En prélude à ma contribution au Défi du samedi, voici deux des vidéos qui l'ont inspirée. Il s'agit de ces chansons anticonsuméristes et anticapitalistes que je suis invité à chanter ce week-end en compagnie des Lutins en lutte, émanation du collectif "Les Résonables". Je ne sais pas où je vais, mais j'y vais, ne serait-ce qu'en remerciement de la bonne tranche de rigolade que j'ai eu à écouter leurs sept détournements !
Tenez-vous le pour dit : "Kenavo" ne signifie pas "Bonjour" en breton !
J'en ai évidemment, comme à mon habitude, photographié plein d'autres, des affiches de ce type, mais je ne les ai pas publiées pour deux raisons :
1. Déchirer des affiches ou dessiner des moustaches aux candidats est un délit puni par la loi. J'ignore si le fait de photographier un délit et de publier la chose sur un site web même peu visité n'est pas également un délit.
2. Il faut absolument que je m'abstienne... de dire ce que je trafique dans l'isoloir, même à des amis, sous peine de gâcher la soirée en raison du désaccord qui s'ensuit alors entre eux et moi.
A part ça, d'un point de vue complètement krapovien, j'aurais bien aimé que le candidat du parti animaliste fût élu. Il avait une tronche qui me revenait et j'eusse beaucoup apprécié de l'imaginer, avec son attaché-case, sa cocarde toute neuve et son derrière qui se dandine, en train de monter les marches du Palais-Bourbon !
C’est long. C’est long. C’est long. C’est long, tous ces jours sans soleil. On va courir, bien sûr, histoire de sortir le nez de l’ordinateur. Mais c’est long quand même !
J’ai longtemps cru que ce mot s’écrivait « dilemne ». On n’est plus jamais sûr de rien. Comment conjuguez-vous le verbe "s’empâter" à la deuxième personne du pluriel du passé simple ?
La bonne réponse est : « Vous vous empâtâtes » !
Les candidats du jeu d’Emile Euro ont répondu : « Vous vous empâtîtes ».
Le verbe s’empâtir signifie-t-il « éprouver de l’empathie pour des candidats qui s'étalent à la question super-banco » ?
Quelque part, c'est rassurant : je ne suis pas le seul, à Rennes et dans le monde, à maltraiter m'intéresser à Isaure Chassériau !
Ma dernière exploration du web, compte tenu de la minceur du sujet, a été relativement riche. J'ai découvert qu'Isaure pouvait désormais faire une autre chose exceptionnelle : voici en effet qu'elle danse... dans un ascenseur !
Voici aussi que, arroseuse arrosée, elle répond à des interviews. Ah non, je me trompe, ce n'est plus elle, c'est la danseuse !
J'ai retrouvé aussi l'original d'une affiche que j'avais vue et photographiée sur un abribus. C'est une oeuvre de Séverine Lorant pour un projet intitulé "Les Inconnus dans la maison".
Et je ne sais plus si je vous avais montré cette oeuvre de Fred Fehlau dans une série intitulée "L'Effacement". Son site web très fourni mérite le détour (une fois que vous y êtes cliquez sur l'image centrale pour faire défiler le diaporama puis explorez le menu à gauche).
Un détour par Généanet me laisse avec toujours la même inconnue sur la date de naissance d'Isaure. Est-ce le 2 ou le 21 février 1820 qu'elle naquit ? Quelle importance, demanderez-vous ?
"Verseau ou poissons ! " répond l'astrologue de service ! ;-)
Ça passe ses journées assis derrière l’ordinateur à changer la police de caractères, à scanner-peaufiner les illustrations de «Joe Krapov n’est pas gentil !», à essayer d’en faire un ebook au format epub mais ça n’ose pas vraiment le republier.
Joe Krapov est poète, humoriste (?), musicien à ses heures et photographe à seize heures trente. On trouvera ici un choix de ses productions dans ces différents domaines.