Tatouages de la rue Saint-Melaine vus à Rennes le 22 septembre 2024
Je sais bien que je suis libre de faire - à peu près tout - ce que je veux mais si je m'arrête devant les boutiques de tatouage de la rue Saint-Melaine, je n'ai absolument pas comme projet de servir de support à des artistes aux nerfs à fleur de peau. Je n'ai peut-être pas bien compris le concept de la peinture sur soi - faudra que je demande à Tatie Françoise ! ;-) - de la même manière que je ne comprends pas pourquoi nous devrions le payer, l'homme de l'art, alors que nous lui servons, en quelque sorte, d'homme-sandwich gratos.
Quoi qu'il en soit, j'aimerais bien savoir ce que fait la fondation M**l*ns*rt quand elle rencontre quelqu'un qui s'est fait tatouer, sur le biceps ou ailleurs, une des trois images ci-dessous ! Elle lui fait la peau ? Ou lui colle des gommettes par-dessus son signe particulier ?
De fait, si je photographie parfois quelques uns des modèles proposés en vitrine, c'est pour les refiler à Jean-Émile Rabatjoie qui les utilise pour ses collages surréalistes. Deux exemples ci-dessous :
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