bonne santé mentale de leurs lecteurs·trices, ne relèvent toujours pas du dépôt légal ! ;-)

Allez, soyons positifs : nous avons bien rigolé là-bas et et c’est le pays natal de Joe Krapov, alors vive l’hiver, vivent les arbres… et vivent les racines ! 

19 juillet 2022

Tascabilissimo ! au Festival des Affranchis à la Flèche le 9 juillet 2022

J'avais prédit à Marina B. qu'on aurait peut-être un "petit" festival des Affranchis car le coup d'oeil jeté vite fait avant de partir sur la programmation laissait entrevoir de nombreux numéros de cirque. Nous qui sommes plutôt férus de théâtre et de musique, nous en avons eu finalement pour notre compte avec trois coups de coeur : Arsène Folazur, "Poucet" des Royales marionnettes de Belgique, et sur le plan musical, Tascabilissimo !, un duo composé de Violette Delarozière et Marta dell'Anno (est-elle parente avcec Pe(r)dro dell'Anne ?).

Ces deux dames ont un talent fou, une pêche du tonnerre, elles sont belles à damner, elles jouent à merveille de l'accordéon et de l'alto et font guincher le public lors de leur concert à danser, en fait un généreux bal folk où ne manquent pas pour autant des moments de beauté et de tendresse. Voyez la dernière photo du second billet où elles viennent claquer des doigts devant le ventre d'une future maman pour rythmer...une chanson d'évasion !

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19 juillet 2022

Tascabilissimo ! au Festival des Affranchis à la Flèche le 10 juillet 2022

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 Je sais bien que le temps caniculaire n'incite pas à se trémousser le popotin
mais le fait est-là : la tarentelle est super belle et dansante chez Tascabilissimo  ! 







On peut écouter un album entier de ces dames sur Deezer.

Elles y ont aussi une discographie intéressante sous leur nom :

Victoria Delarozière

Marta Dell'Anno

Merci et bravo à ces enchanteuses d'été !

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29 septembre 2020

Cinq aquarelles sarthoises retrouvées

Elles sont datées du 21 et du 22 août 1995. Il y en a quatre qui sont faites d'après des diapositives prises au festival des Affranchis dont un portrait de Madame Raymonde (Denis d'Arcangelo). Une autre, celle des barques, est peut-être issue d'une balade à Morannes-sur-Sarthe ? Je l'ai un peu retouchée dans Photoshop, les noirs manquant de profondeur.

 

Comédien aux Affranchis à La Flèche (réduit)

Jongleur aux Affranchis à La Flèche (réduit)

Les Eurocrates aux Affranchis à la Flèche (réduite)

Madame Raymonde aux Affranchis à la Flèche (réduite)

 

Barques à Morannes (réduite)

23 juillet 2019

Petits pas de côté aux Affranchis : la Flèche le 6 juillet 2019 (1)

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J'ai toujours préféré aux voisins les voisines...

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... fussent-elles mères de familles...

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... d'enfants accros au téléphone...
mais à part les gens qui passent ici, qui ne l'est pas, de nos jours ?

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Dans la cité de Brodard et Taupin, ça la fiche mal, non ?

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Retrouvailles avec notre ami le Loir
pour un nouveau thé des fous !

23 juillet 2019

Petits pas de côté aux Affranchis : la Flèche le 6 juillet 2019 (2)

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Petits pas de côté aux Affranchis : la Flèche le 6 juillet 2019 (3)

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Traditionnelles photos de La Flèche by night lors du retour au camping !

23 juillet 2019

Petits pas de côté aux Affranchis : la Flèche le 7 juillet 2019 (1)

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Le bonheur sur terre, ce n'est pas compliqué. C'est un grand crème avec un croissant et un pain au chocolat en terrasse du café l'Entr'acte.
Ca n'arrive qu'une fois par an et en plus cette année, c'était un deuxième petit-déj !

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J'ai toujours préféré aux voisins les voisines.

Prêt.e.s pour "Fenêtre sur cour" en 3 mintes 44 ?

 

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Dimanche 11 heures en plain cagnard !
Trouver fraîcheur est tout un art !

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