Et il y en a des tas d'autres, dans cette rue, qu'on aimerait habiter
ou avoir habitées pour éprouver la sensation d'être un bon bourgeois de Nancy !
Pourquoi trouvé-je ces maisons plus jolies que les immeubles d'aujourd'hui ?
Serais-je finalement un indécrottable passéiste ?
Et pourtant j'adore aujourd'hui !
Il y a neuf pellicules en noir et blanc, dont j'ai parlé dans mon texte d'hier, et que j'avais bien oubliées. J'ai entrepris à la suite de les numériser. Je crois que certaines photos n'avaient même jamais eu l'honneur d'être tirée sur papier.
Des livres et des fleurs
Des fleurs et un téléphone portable
Des livres et des vélos
C'est donc ici que l'on vendait jadis des chauffages sans combustible et des bourrelets russes.
Maintenant on n'y trouve plus que des chaussures pour les enfants.
Je ne devrais pas faire de l'humour avec ça mais bon je ne vais pas m'autocensurer non plus !
Cette photo a été prise le 5 mars. Le commentaire krapovien, glissé à l'oreille de Marina B., a été : "Les Russes ont aussi déclaré la guerre à la Bretagne ? "
Oui, je sais, c'est nul.
Eh bien voyez-vous, une semaine après, il n'en est plus rien ! ;-)
Ce secret, si je l’écris ici où pas grand monde ne passe – mais quel monde de qualité ! - ce ne sera plus un secret !
Sois pas con, non plus, Raymond !
Comme on peut le voir sur ces photos non retouchées,
l'appareil en bout de course laissait apparaître des taches sur l'image...
...et les volets devant l'objectif ne s'ouvraient plus complètement.
Dans la série "rien ne va plus" quelqu'un·e a oublié ce jour-là
ses livres sur un plot près du manège !
Il a donc été remplacé par le 285 de la même gamme...
tout comme le Funky-munky (ex Rimbaud) est devenu L'Attrape-Rêve
- Mais... Pourquoi est-ce que vous mettez des barreaux devant les fenêtres ?
- Ce ne sont pas des barreaux, c'est l'escalier de secours !
Peut-on encore voter pour des gens qui laissent construire de telles horreurs ?
Peut-on voter pour d'autres gens qui feront peut-être pire encore ?
Comment s'appelle cet immeuble grillagé ?
- Le Tchador. C'est un clin d'oeil à la prison des femmes qui se trouve en face.
- Bravo ! Bonjour le concept !
Bonjour le choc visuel pour elles le jour où elles sortiront !
- Et ces pylones de camp de concentration ce sont... ?
- Des lampadaires !
Evidemment un artiste trouvera toujours de la beauté dans la chose.
Merci, Monsieur Effet-Créatif ! T'es vraiment con-tradictoire, Joe K. !
C'est une maison rouge...
habitée par un chevalier ?
Après le chess-boxing, le chess déambulateur-running ?
Fracturnumérix !
Le budget participatif ! Quelle bonne idée pour se défausser de ses responsabilités !
Ca n'aurait sans doute pas coûté très cher à la municipalité de faire nettoyer les tags tracés par-dessus le mur peint représentant Héloïse.
Résultat des courses, on ne la voit même plus, la copine d'Abélard !
Visiblement ça ne les gêne pas, les camarades, de nous fabriquer une ville moche (affaire à suivre) !
Le Grenier des anges est un magasin d'antiquités qui a longtemps été installé rue Hoche dans une boutique "basse" : il fallait descendre une ou deux marches pour pénétrer à l'intérieur. Il fallait aussi baisser la tête pour entrer.
Je viens de retrouver sur Internet, dans un diaporama mien qu'on m'a emprunté pour en faire je ne sais trop quoi, une photo de la jolie devanture bleu ciel. La voici :
La boutique a déménagé un peu plus bas et est installée maintenant dans la rue qui relie la place de la Mairie à la fontaine de Parmiggiani. Oui, c'est ça, la rue de Coëtquen, ça m'est revenu avant que M. Google-Maps ne m'affiche son plan foireux où l'on voit plus les noms des boutiques que les noms des rues.
Il y a peu, au moment des illuminations de Noël, j'ai photographié des objets dans la vitrine. Les voici :
