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Mots et images de Joe Krapov
bande dessinee
29 février 2020

QUE SONT MES AMI·E·S DEVENU·E·S ?

mimosa

Mimosa ! J’ai été très content que Marina B. me réponde, à l’énoncé de ce nom-là : « Il n’y avait pas un personnage de bande dessinée qui s’appelait comme ça ? ».

Bien sûr que si ! C’est à lui que j’ai tout de suite pensé quand j’ai lu ce mot, samedi dernier, sur le site du Défi. Mimosa ! Le fils adoptif de Popeye et d’Olive Oyl !

Il faut dire que la bande dessinée est devenue un passe-temps quasi-quotidien chez moi. J’ai toujours eu un caractère à aimer bien les phylactères et certain·e·s d’entre vous ne manqueront pas l’occase d’ajouter qu’il me manque une case et que j’aime à coincer la bulle plutôt qu’à me mêler des conciliabules du pape ou de Slavons.

Mimosa ! Pourtant on ne lisait pas Popeye, chez nous. Où cela paraissait-il d’ailleurs vers 1964 ? Il y avait bien quelques dessins animés grappillés à la télé chez le fils du pâtissier le jeudi après-midi mais en bédé, sur papier ? C’était chez Suzanne Ambert, en fascicules de la SFPI à trois francs ?

Au secours, Madame Wikipe !

Swee’ Pea (P’tit pois) apparaît le 28 juillet 1933. Enfant abandonné devant la porte de Popeye, il est adopté par le marin, véritable papa poule, et Olive, plus distante. Il se déplace toujours à quatre pattes dans sa longue chemise de nuit et arbore une casquette de marin. Malgré son âge, il est très intelligent. Si au début, il ne dit que « Glop », son langage s'étoffe peu à peu. C'est un des personnages principaux du comic strip post-Segar.

Passons sur ces questions de spécialistes. Interrogeons-nous plutôt, à partir de ce souvenir de pop-culture, sur le fait que les héros de papier ne vieillissent pas, contrairement à nous qui nous prenons un an dans les dents et tout ce qui va avec à chaque date anniversaire de notre naissance.

Et si, d’un seul coup d’un seul, comme dans l’invraisemblable saison 2 des aventures de Michel Vaillant, les héros de notre enfance revenaient, dotés d’un fils et d’un neveu de dix-huit ans, avec les mêmes syndromes de vieillissement que ces gamins ou que nous-mêmes, voudrait-on encore d’eux pour conduire des bolides sur les circuits de course automobile ? Oui, je sais, il n’est plus question de retraite pour quiconque depuis que le président Bérézina est au pouvoir.

Mais creusons l’idée quand même. A votre avis, que sont-ils devenus, une fois devenus grands, Mimosa, Soupalognon y Crouton, Fantômette, les gamins du Club des cinq ou du Clan des sept ?

On joue ? On joue ! Je lance quelques suggestions, vous complèterez avec vos propres références livresques, cinéphiliques ou Tintinophiles dans la zone de commentaires.

Boule et Bill : le petit garçon est devenu vétérinaire, le chien est enterré au cimetière d’Asnières. C’est ça aussi, le désavantage de vieillir, c’est qu’il faut un jour se départir un peu.

Sylvain et Sylvette : ont fait fortune en devenant designers pour une maison de bonnets de nuits

Soupalognon y Crouton : est devenu sportif de haut niveau. A remporté la médaille d’or d’apnée juvénile aux jeux olympiques de Barcelone en 38 avant Jésus-Christ

DDS 600 TintinAbdallah (dans Tintin © M**lins*rt-les-Gommettes) : Agent des services secrets d’une contrée pétrolifère. Occasionnellement découpeur de journalistes en consulat.


Le Petit Nicolas
: a fait partie du Big bazar de Michel Fugain, a cherché à se faire élire président de la République en 2012 puis est devenu producteur musical (Notre Dame de Paris, Kids United) sans sombrer dans la mégalomanie ni dans la colombophilie.
 

