Dans le hall de la Maison de quartier de Villejean où je me rends chaque semiane pour animer "mon" atelier d'écriture étaient accrochées mardi dernier des calligraphies arabes libres de M. Shadi Morshed. J'espère qu'il ne m'en voudra pas si j'en partage quelques unes, admirables, avec mes correspondant(e)s de France et de partout ! On peut découvrir son travail et en apprendre plus sur lui et sur cet art ici.
Non à la guerre
L'amour c'est que je me contente de toi sans que jamais mon désir de toi s'éteigne
En un mot comme en cent : 366 réels à prise rapide
10 juin 2016
D’aujourd’hui j’oublierai certainement demain
D’aujourd’hui j’oublierai certainement demain le peu d’appétence pour la chanson française des gens qui fréquentent la Maison de Quartier de Villejean le vendredi !
J’ai joué de la guitare et chanté pendant une heure et demie. Seules deux personnes se sont arrêtées.
La joueuse d’orgue de barbarie qui m’a succédé dans le hall n’a pas eu plus de succès. Je suis allé faire le chauffeur de salle pour la faire applaudir... très maigrement.
Il me reste le plaisir d’avoir chanté avec elle une heure encore !
Et du coup… je n’ai pas oublié !
Ah qu'est-ce que c'est bon de chanter "La butte rouge", "Les amants d'un jour" ou "La Goualante du pauvre Jean" !
En un mot comme en cent : 366 réels à prise rapide
11 juin
Si je portais des lunettes roses
Si je portais des lunettes roses, j'écrirais que j’ai passé une excellente journée, tout comme hier, tout comme lors de ces week-ends en forme de marathon musical où s’enchaînent une répétition d’Am’nez zique et les Biches, un concert sur le mail ou au kiosque du Thabor, etc.
Avec des lunettes rouges, ça marche aussi.
Au programme, ce jour, c’était bouffonnerie krapovienne, musiques grecques et comédie musicale franco-américaine à la Maison de quartier de Villejean.
En un mot comme en cent : 366 réels à prise rapide
6 juin 2016
Un jeu
Si les 366 réels sont un jeu alors je me permets de tricher : j’ai une semaine de retard sur le calendrier qui impose d’écrire un texte par jour. Cette photo a donc été prise le 11 juin !
Pour ma part je re-pratique, contre un logiciel peu agressif, le jeu d’échecs auquel je dois mon pseudonyme. Une ou deux parties par jour.
Je ne dois sans doute pas éprouver autant de plaisir que ces joueurs de tarot à 5 qui se servent du rapport annuel de la Maison de Quartier comme d'un tapis de jeu !
La personne qui a posé le deux de carreau ne ramassera pas, ça ne fait pas un pli !
Merci aux deux conteurs de la rue d'en bas d'être venus nous prêter voix forte pour cette sympathique soirée !
En un mot comme en cent : 366 réels à prise rapide
5 avril
Un mot que j'ai écrit
Un mot que j'ai écrit, c'est "résumé" et il y en a quatre autres en-dessous : "Bon" "Mais" "Alors" "Et".
On doit s'en servir pour résumer un conte ou une oeuvre en quatre phrases et le faire deviner :
- Bon, c’est un type qui lit des tas de romans. Mais un jour il a envie de vivre lui-même les aventures qu’il a lues. Alors il engage un cuisinier et ils partent sur les chemins affronter des moulins à vent. Et ça devient un chef-d’oeuvre de la littérature mondiale.
- J’ai trouvé : « Le meunier, son fils et l’âne » !
Joe Krapov est poète, humoriste (?), musicien à ses heures et photographe à seize heures trente. On trouvera ici un choix de ses productions dans ces différents domaines.