A QUOI BON SE GUEMENER TOUJOURS ?
Cette photo a été prise le jour où j'ai été nommé chef d'escadrille au 503e Régiment d'ufologie de Mourmelon-le-Grand.
Réalisé pour le Défi du samedi n° 738 à partir de cette consigne : Ufologue
Cette photo a été prise le jour où j'ai été nommé chef d'escadrille au 503e Régiment d'ufologie de Mourmelon-le-Grand.
Réalisé pour le Défi du samedi n° 738 à partir de cette consigne : Ufologue
Est-ce par hasard ou par "manipulation" que je me retrouve en situation de retourner à l'école ? Peu importe, ça me plaît bien. Le mercredi soir désormais je vais prendre des cours d'informatique graphique à la Maison de quartier de Villejean. Depuis deux séances, je travaille sur Photopea, un substitut de Photoshop gratuit, en ligne, sans inscription. Je vais devenir un pro de la retouche stalinienne. Vous pourrez en juger d'après les deux photos au bas de ce billet. J'ai découvert avec gratitude l'outil "tampon" que je n'avais jamais utilisé auparavant !
Il n'en reste pas moins que j'aurai du mal à convaincre Jean-Emile Rabatjoie du bien-fondé de ces gadgets. Il prétend qu'un bon collage est un collage "sur lequel on voit que c'est un collage" !
Voici donc certains de ceux-ci, scannés sur mon disque dur et jamais publiés auparavant. Je suis en retard, je suis en retard, Dame Alice !
D’aucuns trouveront ce sujet des rouflaquettes assez barbant. C’est mon cas. D’aucunes apprécieront et le trouveront au poil.
J’ai failli me faire des cheveux toute la semaine en songeant à ce que je pourrais bien écrire sur ce type de pilosité qui ne m’inspire rien du tout, pour ne pas dire qu’il me rase.
J’en étais même à me demander ce matin si les mots que nous suggère semaine après semaine le tenancier de ce salon de coiffure qu’est le Défi du samedi n’étaient pas un brin sexistes. Mais aujourd’hui, hélas, tout l’est !
On ne peut pas proposer bigoudi, choucroute, Wonderbra, oeillade sans recevoir un coup de klaxon et se faire taxer de misogynie de tous les côtés ! Il y a trop de flou dans la raquette !
Bref ! Étant peu inspiré par la façon dont mes congénères gèrent ces poils hirsutes ou pas qui nous jaillissent ici et là et donc sur la tête, sous le menton et sur les joues, j’ai refilé le bébé à mon pote Jean-Emile Rabatjoie qui, un peu fainéant lui aussi sur les bords mais toujours bien féru d’histoire et dégagé sur les oreilles, a bien voulu étudier l’influence du roi Louis Philippe et de son look de roi bonne poire sur nos monarques républicains récents et même sur Mona Lisa.
Vous remarquerez que dans ce texte même pas oulipien, je n’ai pas fait de jeux de mots capillotractés, sauf dans le titre, ni utilisé le mot « blaireau » de peur de susciter des frictions. J'espère juste ne pas avoir été trop rasoir !
Et donc, n’ayant pas fait d’effort particulier cette semaine, et n'étant pas déprimé par le chauve-qui-peut général, même pas victime d’un quelconque vague à lame, je ne m’accorde pas le droit de boire une petite mousse harassé.
Mais ne prends pas ombrage de cette non-participation, cher oncle W. ! Tu restes toujours mon animateur d’atelier d’écriture… favori !
Ecrit pour le Défi du samedi n° 735 d'après cette consigne : rouflaquette(s)
Ce serait tout sauf sympa d'oublier Abbeville ! Je ne pousserai pas le snobisme jusqu'à laisser dans les oubliettes de mon disque dur les choses intéressantes vues dans cette ville ce jour-là (et bien que, le matin, tout nous eût semblé du genre très fermé !).
Déjà ce graffiti auquel une réponse non-pertinente m'est immédiatement venue à l'esprit mérite le 1er prix d'incitation à la krapoverie !
Si vous avez besoin de quelqu'un pour assurer votre repos, je suis là !
Il serait dommage que tombât dans l'oubli ce petit restaurant dont les verres sont si jolis
et les toilettes si amusantes !
Et surtout, soulignons les efforts pédagogiques déployés à propos de l'amiral Courbet : Je n'habite pas très loin, à Rennes, de la rue biscornue ou bicornue qui porte ce nom. J'ignorais totalement qu'il fût natif d'Abbeville.
P.S. Vous aurez remarqué que je suis quand même plus snob encore que tout à l'heure : je dis et j'écris "en Abbeville" comme d'autres disent "en Avignon". Je dois bien être le seul dans le coin à me préoccuper d'éviter un hiatus (et à regretter que Mireille Mathieu ne soit pas représentée sur le célèbre tableau des Demoiselles de Pablo Picasso !) !
Vite, Jean-Emile, un collage !
- Voilà, voilà, j'arrive !
Dimanche dernier je suis allé écouter la chorale Chamade à la salle de la Cité.
Je suis donc passé devant l'Hôtel des ventes où était apposée cette affiche.
Elle ne vous rappelle rien, cette tête ?
A moi si !
Isaure et la coccinelle de Marcel
Je crois que Jean-Emile s'est trouvé une autre tête de truc... de Turc avec ce Gustave colorisé qui a squatté les pages de Télérama pendant un bon bout de temps !
Il y aurait une France,
Une France en errance,
Une France un peu rance,
Une France qui entrerait en transes.
Et Marianne sur son timbre
Se collerait sur une carte
- Postale, pas électorale -
Puis se ferait porter pâle
Et se ferait poster loin
De ces drôles d’olibrius
Qui réécrivent Dreyfus,
Loin de ces beaux discoureurs
Amoureux des dorures
Et d’un poste-imposture.
Voici qui est drôle - ou étrange - dans ce jeu :
C'est toujours un robot du capital qui est élu !
Ecrit pour le Défi du samedi n° 701 d'après cette consigne : robot.
De l'eau ? Il en tombe du ciel tandis que je blasphème, transformant Proust en sexologue !
Moment du réveil ? 3H 33 !
Lu un peu de « Les mots qui me font rire » de Jean-Loup Chiflet. Essayé de fermer la lumière et de me rendormir sans y parvenir. Rallumé.
Repris le début de « A l’ombre des jeunes filles en fleur ». Éteint très vite et redormi jusque 8 h 15.
Vous avez besoin d’un somnifère ? Lisez Proust ! C’est radical !