Pas de bruit dans Landerneau (Finistère) le 16 août 2022 (1)
Mon épouse, sa bonté d'âme la perdra.
Nous voilà en route pour l'aéroport de Brest. C'était là la raison de nos vacances en Trégor. Marina B. avait promis son aide à Dame Anita pour l'aider à rapatrier vers Berlin ses quatre invités venus passer des vacances chez elle et leur trois tonnes de bagages divers et variés.
Petit moment de panique à l’arrivée à l’aéroport : comme nous avons doublé Anita qui convoie Nicole et Ole tandis que nous avons pris en charge Olaf et Leonie, nous faisons deux tours sur le rond-point puis sur l’injonction d’Olaf nous nous mettons dans le sillage d’une C3 orange qui vient de nous passer derrière et s’en va se garer sur le parking 3. Mais ce n’est pas la bonne voiture ! Rien ne ressemble à une C3 orange comme une C3 orange !
C’est dans des cas comme ça qu’on découvre que le téléphone portable peut aussi être une invention formidable :
- Nous sommes sur le parking de proximité, dans l’allée n° 5 !
Bon, ça va, pensé-je, on ne va pas être obligés d’adopter ces – très sympathiques au demeurant - estomacs sur pattes qui auraient raté leur avion de notre fait !
Au retour vers Lannion, Marina B. nous accorde le droit de visiter Landerneau. Pour une fois que l'occasion m'est donnée de vérifier s'il y a autant de bruit qu'on le dit dans cette ville et si on y mentionne quelque part que cette expression vient d'une pièce de théâtre d'Alexandre Duval, le grand père d'Isaure Chassériau ! (Je dois être sans doute le seul individu sur Terre à faire de telles associations d'idées à la con !).
C’est une très jolie petite ville. Nous prenons le petit-déjeuner dans un café nommé le Saint-Thomas. J’ai bien mérité ça, je suis réveillé depuis 5 h 45, ayant compris « départ à 6 h 30 ». En fait c’était réveil à 6 h 30 pour départ à 7 h 15.
Comme je suis assez snob comme garçon, on n'est pas allés voir l'exposition Ernest Pignon-Ernest à la Fondation Leclerc. J'imagine qu'il fallait réserver et que l'entrée à l'expo ne donne pas lieu à des réductions sur la carte de fidélité comme quand on passe aux caisses de Michel-Edouard ! faut pas m'en vouloir, Ernest, j'aime bien ce que tu fais quand même !
On pourrait écrire bien des choses sur ces vacances 2022 mais je n’en ferai pas un roman finalement. Pas besoin : Marina B. vient de découvrir que ses talents d’observation psychologique de ses "contemporains-j’contemple rien", joints à ceux qu’elle a pour les petit croquis et à un certain temps de rédaction pouvaient alimenter de manière krapovienne son blog trop peu visité.
Allez donc lire son feuilleton de l’été, c’est très drôle et c’est tout à fait ça !
Choses vues au Crotoy (Somme) le 12 juillet 2022 (1)
... d'où la désignation "mansarde" ?
Une étape faite pour les grimpeurs !
Cette année-là ou plutôt ce soir-là j'attendais Madeleine.
En un mot comme en cent. 8 septembre 2021, Croire que
Aujourd’hui je crois que j’ai bien bossé. J’ai descendu plusieurs boîtes d’archives du grenier, les ai consultées, ai fait du tri et ai mis à la baille une caisse entière de paperasse.
J’ai retrouvé plein de trésors à scanner et à partager avant de les éliminer à leur tour.
Aujourd’hui où je n’ai plus d’outils, je crois que je me suis ajouté plein de boulot pour l’année qui vient et les nombreuses suivantes que je me souhaite !
Les Fleurs du Léguer à Lannion (Côtes d'Armor) le 16 mai 2021 (2)
Il n'y a pas à dire : j'aime vraiment les cartes postales !
Il ne leur manque plus qu'un petit logo blanc en bas à droite, à celles-ci ! ;-)
S'il te plaît, Pépin, reviens !
Promis, juré, on ne te lâchera plus !
Allez, fais un effort sinon on va finir en sujet d'atelier d'écriture un de ces quatre !
(Au retour du marché, ils n'y étaient plus et le aprapluie non plus.
Soit il était revenu, soit il avait coulé !)
Les Fleurs du Léguer à Lannion (Côtes d'Armor) le 16 mai 2021 (1)
C'était une journée comme il y en a beaucoup par ici, où il faut naviguer entre deux averses. On profiterait bien de la pluie pour attaquer un deuxième puzzle, mais soudain le soleil fait sa réapparition. Alors on descend au marché acheter un plant de basilic pour la soupe au pistou du soir et on croise ces fleurs bien arrosées sur le pont par-dessus le Léguer.
De retour à Pont-Croix (Finistère) le 17 août 2020 (1)
Ce panneau est l'occasion ou jamais de ressortir de la naphtaline cette chanson de Dranem que j'ai tellement adorée qu'on la beuglait, dans la voiture de Didier F., en allant chanter à la chorale d'Auvers-Le-Hamon.
O tempora saboliensis mortibus, o mores revolutionibus !
Nous n'étions pas sortables alors et ne le sommes pas plus aujourd'hui !
D'ailleurs c'est simple, je sens bien qu'on va nous reconfiner d'ici peu !
Randonnée de Pont-Croix à Audierne (Finistère) le 17 août 2020 (1)
C'était un des objectifs de Marina B. : retrouver quelques randonnées faites jadis en compagnie de notre bonne amie pontécrucienne * ou lors d'un stage de conte avec Fiona McLeod.
Je ne me souvenais pas que le Goyen, le fleuve qui a son estuaire en Audierne, était aussi large et aussi couvert de jolis nuages ! Je pense qu'on avait fait cette randonnée sous ciel gris en 2011 ou avant, à l'époque où nous étions allés participer aux Gras de Douarnenez... déguisés en légumes ! En poireaux, plus précisément ! (Non, je ne chercherai pas les photos ! Si ?)
* habitante de Pont-Croix très utile aux verbicrucistes qui font des grilles de 15x15 (qu'on appelle aussi des marignans) et qui désespèrent les cruciverbistes perplexes et les candidats du jeu des mille euros spécial jeunes qui ignorent ce que c'est qu'un gentilé *
* nain de jardin un peu niais et beaucoup moche : "Simplet est un gentilé".
Une croisière sur la Meuse : Monthermé (Ardennes) le 14 juillet 2017 (1)
La statue du cheval Bayard surplombe la Meuse
en compagnie des quatre fils Aymon à Bogny-sur-Meuse.
Cette légende est racontée d'heure en heure sur l'horloge animée de Charleville-Mézières.
Elle est résumée ici par Maïck la conteuse. Oui, neuf minutes quand même !
Une photo de la Meuse prises en 1870 par Arthur Rimbaud.
Mais oui, bien sûr que je déconne !