Rimbaud et son bateau ivre, encore et toujours ?

Avons nous atteint le Chor'hommes ?

Sage précaution d'été : ne pas se laisser mourir de soif.

Cinq fruits et légumes par jour !

Puisqu'on vous le dit que la Belgique est partout !
Sans compter que le petit pays coincé entre elle et la Bretagne n'a pas d'existence réelle !

Pourquoi est-ce que je pense à la page des "F"du "Dictionnaire superflu
à l'usage de l'élite et des bien nantis" de Pierre Desproges, moi ?

Ne nous... voilons pas la face ! Ce qui contribue au charme exceptionnel du Festival du chant de marin de Paimpol, c'est le rassemblement de voiliers dans le port. Certains des bateaux servent d'ailleurs de scène aux groupes qui se produisent là. Un chouette décor pour de belles rencontres. Un spectacle à soi tout seul pendant trois jours ensoleillés.

Je poste en fin du quatrième billet une longue vidéo de Yann Le Meur qui rend bien compte, dans un très beau montage,  de l'ambiance du port et du concert des Tri Yann.

Non ce n'était pas le radeau 
De la méduse ce bateau 
Qu'on se le dise au fond des ports 
Dise au fond des ports 
Il naviguait en père peinard 
Sur la grand'mare des canards

Et s'app'lait "Les copains d'abord" 
Les copains d'abord

Laisse-moi tenir ton jupon, 
Courons, guilleret, guillerette, 
Il suffit de passer le pont, 
Et c'est le royaum' des fleurettes... 
Entre tout's les bell's que voici, 
Je devin' cell' que tu préfères... 
C'est pas l' coquelicot, Dieu merci ! 
Ni l' coucou, mais la primevère. 

C'est une plage où, même à ses moments furieux, 
Neptune ne se prend jamais trop au sérieux, 
Où quand un bateau fait naufrage, 
Le capitaine crie : « Je suis le maître à bord ! 
Sauve qui peut ! Le vin et le pastis d'abord ! 
Chacun sa bonbonne et courage ! »