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Mots et images de Joe Krapov
noel
9 janvier 2020

Choses vues à Lannion le 2 janvier 2020 (3)

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25 décembre 2019

Joyeux Noël !

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23 décembre 2019

99 DRAGONS : EXERCICES DE STYLE. 51, Conte de Noël et d’univers parallèle

Dans cet univers-là, j’en suis désolé pour le bœuf et l’âne, personne ne vient accoucher dans leur étable aux environs de la Noël. Enfin du 25 décembre. Exit Jésus. Pas de Marie ni de Joseph. Il n’y a pas de mythe de l’immatriculée conception, pas de plaque minéralogique « Galilée ». Il n’y a pas de roi mage ni de plumage pour savoir lequel est le noir de Melchior, Balthazar et Gaspard.

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Dans cet univers-là, j’en suis désolé pour les rennes mais la Finlande n’existe pas. Le Père Noël n’y a pas installé ses ateliers de fabrication de jouets pour enfants sages. Il n’y a pas de traîneau qui traverse le ciel dans la nuit étoilée, pas de lutins en C.D.D. qui ont emballé des cadeaux, pas de cheminée pour les recevoir, pas de chaussons au pied du sapin. Pas de Mère Noël qui s’affale devant un Walt Disney à la télé pour oublier que ce soir-là son mari bosse de nuit et qu’elle est encore seule avec sa voisine de palier, la mère Fouettard, pour s’envoyer du Champagne par-dessus de la dinde aux marrons en soupirant de concert qu’il y en a marre de ces dindons : avec le métier qu’ils ont et personne pour vouloir prendre la relève, ces deux imbéciles ne sont pas près de prendre leur retraite. En même temps, dans notre univers à nous on est aussi un certain nombre d’imbéciles potentiels à qui on dit qu’il faut travailler jusqu’à 64 ans alors que ça fait déjà huit ans qu’on ne veut plus les employer : trop vieux, trop chers, pas assez esclaves corvéables et taillable à merci comme les jeunes. Merci patrons, Merci Macron !

Et donc, dans cet univers parallèle-là, le personnage emblématique du solstice d’hiver est un dragon qui habite dans une grotte avec ses deux femelles, Eulalie et Hortense Tatin. Le dragon lui s’appelle Grostas. Grostas Tatin ! C’est pas l’homme qui prend l’amer, c’est l’amer qui prend l’homme !

Et notre dragon est très en colère parce que c’est la fin de l’année. Il sait bien que ses deux cuisinières vont encore lui saloper le gigot d’agneau à la fraise des bois qu’il a ramené de sa chasse du matin. Eulalie et Hortense, c’est bien simple, elles font toujours tout à l’envers. Parfois elles lui fabriquent des écailles « Lady Gaga » avec la viande des ovins.

- Ca te va à ravir, Grostas ! » s’exclament-elles en chœur.

Parfois elles mettent à cuire la toison des bêleurs. Ca pue dans le gourbi ! Je ne sais pas si vous avez déjà filé la laine aux flammes mais je peux vous assurer que la combustion du poil de mouton, ça ne sent pas bon ! Surtout dans une grotte de dragon !

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Donc Grostas est en colère. Il va encore y avoir un cadeau à tomber du ciel. Tous les ans le Créateur de cet univers, pour une raison que Lui seul connaît, gratifie les trois dragons de la grotte d’un paquet mystérieux. Grostas, Hortense et Eulalie enlèvent le papier et les ficelles avec leurs grosses griffes, ce qui n’est déjà pas facile, puis se grattent la tête. Il va falloir mener l’enquête sur ce que ça peut bien être. Et pour mener des investigations dans cet univers où ne vivent que trois dragons, des millions de moutons et une sorcière, ce n’est pas sorcier, il faut aller la voir : Madame Wekeep, un puits de science à bas bleus et verrue sur le nez.

