Les Roses du Thabor à Rennes le 15 mai 2022 (1)
Voici revenue l'époque à laquelle ce blog se transforme en catalogue Vilmorin ! ;-)
- Et vous les amoureux, comment ça va ?
- Comme sur des roulettes !
En un mot comme en cent. 2 décembre 2021, Aujourd'hui la beauté à cet endroit précis
Aujourd'hui la beauté, à cet endroit précis, c’est le soleil sur les trois roses de décembre, cueillies en bouton au jardin, et sur l’affiche réalisée par Mademoiselle Zell.
En un mot comme en cent. 4 juillet 2021, Permission accordée
Permission accordée au grand n’importe quoi !
Il y a cent personnes qui attendent dès 14 h. On installe les deux amplis et les micro-casques. On branche la station de réception. Tout s’allume. Reste plus qu’à la connecter à l’ampli. C’est à ce moment-là qu’on s’en rend compte : il manque les cordons de connexion !
Le groupe s’appelle toujours Am’nez zique et les Biches et il peut me remercier d’avoir rechargé et amené les trois micro-casques.
Il faudra aussi expliquer au chanteur et à la chanteuse que s’ils veulent s’entendre chanter, il faut mettre l’ampli derrière eux et non devant !
P.S. C’est à la Fête de retrouvailles de l’association « Le Temps du regard » d’Acigné, dite aussi Fête de la rose. Il y a vingt minutes de discours et le plus prolixe n’est pas le maire de la ville mais le jardinier, M. Michel Adam qui a créé la rose « Le temps du regard » dont on vend des boutures en vue de récolter des fonds pour l’association.
Le concert a finalement été assez réussi même si, avant qu’il soit fini, les gens sont sortis dehors où les attendaient le soleil, un buffet, et la possibilité de faire aller leurs langues trop longtemps confinées. Que des bons retours sur la prestation musicale, surtout pour « Marions les roses ». Malicorne a encore des fans par ici.
Pas pu prendre de photos des musiciens bien évidemment mais admiré les roses de M. Adam.
Car, ne l’oublions jamais, l’important c’est la rose !
Chez les parents de Gilou Syrinx à Rezé (Loire-Atlantique) (1)
Ce blog est en pause pour une semaine. Je vous laisse avec des billets programmés issus de notre dernier voyage à Nantes et, sans doute, si j'ai le temps de les scanner, des antiquités fort intéressantes reçues dans ma boîte aux lettres au retour.
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Nous, les Rennais, on le savait qu'ils n'étaient pas comme nous, les Nantais ! Et nous en avons eu la confirmation ce mercredi en visitant "une maison nantaise typique". Qu'est-ce qu'on entend par maison nantaise ? Un domicile dans lequel les chambres sont de plain pied sur la rue, au même niveau que le garage, et où les pièces à vivre sont à l'étage !
Il est entendu que dans les pièces à vivre, le chat est en option.
Cette joli matoute appartient à Monsieur Armand.
1984 + 34 = 2018
Oublier Berthe Sylva ?
Mais pourquoi donc ? Elle chante un univers dans lequel les marchandes de fleurs ont du cœur et où les infirmières pas encore en burn-out manifestent de la compassion pour les orphelins. La mort y est un grand jardin. L’humanité n’est pas un vain mot.
Faut-il préférer à ce monde éteint, délavé mais charmant comme les pétales tombés à terre d’un bouquet de roses blanches, cet univers-ci, le nôtre où c’est l’argent qui est traité en roi, où l’homme n’a plus d’attrait que pour les machines (voitures, téléphones, robots) qui le surveillent jusqu’à plus soif ? Où les guerres, économiques ou réelles n’ont même pas disparu ?
Plus légèrement dit, faut-il préférer Berthe Rancantat à Berthe Sylva ?
Ok, je sors !
P.S. 1 C’est juste une question pour rire, chère Lakévio !
P.S. 2 Je n’ai absolument rien contre toi, Bertrand !
P.S. 3 A la version Krapov des "Roses blanches", on peut préférer l’"Histoire de rose" de Robert Lamoureux, dans la version de Mémé les Watts, ci-dessous.
Ecrit pour le jeu de Lakévio n° 114 d'après cette consigne
A la roseraie du Thabor à Rennes le 3 juin 2017 (1)
C'est quand même bien sympathique à vous de venir par ici, régulièrement ou pas, lire et voir d'assez incroyables krapoveries, je trouve. Sachez que j'en suis très touché même si je n'en dis trop rien. En remerciement, puisque c'est la saison, et aussi parce qu'il y a des anniversaires dans l'air, acceptez que je vous offre, ce jour, un bouquet de roses virtuelles fraîchement cueillies au parc du Thabor.