Autoportrait à pans de bois

C'est le tango des joyeux bouchers de la Villette ?
On tranche le lard ?

La rue Hoche

La chapelle du conservatoire, rue Hoche.

L'hôtel Galicier, place Hoche

L'église Notre-Dame vue depuis la rue Saint-Melaine

Marionnettes de Charleville et livres de et sur Proust :
mon oncle Walrus et moi promenons et prenons de drôles d'excitants. 

Bien que nous ne sachions pas où le Jack Russell et Rimbaud nous emmènent,
nous restons cependant calmes et philosophes !

 Dupondet et Dupontet ?

Insinuerait-on sur ce véhicule
Que le bibliophile
Est un drôle de volatile ?

"Ce serait ridicule !"
Réponds-je, royal.

Puis j'écarte les ailes
Et m'envole.

L'hôtel Galicier, place Hoche, avec sa tourelle "Arthurlefantômesque" !

 Une baigneuse qui déchire.

(Manque plus qu'une croix au-dessus du coeur et on a une publicité pour le Vendée Globes challenge ! OK, je sors !)

Est-ce que vous voyez ici,  ainsi que moi, un joyeux Huron à barbichette ?

- De quel artiste est-ce l'oeuvre ?

- D'un casseur. C'est de l'art brute.

En un mot comme en cent : 366 réels à prise rapide

2 mai 2016


Sucré

Fais pas ta sucrée, Joe Krapov !

Tu as lu, place Hoche, la quatrième de couverture de ce roman de Marcel Aymé. Ca t’a plu, tu l’as emprunté en Pléiade à la bibliothèque et depuis tu le lis à raison d’un chapitre par soir avant de t’endormir.

Tu trouves les personnages antipathiques, cyniques, misogynes, tu trouves l’auteur quasi-Célinien (superbe écriture, pensée de merde !) et tu te demandes si ce ne sont pas là des fonds de tiroir !

Cependant tu es pris à l’hameçon et surtout il y a deux chapitres hilarants.

Ca s’appelle « Les tiroirs de l’inconnu ».

Solidarité et humour ?

La vie sans smartphone est-elle une erreur ?

A qui pourrait-on dédier cette dernière image ? ;-)