DDS 600 Le Club des cinq arrête-l-alcoolLe Club des cinq : leurs aventures à l’âge adulte sont désormais relatées par Bruno Vincent mais je n’achète plus que des livres sur le jeu d’échecs. Je télécharge aussi des e-books gratuits mais pas pour les lire, juste pour les posséder. C’est mon petit côté Onc’ Picsou. J’adore plonger et nager dans le bonheur de ma bibliothèque-piscine virtuelle !

Le petit garçon de la chanson de Claude François « Le Téléphone pleure » : sa maman s’est mariée sept fois et vient d’entrer à l’Epahd du Lundi au soleil à Lay-les-roses. Ce n’est pas pratique pour lui de passer la voir régulièrement vu qu’il est archéologue et qu’en ce moment il fait des fouilles à Alexandrie avec son épouse Alexandra. Heureusement il y a ses demi-frères et demi-soeurs un peu marteaux qui s'occupent ferme de son bonheur.


Charlie Brown des Peanuts
: a fini par épouser la petite fille rousse. Il tient un magasin de cerfs-volants à Montélimar mais il paraît que la vie là-bas n’est pas toujours du nougat.


Riri, Fifi et Loulou ont été transformés en pâté de canard périgourdin, médaille d’or au concours général de Paris 1998.

DDS 600 pate-de-foie-gras-de-canard-truffe-130g

 

DDS_600_Isaure_robe_jaune

Et, pour boucler, Mimosa, justement ? Il est devenu ingénieur agronome à l’INRA et travaille à l’Agrocampus de Rennes au sein de l’équipe Spinach+. Késaco, Spinach+ ? L’objectif de ces chercheurs et chercheuses est d’obtenir des épinards qui soient d’une teinte rose ou jaune citron afin que nos bambins à nous mangent d’avantage de ces légumes-là qui sont si bons pour le corpore sano de notre mens sana grâce au fer qu’ils ne contiennent pas.


Thats’s all folks !

DDS 600 Thats_all_folks

Ecrit pour le Défi du samedi n° 600 à partir de cette consigne : mimosa

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11 octobre 2019

En balade à Nantes (Loire-Atlantique) le 6 octobre 2019 (3)

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Plus on va, plus il  faut s'habituer au fait qu'il y a de moins en moins de gens
à avoir connu l'Andy Capp de Reg Smythe.

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J'aime beaucoup cette police de caractère
(et beaucoup moins à Nantes le caractère de la police !)

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9 octobre 2019

L’OCÉAN DES CENT TYPOS : JOURNAL DE BORD DE « LA CACAHUÈTE »

1er janvier.

AEV 1920-05 Pepito Cacahuète

Eh bien dites donc ! Ma doué béniguet ! Aussi vrai que je m’appelle Pépito je n’avais jamais vu un grain comme celui-là et je pense que nous l’avons échappé belle ! Quelle tempête, mes aïeux !
La Cacahuète, notre bien aimé navire, a résisté aux éléments déchaînés mais elle y a laissé des plumes. Des pelures, devrais-je dire. Le grand cacatois est par terre, ça désole Bec de Fer notre perroquet mais aucun des mâts n’est cassé. Maintenant que le vent est tombé les flibustiers Ventempoupe et La Merluche s’occupent à réparer mais j’ai bien peur que nous ne soyons déroutés pour longtemps. Les instruments de mesure du bord ne répondent plus : le sextant est tout mou, l’aiguille de la boussole tourne sur elle-même de façon démente et les cartes marines sont toutes délavées suite aux paquets de mer que nous avons encaissés.

Comble de malchance j’ai bien l’impression que nous sommes passés par le détroit de Clarendon ce qui nous ferait naviguer à l’heure actuelle dans l’océan des Cent typos. Si c’est bien cela, c’est une catastrophe. Les légendes des anciens racontent qu’il y a ici un certain nombre d’îles habitées par des monstres ou des peuplades inconnues aux moeurs bien plus cruelles encore que celles des plus fieffés pirates de La Tortue ou de Las Ananas.

