Pierre à pierre on a construit des villes immenses. On a aménage des routes, inventé des véhicules faramineux sans percevoir que le plaisir des hommes est de tourner en rond et de dessiner sur les murs de la grotte.

Et vous savez quoi ? Ils ont raison ceux-là : c’est meilleur pour la planète !

Remballe tes mythes, Platon !

Mangé aux mites, l’été 2021 !

Ca n’empêche pas les graffeurs de la Fosse Piteux d’aller plus vite que la musique pour peindre sur le mur le long de la Vilaine : je n’ai pas encore publié la série du mois de juin qu’il y en a déjà de nouveaux !

Ce moment où la nuit tombe a donné son nom à un festival rennais, «Les Tombées de la nuit» qui, très souvent depuis sa reprise en mains par M. Claude Guinard (guignard ?), a été rebaptisé « Les Tombées de la pluie » à cause des rincées qu’on y prend.

C’est peu de dire que la programmation est bien moins stimulante au fil des ans.

Cette année, je n’ai même pas vu le programme et ce lundi je suis à Redon. Il y pleuviote une petite bruine mais les graffs de l’ancienne usine Garnier sont de toute beauté.

Il me faut quand même expliquer, avant de poursuivre, ce qu'est la coulée verte ! Ou plutôt vous renvoyer chez Madame Wikipe pour cela ! 

- Un détective dans le yucca ?
- Jack Palmer, de René Pétillon ! Trop facile la question banco !

Ici le chemin fait un deuxième coude vers la droite et on longe la rocade pendant à peu près trois cents mètres avec toujours des palissades sur la droite.

De mémoire de fan de S.F. qui n'a pas vu le film ni lu le livre : Solaris : un film d'Andreï Tarkovski d'après Arkadi et Boris Strougatski ?
Perdu : le roman est de Stanislas Lem !

Les musées sont fermés ? Pas grave, allez au parking !