Les photos ont été prises depuis un transat au premier rang. Pas facile, affalé ainsi, de chanter le refrain de celle-ci : 

Inutile d'ajouter que, de mon côté,  "j'ai joué de l'effet créatif" avec le Canon Ixus 265 !
J'ai aussi des bouts de vidéo mais guère exploitables sauf une que je m'en vais publier chez M. Youtube de ce pas. En attendant qu'elle charge, je vous laisse avec Michel Drücker (Qu'est-ce qu'il ne faut pas faire ! Pas trouvé de meilleure version de "J'aime pas le musette") 

Si vous en voulez plus, c'est ici :

https://www.facebook.com/Delinquante

http://www.delinquante.fr/index.html

Et ces dames chantent aussi du Brassens !
Tout pour plaire ! 

C'est la sonate Köchel je ne sais plus combien.
Peu importe, c'est aussi et surtout une minute trente-cinq de bonheur !

P.S. C'est la Köchel 310 en la mineur ! La première sur laquelle je suis tombé en cherchant où vous savez !

 "Au coin des mondes" est le nom de ce café rassurant :
ça va, je ne suis pas le plus nul en géométrie... dans l'espace !

Mais bon, tous les mondes ne sont pas sphé-ériques !

Et on admet très volontiers, même au sein de l'Optimistan,
que notre planète ne tourne pas très rond ! ;-)

"Voix nomades" est un groupe féminin rennais dirigé par Jean-Baptiste Farraigue.
Vous en saurez plus sur ce projet et ce groupe enthousiasmants en allant ici. 
Un véritable coup de coeur musical de mon point de vue (quelque part, je dois être un "folkeux" !)

"Du temps où il s'ennuyait le dimanche là-haut, Dieu détestait admettre cette vérité : les musiciennes ont deux fois plus d'âme que les autres femmes. Et pourtant, il n'y avait pas à tiquer, c'était vrai. La balance de Saint-Pierre, à leur entrée au Paradis,  était formelle. Inutile d'ergoter : c'est Lui-même, Augustin Dieu,  qui en avait conçu les plans et le modèle."

Si "la fille de joie est triste au coin d'la rue là-bas", l'accordéoniste des "Voix nomades" respire la joie de vivre. A en juger par le nombre de photos utilisées pour le montage Picasa ci-dessus, ses mimiques ont tapé dans l'oeil de Joe Krapov !

Et maintenant, que l'ensemble vous tape dans l'oreille !

Si vous aimez cela, les six vidéos présentes sur Youtube sont écoutables et regardables ici. 

Ca métonnerait beaucoup que cette jeunesse-là ait été la partenaire de Sarah Bernhardt !

Voilà pourquoi j'aime les carnavals : pour ce moment infiniment court d'échange de regards quasi-complices entre le photographe et la musicienne ! Et en fait ce regard dure, maintenant, indéfiniment (enfin, jusqu'à ce que mon hébergeur internautique ne me fiche dehors de chez lui !)