Mais bon, je vais m’arrêter d’écrire pour aujourd’hui. Je vais remonter sur le pont avec une bouteille de ratafia de ma réserve personnelle : c’est la nouvelle année, quand même ! Ca se fête ! Buvons un coup, buvons en deux à la santé des jours heureux ou malheureux qui nous attendent !

2 janvier au matin.

AEV 1920-05 Pepito barque

« Terre à bâbord ! » a hurlé ce matin notre singe Perruche qui occupe là-haut le poste de vigie. Nous avons aussitôt mis le cap sur cette île car nous avons besoin de refaire nos réserves d’eau douce. Dans la longue vue, au fur et à mesure que l’on approche, je suis étonné par la forme du rocher au centre de l’îlot. Quelque chose cloche. On dirait bien que c’en est une. Une cloche. Mon second, Crochette, à qui je me suis ouvert de mes inquiétudes à propos de San Tipo, enfin de l’océan des Cent typos, est allé farfouiller dans sa bibliothèque. Ses livres et parchemins n’ont pas souffert de l’orage car il les a enfermés dans un coffre du genre île au trésor. Il a trouvé quelque chose de très intéressant, un vieux bouquin du quinzième qui s’appelle « Les îles qui ont du chien » par Daniel Baskerville. En consultant l’index à l’entrée « cloche » nous avons pu déduire, d’après la description faite à la page 38, que nous étions en présence de l’île de Bell.

2 janvier au soir.

AEV 1920-05 Pepito Bec en fer

La Cacahuète mouille dans une baie agréable, un lagon bleu pervenche bordé de deux plages blanches et de cocotiers bien garni. Après avoir jeté l’ancre Ventempoupe a mis une chaloupe à l’eau et nous sommes allés ensemble à terre avec Bec-de-Fer qui voletait au-dessus de nous. Ce perroquet est fort utile. Il nous sert d’interprète. Je ne sais quel âge il a exactement mais à force de voler d’île en île et de répéter tout ce que disent les autochtones lui et ses congénères sont devenus polyglottes. Ils sont d’ailleurs tellement bavards que nous nous demandons parfois s’ils n’ont pas plus d’une glotte.

Nous avons caché la barque sur le bord supérieur de la plage et nous avons grimpé vers les hauteurs. L’île semble inhabitée. Il nous a fallu tracer notre chemin en découpant à la machette les broussailles qui ont poussé au pied des cocotiers. Il y a une odeur très sucrée dans l’atmosphère, c’est très agréable et cela donne une impression de chaleur au creux de l’estomac. Au fur et à mesure que nous montons le sol de couleur marron devient lisse et brillant. Bien vite il ne nous est plus possible d’avancer car ça grimpe trop et nous nous retrouvons au pied d’une haute falaise. Ce territoire semble réellement avoir été coulé dans un moule. Ce qui est posé là sur ce qui devait être auparavant un îlot sablonneux, c’est une cloche géante fondue dans une matière inconnue.

Nous sommes revenus sur nos pas, avons repris la barque. L’équipage va débarquer et nous allons bivouaquer ici pour la nuit.

3 janvier au matin.

On a été réveillés à matines par la sonnerie des cloches. En fait ça a été un coup d’escopette tiré par une matrone bien poudrée. C’est une voix de femme qui nous a sonné les cloches :

- Kès vouf outéla ? Cécheunou issitte ! Doucé kvou zète ? Téquila touah ?

Bec de fer a traduit :

- Que faites-vous ici, messieurs ? Vous vous trouvez actuellement sur un terrain privé. D’où venez-vous et qui êtes-vous ?

J’ai expliqué à la dame que nous ne pensions pas à mal et que nous nous apprêtions à repartir après une nuit passée sur la terre ferme. Moyennant quoi un autre Iroquois est venu la rejoindre. Peut-être était-ce son mari ou son compagnon, on ne sait plus comment dire maintenant avec toutes les sortes d’unions qu’on voit aujourd’hui.

- Nous sommes Constantia et Caslon Bodoni, fournisseurs officiels de sa Sainteté le Pape en chocolat de Pâques. Peut-être souhaitez-vous, avant de repartir, visiter notre usine ?