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Madame Wekeep est du genre tristouille. Elle a beaucoup voyagé sur son balai mais ne peut plus bouger depuis que celui-ci a attrapé de l’arthrite. En fait elle a eu vite fait de faire le tour de ce monde-là.

- Je n’ai vu que des moutons qui moutonnoient à perte de vue et si je n’avais pas les sciences occultes et l’Interplanètes pour m’occuper je m’emmerderais ferme sur cette boule à la con où il n’y a que trois dragons et pas un seul chevalier Saint-Georges.

- Joyeux Noël, Madame Wekeep !

Voilà justement les Tatin qui se pointent chez elleavec leur gros popotin, leurs paquets-cadeaux et leur questions de victimes à jamais de l’illectronisme.

- Est-ce que vous pouvez nous dire c’est quoi-t-est-ce qu’on a reçu, cette année ? demande Hortense. L’année dernière, le train électrique, on n’a toujours pas compris le concept. Pourquoi est-ce qu’on aurait besoin d’énergie pour se déplacer ? Notre univers est peuplé de moutons à perte de vue, les paysages sont pareils partout et on n’est que quatre à y habiter ?

- Vous savez, répond Madame Wekeep, c’est très bien quand même, la curiosité intellectuelle ! Découvrir de nouvelles idées, imaginer d’autres mondes, inventer des machines qui vous simplifient la vie… Par exemple moi ma vie serait bien plus belle avec un chat sur les genoux.

- Vous rigolez ou quoi avec vos curiosités ? rétorque Eulalie. L’année d’avant, le camion de pompiers, si c’était pas du foutage de gueule ! Un truc pour éteindre le feu ! Mais nous, si on ne crache plus de flammes, comment on les fait griller, les côtes d’agneau ? En frottant deux silex l’un contre l’autre ?

- C’est une idée. Ca pourrait marcher. Qu’est-ce qu’Il vous a apporté, cette année ?

- Tenez, regardez. C’est là dans le carton. On a fait un seul paquet. Le truc qui bouge un peu n’a pas l’air intéressé par l’espèce de frisbee et la petite balle rouge. Vous avez déjà vu ça ? demande Hortense.

Eulalie montre l’intérieur du carton. On y trouve un cercle de métal avec des rebords, une sphère de couleur rouge et un animal oblong qui n’a pas de pattes.
- Non. Ca ne me dit rien. Mais je vais consulter mon miroir magique vu que vous êtes venu.e.s pour ça. (Oui, dans cet univers-là l’écriture inclusive existe aussi). Vous voyez que vous en avez un petit peu quand même, de la curiosité !

- De la gourmandise surtout, répond Grostas. On ne sait jamais, peut-être que ça se mange, cette année ! Le ragoût de mouton, à la longue, c’est monotone, même avec de la menthe. Quant à la panse de brebis farcie…

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La sorcière s’approche de son chaudron et se penche sur un liquide pas très ragoûtant qui bouillonne à l’intérieur. D’une vieille cage à fromage grillagée elle extirpe une souris vivante en la tenant par la queue et la plonge dans l’huile qui aussitôt émet des bruits : « Boubeule ! Bloubgueule ! Gloubeule ! Gougueule ! ».

Aussitôt que la souris a fait « clic » - dans cet univers-là c’est l’onomatopée qui correspond à « couic » chez nous – la surface du liquide s’immobilise, s’éclaircit et devient aussi lumineuse et réfléchissante qu’un miroir de beauté matinale.

Madame Wekeep sort la sphère rouge en la tenant par la petite queue qu’elle a sur la tête. Elle la pose à la surface du chaudron où le liquide s’est solidifié comme l’eau se transforme en glace chez nous en hiver – enfin, les années où il n’y a pas de réchauffement climatique ! -. Puis elle entre en transe. Ses yeux deviennent rouge, elle semble partir loin, à l’écoute de voix sourdes, enfin, muettes pour les autres puisque intérieures, se convulse, puis sourit, puis revient et atterrit.

