10 h 10 sonnantes au festival "Y'a d'la voix" à Iffendic (Ille-et-Vilaine) le 13 mai 2017 (1)
Retour à Iffendic ! C'est la troisième fois, ce me semble, que nous nous rendons au festival "Y'a d'la voix" qui a lieu maintenant tous les deux ans. J'y ai chanté en 2014 avec la chorale Héloïse et Marina B. s'y produit avec Vocaline et Mélimélodies. Cette année je lui ai fait une infidélité musicale le dimanche : je suis allé réécouter "Voix nomades" dont je suis fan absolu !
Le samedi nous avons aussi fait des choix différents pour les relais chantants. Ah oui, je n'ai pas dit : de 14 heures à 19 heures une vingtaine de chorales se partage(nt ?) en alternance quatre lieux du bourg pour une demi-heure. A 14 heures 30, j'ai découvert "Salut la puce" à la médiathèque (j'y reviendrai !) et à 16 h 30 je suis allé réécouter 10 h 10 sonnantes, la dynamique chorale du Verger., un bourg voisin de Rennes Je suis toujours aussi enthousiasmé par ce groupe péchu et par son répertoire "Passe-moi le celtique mais pas trop" !
10 h 10 sonnantes au festival "Y'a d'la voix" à Iffendic (Ille-et-Vilaine) le 13 mai 2017 (2)
10 h 10 sonnantes a donné deux concerts d'une demi-heure. J'ai assisté aux deux. Devant la médiathèque, quelques danseurs ont eu droit à un rond de Saint-Vincent (une chanson humoristique sur le même thème que le "Mamie" d'Yvon Etienne). En rappel il y a eu à un rond de Landéda endiablé. Il dure cinq minutes ci-dessous ! Ils sont fous, ces Bretons ! De quoi entrer en transe !
10 h 10 sonnantes au festival "Y'a d'la voix" à Iffendic (Ille-et-Vilaine) le 13 mai 2017 (3)
10 h 10 sonnantes au festival "Y'a d'la voix" à Iffendic (Ille-et-Vilaine) le 13 mai 2017 (4)
Un concert marathon à Rennes le 10 mars 2017 (1)
C'était une "soirée musicale autour de la culture hispanique" qui s'intitulait "Tapas, tortillas et tequila". C'était gratuit à condition de s'inscrire et de participer au potlatch espagnol (repas communautaire olé olé).
J'y avais amené pour ma part des "amarcos" (gâteaux aux amandes) et des "rollos de almendras murcianos" (confiseries aux amandes) fabriqués dans l'après-midi par mes petites mains de "touche-à-tout, surtout à ce qui se mange (Rien n'est plus beau que les mains d'un homme dans la farine)".
On n'a pas vu la tequila, remplacée par la sangria de "Chean-Louque, El presidente".
On a eu une assiette de tapas pour quatre. Très bien.
On n'a pas vu la sangria. Quand on est allés boire, ne restait que de l'eau. Tant pis !
On n'a pas vu les gâteaux. Tous partis en moins de deux. Tant pis, j'en referai !
Autant dire qu'on a rien vu !
Enfin, si ! J'étais installé au premier rang avec mes deux appareils photos et une table pour les poser. Il y a eu trois heures et demie de musique et de contes "autour de l'Espagne" et donc je me suis régalé de sons et d'images. Qu'ajouter de plus ? Olé !
Orchestre Micmac.
Un concert marathon à Rennes le 10 mars 2017 (3)
Une vision particulière du concert de Mélimélodies à Montfort-sur-Meu le 1er juillet 2016 (1)
"Quand Gisèle clape dehors" !
(Alain Bashung - Vertige de l'amour")
« Mais au bout du compte
On se rend compte
Qu'on est toujours tout seul au monde »
Extrait de " Les uns contre les autres" (in "Starmania" de Michel Berger et Luc Plamondon)
Dieu et Marina B. merci, je n’en suis pas là pour ma part mais il y a quand même des jours où je me demande :
- Si je ne suis pas le seul crétin à avoir acheté et à utiliser un appareil photo numérique Canon Ixus 265 HS (rose !) ;
- Si je ne suis pas surtout le seul imbécile à se servir de l’option « effet créatif » qu'il contient.
En effet, quand je tape "Canon Ixus effet créatif" dans Google images, les seuls clichés qui apparaissent représentent l’appareil du fabriquant japonais ou sinon sont l’œuvre d’un dénommé Joe Krapov.
Déjà, là, je meurs de rire.
Une vision particulière du concert de Mélimélodies à Montfort-sur-Meu le 1er juillet 2016 (2)
Ensuite, statistiques à l’appui, je justifie les qualificatifs injurieux que je me suis appliqués ci-dessus en vous racontant que sur 242 photos prises lors d’un concert de chant classique, je n’en conserve que 131. Ca fait donc 111 photos qui vont à la poubelle !
L'effet créatif crée donc surtout du déchet, notamment lorsqu'il zoome n'importe comment sur un détail de votre cadrage.
Heureusement, sur les ordinateurs, ce n’est pas comme dans la vie ! Les corbeilles n’ont pas d’odeur, il ne faut pas brûler leur contenu pour s'en débarrasser, elles ne polluent pas la planète et quand on les vide il ne reste absolument plus rien du geste auguste de l’essaimeur (de photographies que je suis).
Une vision particulière du concert de Mélimélodies à Montfort-sur-Meu le 1er juillet 2016 (3)
Le gag ultime, c’est qu’aujourd’hui, j’ai retenu mon geste.
En effet me suis-je dit après avoir lu l’article de Télérama à propos de Francesca Woodman, qui me garantit que ces photos nulles d’aujourd’hui ne sont pas des images que les gens goûteront demain ? N’existe-t-il pas des expositions de photos ratées, des gens qui ont fait carrière – et j’espère pour eux fortune – avec des affiches déchirées, des négatifs oubliés, des photomatons ?
A vrai dire tout cela me fait bien rire et je me fiche de savoir ce qui est de l’art et ce qui est du cochon.