Le mot « usine » était inconnu de Bec de Fer et de nous-mêmes mais le ton de l’insulaire était devenu très civil pour ne pas dire bien urbain. Bec de Fer a traduit notre « Très volontiers, cher Monsieur » en « Pakinpeu Monpott » et le couple de « chocolatiers » nous a emmenés vers la cloche.

Là-même où nous avions rebroussé chemin hier il y avait un sentier étroit que nous avons suivi sur près de cinq cent mètres. Nous avons débouché sur une place et vu dans le rocher marron un grand portail ouvert par lequel nous avons pénétré dans une manufacture. Dans l’immense cloche en chocolat des ouvriers s’activaient en tapant à la pioche à en extraire de gros morceaux. Plus loin des dames en tablier coiffées de toques blanches faisaient fondre ceux-ci et versaient le liquide obtenu dans des moules rectangulaires.

- Nous n’avons jamais vu cela ! avoua Ventempoupe. Ca a l’air bon, en plus !
- Séduj amévuh ! Séd labalh ! a traduit bec de Fer

Normal, répondit Caslon Bodoni. Le secret est bien gardé. Votre pape ne tient pas à ce que le chocolat se répande dans le monde. Avec le chocolat, plus besoin de religion, le paradis est sur la Terre, plus besoin de croire, d’obéir et de subir.

Dans la langue originelle nous avons entendu « Motus papus secretus chocolatum dynamitam ».

Après qu’il eut dit ça nous avons commencé à craindre pour nos fesses. Puisque nous étions désormais dépositaires du secret, quel sort allait être le nôtre ? Les Bodoni ont dû sentir notre inquiétude car ils nous ont dit :

- Vous pouvez reprendre la mer tranquillement. Vous ne risquez pas de raconter cette histoire à qui que ce soit. Nous seuls, dans l’océan des Cent typos, connaissons le seul chemin qui mène à Rome.

Ce que Bec de Fer n’a même pas eu besoin de traduire :

- Passortih de l’oberjum, Pepito !


Pondu à l'Atelier d'écriture de Villejean le mardi 8 octobre 2019
d'après la consigne ci-dessous

Les illustrations sont bien évidemment de Bottaro

4 septembre 2019

Sur la braderie de Villejean à Rennes le 1er septembre 2019

Ils ont encore accompli un marathon de près de cinq heures non stop ! Sur la braderie de Villejean, ce dimanche, on pouvait entendre les deux gugusses du groupe Am'nez zique et les Biches débiter tout leur répertoire de chansons françaises à deux balles.  Ils étaient là pour annoncer leur concert à un euro du samedi 14 septembre prochain. Tiens, eh bien justement, je prends le relais et je vous publie l'affiche de l'événement. Si vous êtes sur Rennes, ne manquez pas ça. Comme dit l'autre, c'en est et c'est de la bonne !

Affiche 14 septembre - version définitive

Sur la braderie de Villejean, ce dimanche, on pouvait voir aussi Marina Bourgeoizovna qui vendait les disques vinyles que son mari a eu le temps de transformer en MP3. Dans le lot il y avait cet album de 1979, "Easy" de Sally Oldfield, la soeur de Mike "Tubular bells" Oldfield, dont la pochette fait singulièrement penser à une toile de René Magritte. Trois toiles de René Magritte !

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Tiens, vous avez gagné le droit d'entendre cette jolie voix :

Sur la braderie de Villejean ce dimanche, il y avait ce type dont j'ai oublié le nom... Alois Fly ? 
C'est l'amnésique le plus célèbre de la bande dessinée belgo-belge.
XIII ! Je viens de me farcir 24 tomes de cette série et je reviens d'être allé emprunter le 25e à la bibliothèque de Cleunay.
Je crois que je vais m'arrêter là : tout ce qu'endure ce bouc émissaire imberbe est finalement assez proche du masochisme christique et son rétablissement final laisse le lecteur presque aussi perdu qu'au début. Qui c'est, ce mec, au bout du conte ? On a l'impression que l'auteur l'utilise comme un prétexte pour faire dessiner à William Vance des grosses voitures, des avions, des hélicos, des armes à feu, des jolies filles et des mecs qui se castagnent à longueur d'albums !