- Ca s’appelle une pomme. C’est un fruit qui vient d’un arbre. Ca contient des graines qu’on appelle des pépins. Si on enterre ces pépins dans le sol il va pousser un arbre et sur cet arbre il y aura plein de fruits qui seront pleins de pépins.

- Qu’est-ce que vous voulez qu’on foute de ça ? s’inquiète Grostas.

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- Figurez-vous que les fruits se mangent ! Vous pourriez vous convertir au véganisme ! Mangez des pommes !

- Ca me dit vaguement quelque chose, commente Hortense. Et le truc rond, c’est un panneau pour dire des choses au camion de pompiers ?

Madame Wekeep pose le plateau sur le chaudron.

- Lui c’est un moule à tartes.

- C’est quoi, une tarte ? C’est pour mettre des pommes dedans ?

- Ne répondez-pas, madame Wekeep, s’inquiète Grostas. Je sens qu’il y a encore une bêtise à la clé avec ça! Et le morceau de boudin qui gigote, là, c’est quoi ?

La sorcière enfile des gants pour se saisir de l’animal visqueux. Même cinéma que précédemment.

- Lui c’est un serpent.

- Ca donne des fruits aussi ?

- Non. Ca donne des conseils mais on fait bien de ne pas les suivre. Accessoirement ça siffle jusque sur la colline si vous le mettez au-dessus de vos têtes.

- Comme le train électrique ! Ou comme l’instrument de musique. Le pipeau d’il y a trois ans ! Résultat des courses, ça rime à quoi, madame la sorcière ?

- Je ne comprends pas. Un serpent et une pomme. Une pomme et un plat à tarte. Je ne vois vraiment pas où Il veut en venir !

- Nulle part, je crois ! Il a juste respecté sa tradition à la con ! Merci pour les recherches en tout cas ! Nous on retourne bouffer nos moutons à la con. On vous laisse tout ça. Bonne journée à vous, Madame Wekeep. Et désolé qu’il n’y ait pas eu de chat dans le paquet.

***

Depuis la Noël de cette année-là la sorcière Wekeep est moins tristouille. Elle a découvert que le serpent parlait et qu’il connaissait des tas d’histoires. Mistigri – elle l’a appelé comme ça, du nom du chat dont elle rêvait – lui a expliqué la raison pour laquelle il y avait tant de moutons dans cet univers-ci.

- Il y en a autant que de sacs en plastique blanc dans les océans de Terra 8223. C’est la loi de compensation dite du yin et du yang. Pour une planète qui pollue et s’auto-asphyxie, il y a une planète qui resplendit et qui prospère.

Depuis la Noël de cette année-là Hortense et Eulalie rigolent beaucoup plus dans le dos de Grostas. Elles sont revenues chercher la pomme et la tourtière chez la sorcière. Elles ont planté les pépins et un arbre a poussé très vite car sur cette planète-là le sol est intact, ni trites, ni trutes ni trates ni phosphates ou vrais fats à part Grostas Tatin. Dès qu’il y aura deux pommes sur l’arbre elles ont prévu de les croquer pour voir ce qui se passera.

Depuis la Noël de cette année-là Grostas Tatin dort mal la nuit au fond de sa grotte. Il rêve de plus en plus souvent à la Noël prochaine. Il craint que le Créateur ne leur fasse cadeau d’une cuisinière à gaz et d’une vie sexuelle à vocation reproductive.

- Pour peu qu’il nous gratifie en plus d’un calendrier avec des dimanches midi, on ne va pas échapper aux repas de famille !

Bon réveillon à vous quand même !


Pondu à l'Atelier d'écriture de Villejean le mardi 17 décembre 2019

d'après la consigne ci-dessous.

30 décembre 2018

PAPY FAIT SON INTÉRESSANT !

 

181230 Almanach-2019-VermotMon arrière-grand-père, Papy Lazare, celui qui a fait un farctus de la cocarde il y a trois ans, il nous a tous invités chez lui pour fêter la Noël au lendemain du réveillon.

