Je ne commente pas ces photos : j'ai encore trop chanté hier et ai donc perdu à nouveau ma voix ! ;-)

"Il y a comme ça en France des coins de verdure où coule une rivière et où on serait fâché de découvrir un mec allongé sur le dos avec deux trous rouges au côté droit. C'est pourtant bien face à un cadavre de ce genre que le gendarme Rimbaud, en poste à Bourdeille, Dordogne, Périgord vert, eut à s'agiter cet après-midi-là."

(Incipit de "Une saison d'enfer" de Djemal Verlaine à paraître prochainement à Bruxelles aux éditions C. Delaballe).

Il suffit d'admirer le pont
Et c'est tout de suite nature
Du vert et du bleu, ton sur ton,
Et des arbres qui font guipure.

Sans appuyer, nous l'admettons :
Parfois le monde est sans rature.

Ce que nous racontent les pierres :
D'autres vies pleines de mystères
Sous forme d'ombres et de lumières.

La rouille qui ne dort jamais
Garantit l'authenticité

Un autre style de voiture

Qu'est-ce que c'est que ce monstre ? 

Une façon comme une autre de se rafraîchir !

(La détermination du mâle dominant chez homo canoensis, x années avant le déluge ?) ;-)

En rentrant de Brantôme, écouté en conduisant la dernière émission de Michel Onfray avec une évocation de la démarche de Descartes, proche de ce discours-là. Genre, "Jetons les livres et sortons dans la rue !".

Ben oui, je n'ai encore rien compris au truc ! ;-)

Crache ton venin !

La spécialité locale : un pont coudé.

Bonne reprise à toutes et à tous !