Ca doit être ce que j'appellerai "le complexe de Sttellla" : "On n'a rien de moins que les Américains. On aurait même plus en comptant qu'on est moins".

Conseil d'ami : si vous vous laissez embarquer par les premiers épisodes, arrêtez-vous après le tome 5 !

C'est comme pour la deuxième saison de Michel Vaillant : le tome VII, Macao, dénoue avec une désinvolture sidérante toutes les tensions accumulées dans les albums précédents. La suite n'aura, à mon sens, plus beaucoup d'intérêt.

Mais, finalement, les héros masculins de BD réaliste sont-ils si intéressants que cela ?

Rahan, range ton coutelas !

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28 juillet 2019

SIX D'UN COUP !

Michel Vaillant 9782800154206_1_75

Six d’un coup !

Je consulte le catalogue en ligne de la bibliothèque hier et je m’aperçois qu’on peut emprunter à la section de Cleunay six des huit tomes de la « Nouvelle saison » de Michel Vaillant.

J’aurais un roman à écrire sur mon rapport avec cette série de bandes dessinées-là ! J’ai entrepris récemment de relire les tomes qui sont chez mes beaux-parents et ceux que j’ai gardés de ma propre collection enfantine. Je suis même en train de racheter les numéros manquants pour disposer des quinze premiers volumes d’une collection qui en comporte… 70 sans compter les hors-série !

J’avais eu l’occasion de feuilleter très vite en librairie un ou deux de ces volumes récents et découvert que le pilote automobile avait désormais un fils et qu’il arrivait de drôles de choses à Jean-Pierre Vaillant.

Après mes neuf kilomètres de marche (détour par les Champs libres) , je suis revenu avec mon paquet de bédés à la maison et je me suis enfilé les six d’un coup. Un régal !

C’est beaucoup plus sombre au niveau du dessin et du scénario mais on retrouve quelques gags récurrents et des nouveautés hilarantes sans le vouloir qui nous questionnent bougrement.

Vous l’imaginiez vous, Steve Warson faisant campagne pour être élu sénateur du Texas ?
Plutôt que de s’intéresser à la voiture électrique comme Papa et Tonton, les copains hackers du fils Vaillant réinventent la roue et planquent de la drogue dans un lycée suisse chic ! Bou, les vilains !

Dans l’album Liaison dangereuse, Michel Vaillant va-t-il tromper Françoise Latour ?

Le père Vaillant, Henri, va-t-il accepter de monter sur le vélo électrique que sa femme lui a fait fabriquer ?

Quand faut-il faire une OPA sur une marque automobile chinoise concurrente ? Que valent les joint ventures et les contrats dont on ne lit pas les petites lettres ? Que dit la bourse ? Puis-je vendre des actions qui ne m’appartiennent pas pour financer un gros coup de poker menteur ?

Faut-il tuer son père ? Son oncle ? Les héros ne sont plus immortels ?

Nul doute n’est plus permis : il s’agit bien désormais d’une saison comme dans les séries américaines puisque chaque album se termine sans rien résoudre et que le scénario ajoute des problèmes aux problèmes. L’ensemble a un goût crépusculaire et je pense que j’ai été bien accroché car j’ai réservé le tome 7 et je ferai de nouveau le déplacement à Cleunay pour aller le chercher en septembre !

Allez, je repars ! Vroum ! Vroum !

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30 avril 2019

UNE NOUVELLE ÎLE AU TRÉSOR

Depuis que j'ai découvert ce site web jeudi dernier, j'ai presque tout laissé tomber. A preuve, je n'ai même rien publié ici samedi !

Je partage le tuyau en douce pour les gens qui connaissent et utilisent le logiciel Honeyview : "Seulement BD.com" est une très bonne adresse !

Une preuve pour qui souhaiterait relire Buck Danny ?

Ici !

190430 BD

2 juin 2018

SORTIR DE SA BULLE

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En aurai-je vu défiler, des phylactères !