Maintenant que Mamy Marie-Madeleine ne se souvient plus trop du prénom d’un gars qui s’appelle Al Ho-Hisse, c’est Papy qui nous fait la cuisine et qui distribue les cadeaux. J’ai encore eu droit à un livre en papier qui ne rentre pas plus que l’année dernière dans ma console de jeux mais maintenant j’ai l’habitude : j’essaye de le revendre après sur « Le bon coin » ou de l’échanger dans la cour de récré, son Almanach Vermot de l’année en cours. Les dessins plaisent bien aux copains.

Papy avait fait deux pintades, Papa et Maman avaient amené le champagne et les gâteaux apéro de luxe, l’oncle Paul un tiramisu aux kiwis et l’oncle Mathieu un gâteau aux noisettes et à la crème anglaise, qu’on va la garder quand même, la crème des Anglais, même si Thérésa May continue à « Brexiter les folliculaires » comme dit l’oncle Jean qui suit l’actualité internationale pour toute la famille.

Papy était tout pâle quand on est arrivés. « J’ai une rage de dents terrible ! » qu’il nous a dit.

- Ben faut aller chez le dentiste, Papy, a dit l’oncle Mathieu qui n’aime pas y aller non plus, chez le menteur qui arrache les dents.

- J’aime pas : c’est des jeunes ! On ne les connaît pas !

- Ah ben oui, mais si on va par-là, a dit Papa qui connaît tout Alphonse Allais par cœur, plus on ira et moins il y aura de gens qui auront connu Napoléon ! 

Papy a battu sa coulpe, bu sa coupe, mangé quelques pains d’épices au foie gras puis il est allé s’allonger parce qu’il n’était vraiment pas bien.

Sur le coup de cinq heures les tontons flingueurs et maman sont allés voir ce qu’il en était de Papy qui ne ressortait pas de sa sieste. Ouïe ! Ouïe ! Ouïe ! A la place du Bourgogne il avait pris son médoc pour le cœur mais ça ne lui faisait rien ! Tout le monde est sorti de la chambre très inquiet, la mine catastrophée. Maman a appelé le quinze, et, même si c’était pas un barbu, il y a un pompier qui est venu, puis un médecin et une ambulance pour emmener Papy au pital.

On a posé Papy sur un rancard, ils l’ont emmené allongé, tout jaune, et après tout le monde a pleuré sauf papa et l’oncle Paul qui ont continué à faire de la musique. Ils ont chanté la chanson de « Saturnin le canard » et des tas de bêtises écrites par des Charlots.

- Quand même, pleurnichait Mamy Marie-Madeleine ! On savait que ça devait arriver un jour ou l’autre mais choisir ce jour-là pour partir ! ».

Après l’oncle Mathieu est parti au pital avec mon cousin Luc, voir où ce que ça en était. Plus tard ils ont appelé Maman sur son téléphone de ministre pour lui demander d’amener les chaussons de Papy Lazare parce qu’ils l’avaient emmené pieds nus sur le rancard. Tant qu’à faire de partir les pieds devant en hiver, autant avoir de bonnes chaussures, vu le froid qu’il fait.

Quand Maman est revenue il y avait Mathieu, Luc et Papy Lazare, debout, presque vaillant, avec elle. Ils lui avaient filé de l’amorfine pour qu’il ne sente plus la douleur.

- Qu’est-ce que c’était alors, qu’il avait, Papy ? J’ai demandé.

- Ce n’était rien qu’une rage de dents !

Plus tard, dans l’auto, sur le chemin de la maison, Papa a dit à Maman :

- Ca fait plus de quatre-vingts ans qu’il a la rage dedans, ton grand-père. Pour une fois il l’avait dehors ! N’empêche, c’est dégoûtant ! Il est le seul à avoir reçu du père Noël de quoi se chouter légalement !

