Portraits de conteurs, conteuses et musiciens à Botmeur (Finistère) le 24 avril 2016 (3)
Portraits de conteurs, conteuses et musiciens à Botmeur (Finistère) le 24 avril 2016 (4)
Jean-Marie-Back dit Le Bobleur
En un mot comme en cent : 366 réels à prise rapide
28 avril 2016
Le confort c’est
Le confort c’est râpé, aujourd’hui !
Le bureau, l’ordi, les papiers, moi-même, sommes recouverts de poussière de plâtre, il y a du bruit, le lit change de position et de pièce tous les soirs en fonction de l’avancée des travaux.
Suite aux manifs les bus étaient détournés et je suis arrivé avec dix minutes de retard là où je devais chanter. Je l’ai fait avec une guitare désaccordée. Nul !
Le soir au TNB, concert hyper-surveillé, pas question de prendre de photos. Mon voisin s’est fait taper sur les doigts.
Ca ira mieux demain. J’écouterai de la harpe celtique.
Au Salon du livre "Contes et légendes" à Botmeur (Finistère) le 24 avril 2016 (1)
Maïck la conteuse (Marina B.) donnait une prestation d'un quart d'heure à ce festival du conte dans les Monts d'Arrée. L'occasion de reprendre la route de Mûr-de-Bretagne, Gouarec, Carhaix et de retrouver, ici au loin, le lac de Brennilis avec son marécage du Yeunn Elez où se trouve la porte de l'enfer froid des Bretons.
Au salon du livre "Contes et légendes à Botmeur (Finistère) le 24 avril 2016 (4)
En un mot comme en cent : 366 réels à prise rapide
24 avril 2016
A 11 h 30 précises
A 11 h 30 précises je suis sous le chapiteau Magik au Festival du livre de conte à Botmeur (Finistère, Monts d’Arrée) j’ai froid, il pleut dehors, j’ai faim, je suis réveillé depuis 6 h 40 et je m’enquiquine un peu en écoutant les conteuses.
Mais pourquoi choisir ce moment-là, Raymond ? A 17 h 30, je suis dans la voiture sur la route du retour avec un grand soleil et « Un Galicien en Bretagne » de Carlos Nunez. On discute de ce qu’on a vu, entendu, acheté. Le total fait une journée riche et enrichissante.
FAIRE TRAVAILLER SES NEURONES !
En un mot comme en cent : 366 réels à prise rapide
19 avril
Mains touchées
Madame L. est venue à mon secours, cet après-midi. Sa prof de gym leur a demandé de croiser les mains sur le ventre et de regarder quel index était au-dessus. Faites-le, sans réfléchir.
Pour moi, tout naturellement, le gauche est au-dessus du droit.
Maintenant refaites le même geste et arrangez-vous pour que ce soit l’inverse. Pour moi donc, le droit vient au-dessus du gauche.
Outre que c’est particulièrement désagréable, cela fait, paraît-il travailler les neurones.
Ca m’étonnerait beaucoup : des neurones, je n’en ai qu’un !