Mike Oldfield, "Tubular bells" et au-delà / Frédéric Delâge
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Cela faisait longtemps que je n'avais pas lâché un bouquin - ou presque - de sa première à sa dernière page. Emprunté hier après-midi au 2e étage des Champs libres, je l'ai terminé ce soir en ayant été interrompu par les courses du ménage, la cuisine et une répétition musicale en forme de cours de guitare cet après-midi.
J'aurais plein de choses à dire, moi aussi, si je ne me retenais pas, sur cette oeuvre instrumentale parue le 25 mai 1973 et sur son auteur, Mike Oldfield, alors âgé de 20 ans. Je crois que j'ai dû faire alors partie des tout premiers acheteurs de ce disque vinyle car je connaissais déjà le bonhomme avant en tant que guitariste et/ou bassiste de "Kevin Ayers and the whole world".
Le bouquin de Frédéric Deâage raconte toutes les péripéties de la naissance de l'album, tous les traumas familiaux et personnels du musicien, les galères puis le succès phénoménal de cette oeuvre et celui du groupe Virgin, ce qu'a été ensuite la carrière du bonhomme mais ça je connais mieux puisque j'ai acheté tous ses disques au fil du temps ! Passionnant, tout ça.
Cette lecture est est l'occasion pour moi de rattraper un retard de douze-treize ans à l'allumage. Je n'avais jamais visionné la cérémonie d'ouverture des J.O. de Londres en 2012. L'oeuvre y est reprise entre les minutes 34 à 56 et les fans de James Bond, J.K. Rowling et Mary Poppins trouveront leur bonheur dans ces douze minutes de kitsch anglais ci-dessous. (La vidéo n'est pas embarquable).
J'ajoute, dans la série "héritage", une reprise de l'oeuvre par the Ukulele orchestra of Great Britain avant de me lancer, demain ou plus tard, dans les recherches de morceaux inédits ou de collaborations avec d'autres artistes (David Bedford, Tom Newman, Robert Wyatt) de ces années bénies qui sont signalé·e·s dans ces pages !