J’en ai déduit qu’on ne pouvait pas se chouter avec l’almanach Vermot ! C’est pas grave. Moi j’aime bien le monde comme qu’il est ! J’ai pas besoin qu’on me donne des coups de pieds avec rage dedans !

***

Maman a téléphoné ce matin pour prendre des nouvelles. Papy a quatre cons primés à la morphine à prendre pour tenir avant d’avoir un rendez-vous chez le dentiste. Mais il a dit qu’il ne les prendrait pas.

- Quelle tête de pioche ! a dit Maman !

Tout ça n’est pas grave. Moi j’ai retenu leur nom aux cons primés. La prochaine fois j’irai farfouiller dans leur armoire à pharmacie à Papy et Mamy. Je les récupérerai et je les offrirai à Papa pour la fête des pères !
 

8 octobre 2017

AU PIED DE LA LETTRE AU BARBU

C’est dingue comment on m’a enguirlandé !

Sûr, avec tout ce qu’on m’a mis sur la gueule, j’étais habillé pour l’hiver !

Y’a de quoi vous foutre les boules, quand même !

Je le savais bien qu’à l’approche de cette date il y avait de l’électricité dans l’air mais bon, j’en ai pris tellement plein les mirettes que je clignote de partout. Trente-six-chandelles, j’ai vu !

Mais ça va, ils se sont calmés.

Il y a juste les mômes qui me chantent sans cesse des stupidités à propos de Blois et Guéret qui ne serait plus dans la Creuse à cause des découpages administr’hâtifs de la dinde et du loir. Je ne comprends pas trop ce qu’ils veulent dire par-là. Heureusement la mère les met au lit tôt, ça me retire une belle épine du pied.

Mais bon, je n’aime pas être maquillé comme ça, on dirait une drag-queen sur un char de la techno-parade. Et vas-y que je te me montre à tout le monde et vas-y qu'on dit que je suis beau et il paraît qu’ils attendent plein d’autres visiteurs bientôt. Tu parles d'un cadeau !

Je crois qu’après le 25 je vais me tailler de cette crèche. En bûchettes. Ma cohabitation avec la famille Dugenou ne va pas faire long feu, je vous le dis. Je ne sais pas si vous percevez l’odeur mais… ça sent furieusement le sapin !

 

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Ecrit pour les Impromptus littéraires du 2 octobre 2017 d'après cette consigne

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7 février 2017

Descendre au marché de Lannion (Côtes d'Armor) le 29 décembre 2016 (4)

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Par ces temps de pays givré...

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...il ne nous reste plus qu'à voter vieille barbe...

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... ou Mère Noël ?

28 décembre 2016

Bien chez soi après Noël : Rennes le 28 décembre 2016 (3)

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C'est une histoire, elle se passe au Pérou. 
Dans l'étable où Pablito crèche le lama est plutôt fâché du barouf d'un accouchement très largement improvisé...

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Le sapin n'est pas démonté.

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Je m'aperçois seulement aujourd'hui qu'il abrite une belle équipe de bras cassés !

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Un oiseau, là-haut voudrait s'envoler ...

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...ainsi qu'un père Noël à moufles vertes qui en pince pour la liberté.

27 décembre 2016

Choses vues à Rennes le 24 décembre 2016 (1)

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C'est drôle comme ce personnage monté à l'envers sur l'âne me rappelle quelqu'un !

Ah oui ! Nasreddine Hodja !


27 décembre 2016

Choses vues à Rennes le 24 décembre 2016 (3)

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J'adore publier les calendriers de l'Avent après !

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Faire du repas sage le soir de Noël ?
Où c'est qu't'as vu jouer ça, Josette ?

26 décembre 2015

Lendemain de fête à Rennes le 26 décembre 2015 (1)

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C'est fini ! A dans un an !

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Ramassez vos boules...

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 ... vos pères Noël... 

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 ... la Mère Noël...

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