Et qu’est-ce que je pourrais vous soûler avec cet itinéraire qui va de Placid et Muzo à Fabcaro en passant par les héros de Vaillant, Pif-Gadget, Tintin, Spirou, Pilote, Charlie Mensuel, A suivre, Fluide glacial…

Comme j’ai décidé de faire court je vous livre juste un petit jeu très facile. Saurez-vous trouver quel personnage de bande dessinée a prononcé ces paroles dans un phylactère si mémorable que je m’en souviens encore ?

1 Bretzel liquide !
2 Je suis mon cher ami très heureux de te voir !
3 C’est un Alexandrin !
4 Je veux être calife à la place du calife !
5 I’m a poor lonesome cow-boy far away from home
6 Et combien de sucres dans thé à toi, subséquemment mille tonnerres ?
7 Ne négligeons pas le fait que je suis peut-être génial !
8 Pas glop ! Pas glop !
9 Ils sont fous ces Romains !
10 Je ris de me voir si belle en ce miroir
11 Venise sera ma fin
12 Je dirais même plus
13 M’enfin ?!

A Bianca Castafiore
B Corto Maltese
C Dupond (ou Dupont ?)
D Iznogoud
E Le Concombre masqué
F Lucky Luke
G Numérobis
H Obélix
I Panoramix
J Pifou
K Snoopy
L Tempête rose (dans un album de Chick Bill)
M Gaston Lagaffe

Finalement, je suis bien content ! Mon intention première sur ce défi était de coincer la bulle !
Comme quoi je peux encore en sortir, de ma bulle !

N.B. Pour avoir la solution des devinettes, retournez l'écran de votre ordinateur ! ;-)

sOLUTION DU JEU 509

 

 


Ecrit pour le Défi du samedi n° 509 à partir de cette consigne : phylactère

8 mai 2017

CHERCHEZ L'ERREUR !

Soit la bande dessinée "Cobalt" de Pablo De Santis et Juan Saenz Valiente dont Télérama publie la critique, très positive, dans son numéro 3510. J'en extrais l'illustration - que j'aime beaucoup -  de l'article et vous pose la question :

"Avant même que la partie d'échecs n'ait commencé, une erreur a été commise. Saurez-vous deviner laquelle ?"

Cobalt - Cherchez l'erreur

 P.S. A y regarder de plus près, cette première erreur en a entraîné une deuxième !

La solution est donnée en commentaires.

17 mai 2016

DEUX DRÔLES DE COCOS !

En un mot comme en cent : 366 réels à prise rapide

14 mai 2016


Enfant

Enfant je suis, enfant je reste. Je continue de m’émerveiller.

Pratiquement toutes les bandes dessinées réalistes du journal Vaillant étaient dues à l’imagination fertile de Roger Lécureux et Jean Ollivier.

L’un a signé Les Pionniers de l’Espérance, Teddy Ted, Rahan, Nasdine Hodja, Les Robinsons de la terre, Capitaine Apache.

L’autre est l’auteur de Ragnar le viking, Robin des bois, Davy Crockett, Loup Noir et Ayak.

De 1945 à 1993 ? 40 ans à écrire pour des mômes « qui seront flics ou fonctionnaires, de quoi attendre sans s’en faire que l’heure de la retraite sonne » ?

Fortiches, les gars des trente glorieuses !

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Pionniers de l'Espérance

 

9 mai 2016

TRANSMISSION DE BIENS POUSSIEREUX A REDON LE 3 MAI 2016

En un mot comme en cent : 366 réels à prise rapide

3 mai 2016


Ce qu’il y a dedans

Le grenier de mon beau-père, ce qu’il y a dedans, je n’ose pas y penser !

Je sais que j’ai accompli ma B.A. (Bonne Action) ce jour en acceptant d’emmener chez moi sa collection du journal « Robinson ».

C’est un hebdomadaire de bandes dessinées américaines traduites en français (Guy L’Eclair, Mandrake le magicien, Popeye, La famille Illico, Luc Bradefer) qu’il achetait et lisait en 1936.

Comme si j’avais encore de la place dans mon grenier où je stocke les bandes dessinées que j’achetais en 1966 !

 

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