En un mot comme en cent. 30 août 2021, Les toilettes
Allé chez l’ophtalmo ce matin et chez l’opticienne cet après-midi. La dame est native de Hesdin (Pas-de-Calais). Elle a repéré le 62 dans mon numéro de sécurité sociale et m’a confié être «de là-haut». On a échangé sur le fait que les Ch’tis s’acoquinent volontiers avec des Breton·ne·s.
J’ai cassé un peu de sucre sur le dos des Normands que j’ai fréquentés lors de mon service militaire.
J’ai juste oublié de lui parler – et à vous aussi - des toilettes du Nord-Mont où est exposé (explosé ?) cet humour à la Dany Boon qui, peut-être, ne fait rire que nous.
Chez le psy existentiel et intégratif à Montreuil le 7 juin 2015 (3)
Dis-moi ce qu'on trouve comme lecture dans tes toilettes et je te dirai qui tu es !
Chez un psy qui semble être un condensé de Groucho Marx, Sigmund Freud et Woody Allen, quoi de plus naturel que de trouver Gotlib ?
- Et, dis nous, A.A., quelles sont tes activités de co-a-tchingue ?
- Ah ! Je vois que je reçois la France profonde en visite, ce jour !
Un dimanche matin à La Flèche (Sarthe) le 7 juillet 2013 (5)
Vaches de toilettes !
DECRIRE UN LIEU AVEC AISANCE : Rennes le 25 mars 2013 (1)
SOCIO-SCATOLOGIE VILLEJEANESQUE
Il arrive à tout homme honnête
D’avoir à soulager parfois
Sa conscience vessie ou son estomac.
En ce cas, il va aux toilettes.
Pour des raisons professionnelles
De réunion dans mon domaine
J’eus à user, l’autre semaine,
De chiottes gogues institutionnelles.
Gentiment, on avait pris soin,
Certes, en dégradant le mur,
De fournir un peu de lecture
Pour faciliter le besoin.
DECRIRE UN LIEU AVEC AISANCE : Rennes le 25 mars 2013 (2)
En ce lieu, livrés seuls au doute
Ou à d’infâmes certitudes,
D’aucuns ont pris pour habitude
D’orner les parois de bisons de biroutes.
Artiste de bateau-lavoir
Qu’aucune retenue n’habite
Bouddha dessine bien sa bite
Ou celle qu’il voudrait avoir
Mais dans la latrine adjacente
– J’adore visiter les grottes
Aux Eyzies où l’étudiant crotte –
La ressemblance est moins frappante.
DECRIRE UN LIEU AVEC AISANCE : Rennes le 25 mars 2013 (3)
Pourquoi se soucier des longueurs
Dans la « Recherch’ du temps perdu »?
L’aphorisme est bien plus péchu
Sous le feutre noir des branleurs scripteurs !
La thématique est cependant
Très réduite à pipi caca
Zizi panpan cul radada :
Tout cela n’est pas très bandant.
Songez donc, belles inconnues
Qu’un jour prochain ces tâcherons
Obscènes vous ausculteront
Après vous avoir mises nues !
DECRIRE UN LIEU AVEC AISANCE : Rennes le 25 mars 2013 (4)
Ces bons docteurs qui font le bien,
Formés par l’Université,
Souvenez-vous qu’ils ont été
Ces bien indécents carabins !
Avouez que ça fait un peu peur !
Quelque part, ça épouvantaille !
En m’extirpant de ma torpeur
Je suis retourné au travail.
Il faut que jeunesse se passe
Mais celle-ci est bien fracasse !
Si vous êtes de mon avis
Adhérez à l’A.I.E.I. !*
*Association des Internautes Etrangement Iatrophobes
P.S. Comme je publie mes billets le soir et que ça m'ennuie de programmer la date et l'heure de mes quatre billets, je publierai désormais sur ce blog le soir avec la date de la journée... écoulée ! Si ça ne vous plaît pas, tapez-moi sur les doigts !